Club francais du livre 1976 in8. 1976. Cartonné jaquette. 280 pages. Bon Etat
Reference : 67548
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
04 90 26 49 32
Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets auxquels il faut ajouter les frais de port. Nous acceptons la carte bancaire. LE PORT EST UNIQUE : 10.00 € PAR COMMANDE ( SUIVI )POUR LA FRANCE 15€ (livres et brochures) POUR L'ETRANGER , L' ENVOI EST RAPIDE , PAIEMENT : CB , CHEQUE , PAYPAL
Gallimard / Folio 2011 poche. 2011. broché. 352 pages. Dans une ville d'eaux au charme suranné huit personnages s'étreignent au gré d'une valse qui va s'accélérant : une jolie infirmière ; un gynécologue fantaisiste ; un richard américain (à la fois saint et don Juan) ; un trompettiste célèbre ; un ancien détenu victime des purges et sur le point de quitter son pays... Un songe d'une nuit d'été. Un vaudeville noir. Les questions les plus graves y sont posées avec une blasphématoire légèreté qui nous fait comprendre que le monde moderne nous a privés même du droit au tragique Bon Etat
Folio poche. Sans date. broché. 3 volume(s). Bon Etat intérieur propre
Gallimard 1978 11x17x2cm. 1978. Broché. 353 pages. Bon Etat intérieur propre pointes légèrement cornées
Paris Gallimard NRF - Collection "Du Monde entier" 1976 In-8 Broché, jaquette illustrée Dédicacé par l'auteur
EDITION ORIGINALE de la traduction française de François Kérel. Pas de grand papier annoncé. Exemplaire du service de presse portant sur le titre un ENVOI autographe signé et daté de Milan Kundera à l'écrivain et critique Christian Guidicelli «. en respectueux hommage . Paris 1967 [sic]». Très bon 0
Paris, Gallimard, (5 janvier) 1976 1 vol. (140 x 205 mm) de 280 p. et [4] f. Broché, jaquette illustrée à rabats. Édition originale. Premier tirage. Exemplaire poinçonné du service de presse. Envoi signé : « à Maurice Nadeau, en respectueux hommage (et avec mon remerciement retardé sur son jugement extrêmement exacte (sic) sur La vie est ailleurs). Milan Kundera. Paris, janvier 1976 ».
Bel exemplaire offert à Maurice Nadeau, qu'il remercie tardivement d'une critique donnée pour La Valse aux adieux, « (...), ce grand livre courageux où êtres et événements sont dépouillés de leurs apparences mensongères [et] agit sur le lecteur à la façon d'un jet de vitriol (...). Kundera ne peut pas croire que l'idéal d'émancipation doive aboutir à de nouveaux maîtres, plus cruels encore que les anciens. Ce désir, qui ne passe pas toujours avec la jeunesse, de 'transformer le monde', de 'changer la vie', faut-il le ranger au rayon des vieilles lunes ? (...) Transgresser notre condition ce n'est peut-être rien d'autre que de découvrir en nous les possibilités de la transgresser en commençant par nous rendre maître de tout notre territoire, avec nos propres forces. Cette leçon d'humanisme « aux relents d'individualisme réactionnaire », les Tchèques ne l'entendront pas de sitôt. Milan Kundera est interdit dans son pays. On croit lui avoir ôté le droit de parler » (Maurice Nadeau, Les Lettres nouvelles, n° 176).