1925 Paris, Imprimé chez Legoupy, 1925-1926, 3 fascicules grand in 4 sous couvertures gris-bleu imprimées illustrées et rempliées, de 1 titre frontispice en couleurs représentant un large tissu jaune rempli de coiffes normandes-(2)-44 pp. d'explication des planches-(2) pp. et 9 planches ; 40 planches ; 56 planches. le tout sous chemise cartonnée demi-basane rouge à coins, pièce de titre de chagrin vert, lacets, couverture du 3e fascicule réparée, bon ex. sans rousseurs.
Reference : 13736
Réimpression de l'édition originale de 1827, tirée à 275 exemplaires, réalisée lors du centenaire de la parution. Superbes illustrations en couleurs de costumes normands : titre-frontispice et 105 planches gravées d'après Georges-Jacques Gatine, Louis-Marie Lanté (quelques-unes d'après Pécheux), et rehaussées de couleurs. Second tirage complet de cette superbe suite dont les 11 premières planches avaient paru seules en 1812. Sans atteindre la qualité des gravures originales et surtout la fraicheur des coloris, cette réalisation reste en tout point remarquable.
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Paris, A. Eudes libraire, 1925-1926. In-folio, titre frontispice en couleurs représentant un large tissu jaune rempli de coiffes normandes, titre, 44 pages d'explication des planches (réparties dans chaque livraison), 105 planches en feuilles. Planches avec de rares rousseurs. En feuilles dans les couvertures des trois livraisons conservées (la dernière restaurée). Sans la chemise.
Réimpression de l'édition originale, tirée à 275 exemplaires, imprimée par Le Goupy à Paris, réalisée lors du centenaire de la parution. Superbes illustrations en couleurs de costumes normands : titre-frontispice et 105 planches gravées d'après Georges-Jacques Gatine, Louis-Marie Lanté (quelques- unes d'après Pécheux), et rehaussées de couleurs. Second tirage complet de cette superbe suite dont les 11 premières planches avaient paru seules en 1812. Sana atteindre la qualité des gravures originales et surtout la fraicheur des coloris, cette réalisation reste en tout point remarquable. Pécheux, peintre de grand renom, spécialiste de fresques à l'italienne (il était né à Rome) travaillait en France depuis la campagne d'Italie et dirigeait un atelier de peintres italiens ambulants. En 1811, la fabrique de l'église d'Yvetot s'adresse à lui pour décorer la chapelle de la Vierge. La même année, il décore la coupole de Saint-Romain à Rouen. Il est aussi appelé à Limpiville, à Fécamp et au Havre. Les dimanches et jours de fête, il côtoie des Cauchoises parées de coiffes originales et il les dessine avant de rentrer à Paris. La Mésangère, qui dirige dans la capitale le Journal des Dames et des Modes, envoie à son tour un artiste chargé de faire un reportage plus complet: c'est Lanté qui, en 1819, va séjourner dans le Caux puis dans les autres parties de la province, fréquentant surtout les foires et les ports de la côte, pour fixer sur le papier les particularités du costume. Frère, M. Bruneau (Connaitre Rouen).
Paris, A. Eudes libraire, 1925-1926. In-folio, titre frontispice en couleurs représentant un large tissu jaune rempli de coiffes normandes, titre, 44 pages d'explication des planches, 105 planches en feuilles. Planches très propres, sans rousseurs. Portefeuille cartonné rouge, couvertures des trois livraisons conservées. Le tout en bon état.
Réimpression de l'édition originale, tirée à 275 exemplaires, imprimée par Le Goupy à Paris, réalisée lors du centenaire de la parution. Superbes illustrations en couleurs de costumes normands : titre-frontispice et 105 planches gravées d'après Georges-Jacques Gatine, Louis-Marie Lanté (quelques- unes d'après Pécheux), et rehaussées de couleurs. Second tirage complet de cette superbe suite dont les 11 premières planches avaient paru seules en 1812. Sans atteindre la qualité des gravures originales et surtout la fraicheur des coloris, cette réalisation reste en tout point remarquable. Pécheux, peintre de grand renom, spécialiste de fresques à l'italienne (il était né à Rome) travaillait en France depuis la campagne d'Italie et dirigeait un atelier de peintres italiens ambulants. En 1811, la fabrique de l'église d'Yvetot s'adresse à lui pour décorer la chapelle de la Vierge. La même année, il décore la coupole de Saint-Romain à Rouen. Il est aussi appelé à Limpiville, à Fécamp et au Havre. Les dimanches et jours de fête, il côtoie des Cauchoises parées de coiffes originales et il les dessine avant de rentrer à Paris. La Mésangère, qui dirige dans la capitale le Journal des Dames et des Modes, envoie à son tour un artiste chargé de faire un reportage plus complet: c'est Lanté qui, en 1819, va séjourner dans le Caux puis dans les autres parties de la province, fréquentant surtout les foires et les ports de la côte, pour fixer sur le papier les particularités du costume. Frère, M. Bruneau (Connaitre Rouen).