Grasset 1975 in8. 1975. Broché. 310 pages. Bon Etat
Reference : 88573
ISBN : 2246002141
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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P., Roustan et Champion, 1904. Petit in-8, XI, 220 pp. broché, dos cassé.
Annales - Economies / Sociétés / Civilisations - Revue bimestrielle publiée avec le concours du C.N.R.S et de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales - Ed Armand Colin
Reference : 9930
édition de luxe 1994 1994. superbe ouvrage en grand format cartonné 250 pages aux éditions Louis Pariente; (Réimpression de luxe de l'édition parue en 1887). Nouvelle édition commentée et augmentée par Liliane Pariente et Philippe Deville enrichie par les dessins de Christian Michaut et Jean-Pierre Merlin. Première réimpression complétée de quelques précisions. Editions Louis Pariente Paris 1989. Imprimerie Maury Eurolivres 1994. - Relié grand in-4 (25x33 8cm) plein simili cuir bordeaux. Titres encadrements et ornements dorés au dos et 1er plat. Toutes tranches dorées. 250 pages. Texte sur deux colonnes. Nombreuses illustrations in et hors-texte. TABLE / L'année 1789 - 1/ Sentiments dans lesquels la révolution trouvait les médecins à son début - II/ Les médecins dans les Assemblées Nationales : Chronologie de l'Assemblée Constituante. L'Assemblée constituante - Chronologie de l'Assemblée Législative. L'Assemblée Législative - Chronologie de la Convention. La Convention. - III/ Les médecins en dehors des fonctions politiques - Hors des armées - Les médecins dans les armées. - IV/ Les médecins pendant la Terreur. Exécutés - Emigrés. - V/ Après la Convention - Chronologie des Directoires. Les médecins après la Convention. - VI/ Les intérêts professionnels en face de la révolution. - Index. en TRES BON ETAT complet et solide sans déchirures ni annotations; intérieur propre; coins pas émoussés bel ouvrage
Très bon état
Chez les Frères Bernard, à Amsterdam [Lyon] 1746, petit in-8 (12x18,5cm), xxviij ; 64pp., relié.
Édition originale parue anonymement à Lyon et non à Amsterdam comme le stipule la page de titre. La seconde édition parue à la même date chez le même éditeur posséde une pagination différente et un format plus petit (in-12); elle ne doit pas être confondue avec la véritable originale (64 pp. pour la nôtre contre 96 pp. pour l'autre). Reliure en plein parchemin. Gardes changées. Il s'agit d'un pamphlet dans lequel l'auteur attaque et ridiculise les principaux médecins de l'époque, et expose les grands traits de sa doctrine matérialiste. Le livre fut condamné à être lacéré et brûlé par arrêt du Parlement du 9 juillet 1746. On oublie trop souvent que La Mettrie fut lui-même médecin militaire avant d'être contraint d'abandonner son poste et de s'expatrier en raison de ses publications. Au travers d'une fiction dans laquelle un voyageur s'embarque pour la Chine pour y étudier la médecine et les médecins chinois, satire de la médecine contemporaine et de ses médecins; l'ouvrage est censé être une traduction du chinois d'un grand manuscrit de médecine. Toutes les éditions anciennes de ce texte sont aujourd'hui devenues rares. Notre exemplaire présente en marge, à la plume, les «clés» de tous les portraits des prétendus médecins chinois composant l'ouvrage. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Picard, 1976, fort gr. in-8°, x-611 pp, avant-propos par Pierre Chaunu, index, broché, bon état
"C'est tout un monde passé que ressuscite Françoise Lehoux. En se fondant sur le contenu de soixante-treize inventaires après décès conservés au Minutier central des notaires aux Archives nationales et sur quelques documents annexes, testaments ou contrats de mariage, elle tente, en près de six cents pages, de redonner vie à soixante-six familles de médecins parisiens. La période couverte par l'étude s'étend de 1508 à 1665, dates extrêmes des inventaires utilisés ; elle commence donc au moment où la médecine sort à peine du Moyen Age, et s'arrête l'année même de la création du Journal des Savants, témoignage d'un nouvel esprit scientifique qui va transformer peu à peu la profession médicale. Après avoir, dans le premier chapitre, présenté les médecins et suivi leurs premiers pas dans la vie professionnelle et sociale, à la sortie des études et après un éventuel mariage, Mlle Lehoux cerne la composition des familles. (...) Dans les trois chapitres suivants, c'est le cadre de vie proprement dit des médecins qui est dépeint : l'habitation, le mobilier, le linge de maison et le costume ; tout en recréant, de façon suggestive et dans les moindres détails, les formes, les couleurs, les odeurs, Mlle Lehoux apporte des renseignements précieux à l'historien de Paris, comme à celui de l'architecture ou du mobilier, voire des mentalités. A ces descriptions souvent plaisantes succède l'énumération de la fortune mobilière et foncière. (...) Comme il était prévisible, les inventaires après décès livrent peu de renseignements sur la pratique médicale elle-même ; la seule note intéressante est la présence signalée chez plusieurs médecins d'un matériel pharmaceutique important, qui constitue parfois un véritable laboratoire et qui témoigne de la guerre livrée par la corporation de saint Luc à celle des apothicaires. La description des bibliothèques des médecins est très précieuse et révèle un milieu très cultivé. (...) Le grand mérite du livre est de presque tenir lieu de recueil de sources, et à ce titre on peut penser, comme le dit P. Chaunu, dans son avant-propos, que « des générations d'érudits et de chercheurs y trouveront matière à instruction et à réflexion »." (Danielle Jacquart, Bibliothèque de l'école des chartes, 1978) — "... Il ne reste qu'à dire que le travail de Madame Lehoux est un véritable modèle d'érudition. Il faut espérer que d'autres érudits suivront l'exemple de ce livre afin d'illuminer d'autres groupes sociaux, non seulement à Paris mais aussi en province. Seulement par une entreprise de ce genre pourrons-nous véritablement connaître ce que fût la société française sous l'Ancien Régime." (R. J. Knecht, Revue belge de philologie et d'histoire, 1980)