‎Dubourg Sabine‎
‎Cela parfois‎

‎Solaire 1982 poche. 1982. Broché. 62 pages. Bon Etat‎

Reference : 94227


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€7.00 (€7.00 )
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M. Philippe Arnaiz

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‎DUBOURG Sabine‎

Reference : 162035

(1982)

‎Cela parfois ‎

‎ Solaire Solaire, 1982. In-12 carré broché, couverture à rabats de 62 pages non coupées. Exemplaire numéroté sur Canson C à grains. Cahier Solaire 38.Très bon état‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

EUR8.00 (€8.00 )

‎1) DUBOURG, Sabine. - 2) DEMAZET, Olivier. - 3) DRUEZ, Michel. - 4) PADOVANI-PRAT, J.‎

Reference : 17786

‎1) Cela parfois (1982). - 2) A mains nues (1999). - 3) En un secret éloge... (1993). Eclats d’un millénaire défunt (2002). - 4) L’autre mémoire (1987).‎

‎1) Solaire. 2) Montauriol. 3) Encres vives. 4) I.M.F. 5 volumes in-12 et in-8°, brochés.‎


‎Tous avec envoi. [17786]‎

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Phone number : 33 01 43 47 01 20

EUR18.00 (€18.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎SARCEY (Francisque) : Journal de Jeunesse (1839-1857). Recueilli et annoté par Adolphe BRISSON et suivi d'un choix de Chroniques (Fagots, Notes de la Semaine, Grains de Bon Sens). Préface d'O. GREARD. Paris, Bibliothèque des Annales Politiques et Littéraires, sans date ([1903]. In-8 « carré », (3) ff.[blanc, faux-titre, titre]-XXVI-416pp., broché, couverture rempliée imprimée illustrée beige, sous chemise de toile saumon, dos lisse muet, titre doré sur le plat supérieur (traces de fentes pour les lacets qui ont disparu ; assez bel exemplaire non coupé). Préface d’Octave GREARD (Vire, 1828 – Paris, 1904), Académicien et ami de l’auteur. ‎

Reference : 80043-1

(1903)

‎AUTEUR : Francois, dit Francisque, SARCEY (Dourdan, 8 octobre 1827 – Paris, 20 mai 1899) ; sur le site geneanet, il était un des petits-fils d’un « ouvrier en soierie » lyonnais, terme pudique évitant celui de « canut », à la connotation subversive ; du côté maternel, il descendait d’une famille de petite noblesse, les « de Brunel de Serbonnes » ; son arrière- grand-père, Louis-François (1743-1802) était « Écuyer, seigneur de Serbonnes ». Si, dans ses « Souvenirs de jeunesse » (Paris, Ollendorff, 1885), Sarcey ne renie pas ses origines modestes, étant le "onzième enfant d’une famille de canuts lyonnais » (p.2), en revanche, côté maternel, « ma grand-mère était renommée pour la franchise brusque de son style (…) qui était vraiment incroyable chez une très honnête femme, marquise de plus, et marquise authentique s’il vous plaît, aux propos salés et aux mots crus ». Néanmoins, « elle était avec cela d’une dévotion outrée et d’un implacable légitimisme (p. 257). Voilà pour le roman de chevalerie, dans lequel la princesse épouse le manant. La fantaisie ne fait que commencer [NOTE 1] On n’insistera pas sur le parcours de l’auteur, républicain modéré, hors du commun mais contre la Commune… [NOTE 2] TEXTE : les « Chroniques » sont extraites du Temps, du Figaro et des Annales. Illustré de deux planches hors-texte, reproduites en photogravure (frontispice , d’après un Daguerréotype, et portrait en pied, daté:1857, p. 272, tirés sur papier fin) et de trois fac-similés in-texte pp. 21, 67, 118). ESSAI DE DATATION Aujourd’hui, 21/10/2023, quinze exemplaires sont proposés sur LRB :on a le choix entre, sans date [7] sans date (1903) [1], circa 1900 [4] ; deux péremptoires, 1900 [1] et 1895[1] ; un petit dernier ne propose pas de date… Qu’en est-il vraiment ? Un petit saut sur « Gallica » permet de résoudre ce faux vrai problème : la date de l’édition est donnée par Otto LORENZ , in « Catalogue général de la Librairie française », Paris, R. Jordell et Nilsson, 1909 (p.600) : 1903. Dans les fonds publics, les exemplaires « ordinaires » ne manquent pas ; l’ouvrage est annoncé généralement « sans date », quelquefois daté [1903] ; à l’exception d’une fiche figurant au SUDOC (dans sept bibliothèques, parfois prestigieuses), d’une part, à la date de 1860… année de naissance de Brisson (comme quoi la valeur n’attend point, etc. ) , d’autre part, avec la mention « Per Lamm », du nom du co- créateur des éditions Nilsson… en 1885 ! ‎

‎EDITION ORIGINALE posthume du journal de ce célèbre journaliste et critique littéraire (Dourdan, 1827 – Paris, 1899), publié par son gendre Adolphe BRISSON (Paris, 1860 – 1925) qui fut aussi Directeur des Annales Politiques et Littéraires. TIRAGE : En dehoirs du tirage ordinaire, au format in-12 ou in-16 (cm 12 x 19,5), il existe, au même format, un tirage numéroté montrant sur le faux-titre : « Exemplaire N°____ Hommage de l’auteur à M…………. », tirage important , non annoncé (voir à la B.M de Grasse, l’exemplaire n°2386, dédicacé par A. Brisson à Mme de Maupassant ( Laure Le Poitevin, mère de Guy, qui mourut à Nice, le 9 décembre… 1903 (AD06, Décès 1903, n°2914) ; un autre, n° 2214, « à M. Gérard », non daté (BNF, 31298404, Gallica) ; un dernier, vu sur Abebooks en 2021, portait le N° 683 ( en Germanie). Enfin, on trouvera de rares exemplaires – dont celui-ci- imprimés sur papier VERGÉ de HOLLANDE filigrané « Van Zonen », au format in-8 (cm16,5 x 19), à grandes marges (bordures des témoins un peu défraîchies), non justifiés, non annoncés (couverture différente). ‎


‎PROVENANCE : Exemplaire issu de la bibliothèque d’ANATOLE FRANCE, enrichi d’un envoi autographe signé d’Adolphe BRISSON « A [sic] Anatole France, en souvenir de Sarcey ». Exemplaire EXCEPTIONNEL. [NOTE 1] Sur des sites aussi sérieux que ParisMusée (Carnavalet) et BNF (data-bnf.fr) on découvre l’existence d’un parfait homonyme, Francisque SARCEY de SUTIERES (ou Suttières), miraculeusement né à Dourdan et décédé à Paris aux mêmes dates que notre Francisque, affublé parfois d’un pseudonyme « Bonhomme Chrysale », présenté comme notre auteur. Un site aussi sérieux que les précédents, le CTHS, va contribuer à casser ce mythe assez fréquent sur la toile : Le « Bonhomme Chrysale » était un pseudonyme utilisé par … Adolphe Brisson, gendre de Sarcey ; confirmation sur … la BNF : A. Brisson… forme rejetée « Bonhomme Chrysale », pseudonyme. Néanmoins, la tradition a la vie dure : - sur Wikipedia Deutschland, la légende a été reprise, avec une « source » minutieuse, in Lilian Straus-Horkheimer ; (F.S.) als Theaterkritiker. Geinhausen, Dissertation [Thèse] Frankfurt /Main, 1937. - sur geneanet british, avec une référence à Wikipedia. Plus près de nous, - dans Desurvire, Emmanuel : Charles Edmond Chojecki, patriote polonais (…) dramaturge, romancier, journaliste. Chez l’auteur, 2011-2014 . Biographie en six volumes (BNF 42567201) (tome III, Annexe VI. Index des noms cité, p. 440)… Liste non exhaustive. [NOTE 2] supprimée par l’Otto censure. BUR(H5/1) ‎

Roland Gautier - Jurançon

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EUR130.00 (€130.00 )

‎curiosa Triomphes de la Bande Dessinée‎

Reference : 2841

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