Grasset et fasquelle 1992 in8. 1992. broche avec jacquette. 339 pages. C'est en 1961 à Bizerte que Jean Daniel fit l'expérience de cette 'blessure' qui faillit lui coûter la vie. Quelques balles d'un fusil mitrailleur la mort qui soudain se rapproche insiste puis s'éloigne. Hésitante renaissance... Pendant plusieurs années Jean Daniel tient alors une sorte de journal intime. Au jour le jour ce fut la chronique chuchotée d'une époque en tumulte telle qu'elle se traduisait sur les visages des hommes et des femmes connus et inconnus qui se rendaient au chevet du malade. C'est ce texte qui est ici publié tel qu'il fut écrit. Ce journal d'hier appelait un contrepoint d'aujourd'hui. D'où comme une retouche ou un repentir la seconde partie de ce livre dans laquelle l'auteur revisite quelques temps forts de sa mémoire. Que sont devenus depuis trente ans les êtres les événements les idées et les sentiments qui peuplaient son journal ? Quels sont désormais les nouveaux enjeux et les nouveaux démons de ce 'Temps qui vient' ? De la décolonisation à l'implosion du communisme de la guerre d'Algérie à la guerre du Golfe de l'improbable à l'imprévisible d'une France à l'autre de Sartre et Foucault à Havel et Kundera et de Camus à Camus l'itinéraire intellectuel et moral d'un homme qui se voudrait contemporain de sa propre histoire Bon Etat intérieur propre
Reference : 96638
ISBN : 2246447011
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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État : Très bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 220pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché-cousu - Divers : Léger pli de lecture au dos. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/9717-la-blessure?lrb
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Préface de Gérard Leclerc. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
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État : Bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 220pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché - Divers : Dos un peu plié. Couv très légèrement usagée. Un nom sur la première garde. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/3037-la-blessure?lrb
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
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État : Très bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 228pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché - Divers : Un tout petit pli sur la première de couv. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/2550-la-blessure?lrb
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
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Arléa, collection 1er mille, 2014. In-8 broché, couverture imprimée.
"Il s'appelle Olivier, elle s'appelle Héloïse. Ils vont déjeuner, mais la rame de métro dans laquelle ils sont montés est gravement endommagée par une explosion. Restera de cet accident des corps meurtris, un sentiment brisé et une photo de leur évacuation, si violente et si impudique qu'elle va tout faire trembler autour d'eux. Ils n'auront qu'une obsession : réparer les dégâts que cette image aura causés dans leurs vies. Portrait d'après blessure raconte l'histoire de deux êtres aux prises avec le pouvoir des photographies, qu'elles parlent la langue de la dignité ou celle du désastre." * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
1 L.A.S. de 3 pages , datée de Louveciennes, 11 juillet 1864 : [Iil évoque ses recherches dans les archives de Seine-et-Marne et de Provins et continue : ] "Le compte-rendu qui concerne l'hôpital de Provins, si notre secrétaire général daignait le parcouri, augmenterait peut-être son goût pour le service des archives, & c'est ce que nous devons souhaiter dans l'intérêt de l'institution. Bien qu'il soit piquant de poursuivre avec persévérance depuis onze années, sans grand encouragement, une des oeuvres qui recommanderont le plus, aux yeux de nos successeurs, l'administration actuelle de notre ministère, je ne tiens pas d'une manière essentielle à la poétique auréole des gens méconnus" [ Il regrette de ne pas avoir pu rencontrer son interlocuteur. Il repart pour la Creuse, l'Ardèche et la Savoie ] "Si vous voyez M le Duc de P., je vous prie expressément de lui offrir mon hommage & mes pieux souvenirs. J'aurais dû y retourner ; je crains de lui être importun, & cette pensée me rend contraint en sa présence. Il me croit au dessous de ma tâche et me l'a presque avoué ; - dur loyer d'un zèle que rien ne décourage, vous le savez, vous ! Il a accueilli, contre moi, des infirmations, & conçu des préventions qui sont un chagrin constant dans ma vie. La reconnaissance, l'affection qui me lient à un homme qui a tout mon respect enveniment encore une blessure dont je ne guérirai pas. Mais pourquoi diantre vous dis-je tout cela ? Peut-être parce que j'y pense sans cesse. A vous de coeur"
Belle lettre de l'écrivain, historien chartiste et archiviste Francis Wey (1812-1882), dans laquelle il affirme sa soif de reconnaissance, notamment de la part du "duc de P." (peut-être Ernest Arrighi de Casanova, duc de Padoue, ministre de l'intérieur depuis 1859).