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Barbey D'aurevilly Jules
Les diaboliques
France graphic 1989 in8. 1989. Reliure plein skivertex. 269 pages. Etat Correct
Reference : 97809
ISBN : 1694496147
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Les Diaboliques. La véritable édition originale des Diaboliques condamnée par la justice.
L’une des plus précieuses éditions originales littéraires du XIXe siècle. Paris, E. Dentu, 1874.In-12 de (1) f., viii pp., pp. 7 à 354, (1) f. de table. Demi-maroquin tabac, dos à nerfs orné de filets dorés, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 175 x 110 mm.
Précieuse édition originale de l’un des plus célèbres ouvrages sulfureux de Barbey d’Aurevilly.Vicaire, I, 305 ; Carteret, I, 110.Exemplaire de premier état, avec les coquilles (p. 15 : vnos ; p. 25 : seulemen,t ; p. 121 : s’enrudir ; p. 124 : lui ; p. 186 : Hartfort ; p. 311 : lui et qu’il ; p. 322 : produite).« Ouvrage fort rare et très recherché, l’édition ayant été en partie détruite à la suite d’un procès ». (Carteret).« Très recherché, une grande partie des exemplaires possède une couverture portant la mention ‘Deuxième édition’. Ils sont évidemment dépréciés ». (Clouzot 25).De l’édition originale tirée à 2200 exemplaires, 480 exemplaires qui se trouvaient chez le brocheur furent détruits par l’auteur et l’éditeur à la suite des poursuites du Parquet de la Seine.Condamnées en effet par la justice en ce qu’elles invoquaient l’ingérence du Diable dans les affaires humaines, ces nouvelles campent plusieurs cas surprenants de perversion morale dans lesquels l’Esprit du Mal s’incarne dans une femme : « Le rideau cramoisi », « Le plus bel Amour de Don Juan », « Le bonheur dans le crime », « Le dessous de cartes d’une partie de whist », « A un diner d’athées », « La vengeance d’une femme ».L’une des plus précieuses éditions originales littéraires du XIXe siècle.Bel exemplaire d’une grande fraicheur, dénué de toute rousseur, conservé dans sa reliure strictement de l’époque, condition rare.
Les Diaboliques La véritable édition originale des Diaboliques condamnée par la justice.
Précieuse édition originale de l’un des plus célèbres ouvrages sulfureux de Barbey d’Aurevilly. Paris, E. Dentu, 1874.In-12 de (1) f., viii pp., pp. 7 à 354, (1) f. de table. Non rogné. Qq. piqûres. Demi-maroquin rouge à coins de l’époque, dos finement orné, tranche supérieure dorée, non rogné. Étui. Reliure de l’époque signée J. Canape. 184 x 119 mm.
Précieuse édition originale de l’un des plus célèbres ouvrages sulfureux de Barbey d’Aurevilly.Vicaire, I, 305 ; Carteret, I, 110.« Très recherché, une grande partie des exemplaires possède une couverture portant la mention ‘Deuxième édition’. Ils sont évidemment dépréciés ». (Clouzot 25).De l’édition originale tirée à 2200 exemplaires, 480 exemplaires qui se trouvaient chez le brocheur furent détruits par l’auteur et l’éditeur à la suite des poursuites du Parquet de la Seine.Condamnées en effet par la justice en ce qu’elles invoquaient l’ingérence du Diable dans les affaires humaines, ces nouvelles campent plusieurs cas surprenants de perversion morale dans lesquels l’Esprit du Mal s’incarne dans une femme : « Le rideau cramoisi », « Le plus bel Amour de Don Juan », « Le bonheur dans le crime », « Le dessous de cartes d’une partie de whist », « A un diner d’athées », « La vengeance d’une femme ».L’une des précieuses éditions originales littéraires du XIXe siècle.Bel exemplaire finement relié à l’époque par Canape.
Sadiorama satyroscopique.. 69 planches, 2 frontispices. Charges et décharges diaboliques. Diableries. Lithographies de Le Poitevin (vers 1830). Dessins de A. P., etc. 1919-1920
S.l., s.d. (vers 1920) in-8 oblong, 71 planches dessinées et coloriées à la main, demi-basane noire à coins, dos à faux-nerfs orné de caissons dorés (reliure de l'époque).
Exceptionnel recueil érotique, unique, composé à plusieurs mains juste après la Grande Guerre, dans l'atmosphère de libération sexuelle qui suivit immédiatement le conflit.Il se distribue comme suit :I. Un premier titre : Sadiorama, appelé Frontispice 1 (anopisthographe, où un membre gigantesque monté sur pattes est chevauché par une fille vêtue seulement d'un casque de poilu). - II. Un second titre : Charges et décharges diaboliques, appelé Frontispice 2 et 2bis (recto et verso). - III. Soixante-neuf compositions très libres, numérotées et légendées, certaines signées A.P. (et signalées par l'astérisque dans la liste) :1. Tout le monde en aura. - 2. Le Grand Turc. - 3*. Valse endiablée. - 4. Divertissement. - 5*. Ronde infernale. - 6. Le gentil troubadour. - 7. Le jet d'eau. - 8. L'heureux Priape. - 9. Le premier navigateur. - 10. Une trouvaille. - 11. Les grands as de l'aviation. - 12. La pièce curieuse. - 13. La jolie fermière. - 14*. Une possédée du diable. - 15. Pauvres filles. - 16*. Plaisir céleste, colère divine. - 17. L'arbre de vie. - 18. Nouveau bilboquet avec la manière de s'en servir. - 19. Un pucelage. - 20. La fontaine endiablée. - 21. Une grande affaire. - 22. La tentation. - 23. Un vol manie fesses. - 24. Visite académique. - 25*. Jeu acrobatique d'adresse diabolique. - 26. Étude musicale. - 27*. Divine promenade. - 28. Le choix dans la boutique. - 29. La rosée diabolique. - 30. La perte d'un membre. - 31. Jouissance diabolique. - 32*. La naissance d'Ève. Dons infernaux. - 33. Oh ! qu'ils sont gentils !! - 34. Tiens ferme. - 35. Confiteor. - 36*. Le jeu de bagues. - 37*. Distractions infernales. - 38. Le tir agréable. - 39* Plaisirs sataniques. - 40. Ma commère quand je danse. - 41. Quel plaisir !! - 42. Vue sur l'enfer. - 43. Les vendanges. - 44*. En promenade. Réjouissances. - 45. Réception des hauts dignitaires à la cour d'Isabelle la Catholique. - 46. Saturnales de la victoire (datées des 13-14-15 juillet 1919). - 47*. Plaisir sensuel. L'amour mouillé. - 48.& 49. Musée de Naples. - 50*. Dans la grange. Agréable passe-temps. - 51. Fantaisie musicale. - 52. Exercices d'assouplissement. - 53. Le choix de la supérieure. - 54*. Une vie de chien. Profond cynisme. - 55. Alerte au village. - 56. Fleur de pavé. - 57. Arguments frappants. - 58. Aux Champs-Élysées (unique scène masculine du recueil représentant une sodomie au jardin des Tuileries, déjà fréquenté à cette époque pour cet usage). - 59. Double cambriolage. - 60. Flagrant délit. - 61. Lesbiennes (unique scène tribadique). - 62. Fleur de caserne. - 63. Partie double. - 64. À Bougival. À Joinville. - 65. Le passeur à Nogent. - 66. Dans le bois de Meudon. 67*. Si l'on jouait au satyre ? - 68. Plaisir de gosses. - 69*. Plaisir suprême. Truffé d'un feuillet volant avec une composition reprenant la page de frontispice en figurant une jeune fille nue au casque de poilu, à califourchon sur une verge en érection transformée en chimère avec des pattes de canard et une queue de taureau.Une partie des sujets sont, comme indiqué en Ftp 2bis, tirés des Charges et décharges diaboliques d'Eugène Le Poittevin (= Eugène Poidevin, 1806-1870) : paru d'abord en 1830 au format in-4, cet album de planches associait sexualité, humour et satire des moeurs françaises sous Louis-Philippe. Avec Le Diable fecit ou Diabolico Foutromanie, ou encore L'Enfer en goguette, il s'agit de scènes à la fois burlesques et pornographiques qui furent immédiatement censurées puis bien sûr condamnées à la destruction en 1845 pour atteinte aux bonnes mœurs. Dans notre recueil, il s'agit des planches non signées. Ceux attribuables aux auteurs sont signés A.P. (cf. liste) ou R (Planches 55 à 60). À noter que les planches 64-66 qui présentent des scènes localisées témoignent d'une bonne connaissance des lieux de drague en plein air de l'époque (dont les bords de Marne, propices aux intermèdes coquins). Cf. Vente Normann I, 209 & 210 (pour les Charges et décharges). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
Les diaboliques. Celle qui n'était plus
1955 Paris, Denoel, 1955, volume in-12 broché, 218 pages, couverture rouge et noire illustrée, collection "crime-club" n° 16, très bon état
1955 : Les Diaboliques, film français réalisé par Henri-Georges Clouzot, d'après le roman Celle qui n'était plus (sorti en 1952), avec Simone Signoret, Véra Clouzot, Paul Meurisse et Charles Vanel. Le film ayant grandement contribué au triomphe du livre, les auteurs décidèrent de le surbaptiser Les Diaboliques (ref: wikipédia)
