Actes Sud 2001 21 2x11 6x1 4cm. 2001. Broché. Sylvain et Magda ne conservent pas la même image de leur Tunisie natale: dans le souvenir du frère aîné ce pays est à ce point synonyme de bonheur de générosité et de bien-être qu'il n'aspire qu'à y retourner; nulle nostalgie en revanche chez sa s?ur cadette qui a fait siens les longs hivers parisiens et qui n'éprouve aucune attirance particulière pour ce pays qu'elle a si peu connu. Trente ans après l'exil à la faveur d'une rencontre inespérée avec un riche Tunisien Sylvain peut enfin accomplir son rêve et racheter le palais de son enfance. Mais il s'aperçoit très vite que les couleurs blanches et bleues de ses rêves ne concordent pas avec la dure réalité d'un pays en prise à la dictature; le voilà confronté à un cauchemar de chaque instant dans lequel il entraîne involontairement sa s?ur venue le rejoindre à Tunis sur ses injonctions mystérieuses? Brigitte Smadja signe ici un roman au rythme haletant qui débute à la manière d'un conte et se poursuit selon un crescendo tragique. Elle y dit l'absurdité de la nostalgie qui reconstitue le passé et installe la fiction; elle confronte ses personnages à un régime dictatorial qui annihile les individus et qui achemine les êtres vers la mort. Demeure alors l'appel implicite au carpe diem au bonheur de l'instant présent indépendamment de toute référence à une mémoire tremblante. --Nathalie Gouiffès Très Bon Etat
Reference : 6873
ISBN : 2742730788
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
04 90 26 49 32
Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets auxquels il faut ajouter les frais de port. Nous acceptons la carte bancaire. LE PORT EST UNIQUE : 10.00 € PAR COMMANDE ( SUIVI )POUR LA FRANCE 15€ (livres et brochures) POUR L'ETRANGER , L' ENVOI EST RAPIDE , PAIEMENT : CB , CHEQUE , PAYPAL
Cinq Continents Editions, 2003, in-4 rel. cart. (24 x 29), 200 p., photographies de Jean-Louis Nou, jaquette, bon état.
"A Agra, se dresse un mausolée de marbre blanc aux murs constellés d'incrustations de pierres semi-précieuses et ornés de peintures raffinées. Moins grandiose et moins renommé que le célèbre Tâj Mahal, le mausolée d'I'timâd ud-Daulah n'en est pas moins l'un des joyaux incontestés de l'art moghol du XVIIe siècle. Le mausolée fut érigé à l'extrême fin du règne de l'empereur Jahângîr (1605-1627) et achevé en 1628. L'épouse de Jahângîr, Nûr Jahân, le fit élever pour abriter les dépouilles mortelles de son père Mîrzâ Ghiyas Beg et de sa mère. Persan d'origine, Mîrzâ Ghiyas Beg était entré au service de l'empereur Akbar. Avec l'accession au trône de Jahângîr, et le mariage de l'empereur avec sa fille Nûr Jahân en 1611, le pouvoir et le prestige de Mîrzâ Ghyas Beg ne cessèrent de croître. Elevé au rang de Premier ministre par le souverain, Mîrzâ Ghiyas Beg se vit en outre gratifié par l'empereur du titre prestigieux d'I'timâd ud-Daulah, "le Pilier de l'Etat". Préfigurant l'incomparable Tâj Mahal, le mausolée d'I'timâd ud-Daulah révèle un certain nombre de partis pris architecturaux ou décoratifs appelés à connaître, sous le règne de Shâh Jahân, une éclatante faveur -tels le revêtement de marbre blanc couvrant la surface totale du bâtiment, les tourelles d'angle se muant en minarets, la profusion et la richesse des incrustations de pierres semi-précieuses se déployant en d'éclatantes marqueteries polychromes sur la blancheur opaline des murs ou encore la prédilection pour les bouquets et les motifs floraux. Bâti au sein d'un vaste jardin symétrique aménagé suivant le modèle persan du jardin quadripartite, le mausolée d'I'timâd ud-Daulah dresse vers le ciel quatre tours d'angle coiffées de petits kiosques hypostyles. Les murs extérieurs du mausolée s'ornent de délicates incrustations de pierres polychromes -onyx, jaspe, topaze, agate ou cornaline- affectant la forme de ramures, de pampres, de fleurs, de cyprès, de vases et d'aiguières ou reproduisant à l'infini divers motifs géométriques. Encore plus spectaculaire est son ornementation intérieure, où la peinture s'allie aux délicates marqueteries de pierre. Murs, plafonds et niches s'ornent de peintures murales et de reliefs de stuc peints et sculptés en une combinaison de couleurs éclatantes où dominent les ocres, les rouges et les verts. Les motifs peints reprennent des motifs traités en incrustations de pierres polychromes : arbres d'essences diverses, vases emplis de fleurs et de feuillages, pampres et grappes de raisins, mais aussi coupes débordantes de fruits et plateaux remplis de grenades -motifs qui tous constituent autant de symboles, de métaphores et de contrepoints visuels aux descriptions coraniques évoquant les splendeurs et les délices promis aux Elus accueillis dans le Jardin d'Eden.
Julliard 1957 1957. Georges Izard: Viol d'un Mausolée / Julliard 1957 SP non coupé . Georges Izard: Viol d'un Mausolée / Julliard 1957 SP non coupé
Très bon état
Jouvet et Cie éditeurs 5 rue Palatine.. 1er juin 1893. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de gravures en noir et blanc dans le texte. Paginées de 169 à 184. Légère mouillure en bas des pages, n'altérant pas la lecture.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Le mausolée du doge Giovanni Pesaro illustré d'une gravure dans le texte de ce mausolée. Voitures à vapeur avec gravure dans le texte d'un générateur de vapeur système Serpollet et autres gravures dans le texte (chaudière du système Serpollet, tricycle à vapeur,coupe d'une voiture type de 7 à 9 places , voiture à vapeur). La besogne faite avec gravure dans el texte de cette peinture par Joseph Bail. Une nouvelle restauration de la vénus de Milo, suite par Félix ravaisson. La chevauchée des Valkyries à l'Opéra illustré d'un dessin du décor avec la chevauchée et coupe verticale de l'appareil ou sytème . La réception de M. Henri de Bornier à l'Académie Française illustré de portraits dans le texte (M. D'Haussonville, De Bornier). La tactique de demain - pare-balles et boucliers, suite par le commandant d'Equilly,à suivre. Sur un mortier du XVIème siècle, découvert à l'Hôtel Dieu de MArseille avec deux gravures dans le texte de ce mortier en bronze découvert à Marseille. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Seuil. 1977. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Papier jauni. 104 pages - rousseurs sur les plats.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Paradis - la compromission poétique - la vérité effective - la notion de mausolée dans le marxisme - écriture et folie - champ phobique - job et le mal radical - la petite marque sur l'estomac - à propos de stanze - la forme en sommeil. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
P., P. Geuthner, 1925 ; 2 vol. in-4. Texte: in-4 broché (33 x 25 cm). 2 ff.-XXII-1 f.-68 pp.-(1 p. errata et addenda) - 3 planches hors-texte (plans). Couverture imprimée. Non coupé. Atlas : portfolio in-4 à rabats (33,5 cm x 26 cm). Demi-toile kaki, 2 liens conservés. X-83 planches (dont 16 en couleurs). Couverture un peu jaunie mais bel exemplaire en très bon état, très frais.
Edition originale. Première monographie sur le sujet, devenue essentielle à la compréhension de ce monument situé à côté de la mosquée dAl-Mansour, considéré aujourd'hui encore comme l'un des plus prestigieux et représentatifs de l'architecture maroco-andalouse. C'est Félix Arin, ancien élève de l'Ecole des Langues-Orientales, qui s'est acquitté du déchiffrage et de la traduction des inscriptions.Les plans sont relevés par A. Gilles, architecte à Marrakech, et les planches en couleurs réalisées d'après les aquarelles de Gabriel-Rousseau, directeur de lenseignement professionnel et du dessin au Maroc entre 1920 et 1930, mais qui aimait par-dessus tout se faire appeler «artiste peintre».(MIGEON, Gaston."Gabriel-Rousseau. Le Mausolée des Princes Saâdiens à Marrakech (Maroc). Préface par Edm. Doutté. Lecture des inscriptions par Félix Arin", 1925. In : Syria. Tome 7, 1926. pp. 280-281).