Bateau ivre 1946 in12. 1946. Broché. 281 pages. Bon Etat
Reference : 47003
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Bateau ivre 1946 281 pages in12. 1946. Broché. 281 pages.
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3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...
3 ouvrages en un volume in-16 de (1) f., 126 pp. - XX, 98 pp., (1) f. de catalogue - (1) f., 30 pp., veau marbré, filet à froid en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de caissons de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées rouges (reliure de l'époque).
"Réunion de trois ouvrages de la libre pensée des Lumières, dont deux liés à Voltaire. 1. T. L. Lau. Méditations Philosophiques, Sur Dieu, le Monde & l'Homme. 1770. En 1717, le Prussien Ludwig Lau (1670-1740), ancien conseiller du duc de Courlande, publie en latin à Francfort, sous le voile de l'anonyme, ses Meditationes philosophicæ de Deo, Mundo et Homine. L'ouvrage est immédiatement accusé d'impiété et d'athéisme, les exemplaires saisis et brûlés, et son auteur, dénoncé par l'éditeur, est interné puis chassé de la ville. Lau se défend alors maladroitement prétendant avoir usé d'une provocation rhétorique sous le masque du libre penseur pour mieux faire ressortir le point de vue chrétien. Las, même son ancien professeur à l'université de Halle le désavoue en le qualifiant de spinoziste. Pourtant, deux ans plus tard, Lau récidive avec un autre texte : Meditationes, theses, Dubia Philosophico-theologica. Après avoir obtenu son doctorat de droit en 1725, Lau est nommé à un poste de magistrat dans sa ville natale de Königsberg ; mais, en 1728, rattrapé par ses deux textes sulfureux, il est sommé de se rétracter, perd son emploi et est chassé. On retrouve sa trace en 1736 près d'Hambourg, à Altona, où il meurt quatre ans plus tard. Texte le plus radical de Lau, les Meditationes philosophicæ s'inscrivent dans le contexte de l'émergence de la libre pensée allemande. Son matérialisme athée assimilant Dieu à la nature emprunte aussi bien à Lucrèce qu'à Spinoza. Peu après la publication originale des Meditationes en 1717, on trouve trace d'une traduction manuscrite en français (Bib. Mazarine, ms 3563). (Henri Coulet souligne à ce propos que le ""latin rocailleux"" de Lau avait posé de grandes difficultés aux traducteurs français). En 1770, est donnée une édition du texte latin, modifié sensiblement par rapport à celui de 1717, face à face avec une traduction française. C'est cette édition originale que l'on trouve ici réunie dans notre volume. L'édition latin-français de 1770 est incluse trois ans plus tard dans la Bibliothèque du bon sens portatif (Maz. 23285 B-E), dont elle constitue le tome VIII. H. Coulet, ""Réflexions sur les Méditations de Lau"", Le Matérialisme du XVIIIe siècle et la littérature clandestine, O. Bloch (dir.), 1982, pp. 31-44 ; ""Lau est un de ces obscurs précurseurs qui sont d'emblée allés plus loin que leurs continuateurs plus illustres"", p. 38. - D. Minary et P. Monat, ""Les Réflexions irréligieuses publiées par l'Allemand T. L. Lau en 1717 et 1719"", Débuts et Fins de Siècles, D. Minary (éd.), 2000, pp. 55-142. 2. Questions sur les Miracles, en forme de Lettres. A Monsieur le Professeur Cl....., 1767. En 1765, le pasteur et enseignant genevois David Clarapède (1727-1801) publie ses Considérations sur les miracles de l'Évangile, pour répondre aux critiques émises sur ce sujet par Rousseau dans la troisième de ses Lettres écrites de la Montagne. ""Aussitôt il se trouve à Ferney un proposant, c'est-à-dire un jeune étudiant en théologie, qui se destine au ministère du saint Évangile, lequel prend la liberté de proposer à M. le professeur Clarapède quelques questions sur les miracles"" (Grimm, nov. 1765). L'ironique patriarche est bien entendu derrière tout cela et ridiculise, dans vingt lettres successives, les détracteurs qui ont la mauvaise idée de vouloir rompre en visière avec lui : ""Je ne crois pas qu'il ait rien fait de plus fou et de plus gai depuis Candide, de plaisante mémoire, et sans excepter les facéties Pompignanes"" (Grimm, ibid.). Bengesco, 1714. Grimm, Correspondance littéraire, 1878, t. VI. 3. Charles Bordes, Le Voyageur Cathécumène. 1768. En 1767, est publiée par Michel Rey à Amsterdam ""une feuille […] qui est restée d'une excessive rareté est intitulée le Catéchumène. C'est un des morceaux les plus forts qui aient été faits contre la religion chrétienne. […] Il y a des phrases et des traits que je croirais de M. de Voltaire comme si je les lui avais vu écrire"" (Grimm, janv. 1768). Ce texte rencontre un succès considérable : on en connaît douze éditions séparées au XVIIIe siècle, sous six titres différents. À l'instar de Grimm, les contemporains en attribuent la paternité au patriarche de Ferney. ""On ne peut pousser plus loin l'ironie & le sarcasme sur les matières les moins faites pour en être l'objet. On ne doute pas que cet ouvrage ne soit de M. de Voltaire"", Mémoires secrets, février 1768, t. III, 1780, p. 304. Or le Catéchumène n'est pas dû à plume de Voltaire mais à celle d'un auteur lié au philosophe : Charles Bordes (1711-1781), membre de l'Académie de Lyon. Voltaire a cependant joué un rôle majeur dans cette entreprise éditoriale puisqu'il est l'éditeur du manuscrit, c'est-à-dire qu'il l'a revu et surtout coupé afin de gagner en concision et efficacité. Selon la liste des différentes éditions du Catéchumène établie par Lee (p. 174), celle incluse dans notre volume est la dernière des trois données en 1768, à la suite de l'originale. Il s'agit de la première édition portant un titre modifié. Correspondance littéraire, 1879, t. VIII, pp. 12-13. - J. Patrick Lee, ""Voltaire éditeur de Charles Bordes : Le Catéchumène"", Revue Voltaire n° 4, 2004, pp. 161-176. Très joli exemplaire en veau de l'époque. De la bibliothèque Jules Fougeres avec ex-libris."
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VOLTAIRE (François-Marie AROUET, dit) - BEAUMARCHAIS (Pierre-Augustin CARON de, imp. par) - CONDORCET (Nicolas, Marquis de).
Reference : 30620
(1785)
S.l. [Kehl], de l'Imprimerie de la Société littéraire typographique, 1785 (1789 pour le dernier volume). 92 vol. au format in-12 (178 x 108 mm) de 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol. et 527 pp. ; 2 ff. n.fol. et 492 pp. ; 2 ff. n.fol. et 484 pp. ; 2 ff. n.fol. et 504 pp. ; 2 ff. n.fol. et 544 pp. ; 2 ff. n.fol. et 438 pp. ; 2 ff. n.fol. et 466 pp. ; 2 ff. n.fol. et 500 pp. ; 2 ff. n.fol., 526 pp. et 1 f. bl. ; 2 ff. n.fol. et 468 pp. ; 2 ff. n.fol., 462 pp. et 1 f. bl. ; 2 ff. n.fol. et 468 pp. ; 2 ff. n.fol. et 471 pp. ; 2 ff. n.fol. et 479 pp. ; 2 ff. n.fol. et 452 pp. ; 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol. et 451 pp. ; 2 ff. n.fol. et 460 pp. ; 2 ff. n.fol. et 461 pp. ; 2 ff. n.fol. et 498 pp. ; 2 ff. n.fol. et 444 pp. ; 2 ff. n.fol. et 396 pp. ; 2 ff. n.fol. et 368 pp. ; 2 ff. n.fol. et 412 pp. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 412 pp. et 1 f. bl. ; 2 ff. n.fol. et 538 pp. ; 2 ff. n.fol. et 437 pp. ; 2 ff. n.fol. et 535 pp. : 2 ff. n.fol. et 428 pp. ; 2 ff. n.fol. et 399 pp. ; 2 ff. n.fol. et 438 pp. ; 2 ff. n.fol. et 356 pp. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol. et 328 pp. ; 2 ff. n.fol. et 384 pp. ; 2 ff. n.fol. et 438 pp. ; 2 ff. n.fol. et 367 pp. ; 2 ff. n.fol., 379 pp. et 1 f. bl. ; 2 ff. n.fol. et 413 pp. ; 2 ff. n.fol. et 340 pp. ; 2 ff. n.fol., 312 pp. xiv planches dépliantes in fine ; 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol. et 442 pp. ; 2 ff. n.fol. et 442 pp. ; 2 ff. n.fol. et 390 pp. ; 2 ff. n.fol. et 504 pp. ; 2 ff. n.fol. et 444 pp. ; 2 ff. n.fol. et 368 pp. ; 2 ff. n.fol. et 360 pp. ; 2 ff. n.fol. et 539 pp. ; 2 ff. n.fol. et 538 pp. ; 2 ff. n.fol. et 502 pp. ; 2 ff. n.fol. et 526 pp. ; 2 ff. n.fol. et 528 pp. ; 2 ff. n.fol. et 515 pp. ; 2 ff. n.fol. et 528 pp. ; 2 ff. n.fol. et 559 pp. ; 2 ff. n.fol. et 476 pp. ; 2 ff. n.fol. et 383 pp. ; 2 ff. n.fol. et 396 pp. ; 2 ff. n.fol. et 356 pp. ; 2 ff. n.fol. et 311 pp. ; 2 ff. n.fol. et 312 pp. ; 2 ff. n.fol. et 398 pp. ; 2 ff. n.fol. et 394 pp. ; 2 ff. n.fol. et 461 pp. ; 2 ff. n.fol. et 491 pp. ; 2 ff. n.fol. et 524 pp. ; 2 ff. n.fol. et 519 pp. ; 2 ff. n.fol. et 488 pp. ; 2 ff. n.fol. et 480 pp. ; 2 ff. n.fol. et 467 pp. ; 2 ff. n.fol. et 487 pp. ; 2 ff. n.fol. et 528 pp. ; 2 ff. n.fol. et 479 pp. ; 2 ff. n.fol. et 479 pp. ; 2 ff. n.fol. et 479 pp. ; 2 ff. n.fol. et 527 pp. ; 2 ff. n.fol. et 547 pp. ; 2 ff. n.fol. et 515 pp. ; 2 ff. n.fol. et 478 pp. ; 2 ff. n.fol. et 468 pp. ; 2 ff. n.fol. et 467 pp. ; 2 ff. n.fol. et 480 pp. ; 2 ff. n.fol. et 442 pp. ; 2 ff. n.fol. et 464 pp. ; 2 ff. n.fol. et 429 pp. ; 2 ff. n.fol. et 439 pp. ; 2 ff. n.fol. et 406 pp. ; 2 ff. n.fol. et 451 pp. ; 2 ff. n.fol. et 452 pp. ; 2 ff. n.fol. et 432 pp. ; 2 ff. n.fol. et 403 pp. ; 2 ff. n.fol. et 372 pp. ; 3 ff. n.fol. et 582 pp. Reliures uniformes sans doute très légèrement postérieures de pleine basane mouchetée émeraude, filet gras et double filet maigres dorés encadrant les plats, dos lisses richement ornés d'un filet d'encadrement doré, filets gras dorés, doubles filets en pointillés dorés, roulettes fleuronnées dorées, larges fleurons dorés, semis de points et de pointillés dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin vieux-rouge, titre doré, tomaison dorée, filet doré sur les coupes, tranches mouchetées.
Ensemble complet de ses 92 volumes ; recelant 2 frontispices gravés et de 14 planches dépliantes. Edition en partie originale. Célèbre édition, dite de Kehl, établie par les soins et aux frais de Beaumarchais. ''On y a donné pour la première fois la volumineuse correspondance de l'auteur ainsi que plusieurs pièces de théâtre et autres morceaux curieux qui étaient restés inédits.'' (in Brunet). ''Cette célèbre édition était la plus complète, la plus belle et la mieux ordonnée qui eût paru jusqu'alors des Oeuvres de Voltaire. C'est sous le point de vue typographique que Beaumarchais mérite des éloges''. (in Brunet). « Chef-d’œuvre de l’art typographique ». La Société littéraire typographique de Kehl fut fondée par Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais et Nicolas de Condorcet dans le seul but de publier une édition des Œuvres complètes de Voltaire ; laquielle eût rassemblé tous les textes inédits, publiés anonymement ou sous pseudonyme, ainsi que sa correspondance et ses textes autobiographiques.Le projet est ouvertement militant : il s'agit, contre les adversaires de la raison et du progrès de l'esprit humain, de diffuser la pensée de Voltaire, de défendre et perpétuer sa mémoire, comme d'« élever un monument à la gloire de ce beau génie. » L'établissement de Kehl fut l'un des premiers mettant en œuvre toutes les étapes de la fabrication du livre, depuis les opérations de papeterie jusqu'à l'impression, l'assemblage et la reliure. ''Pour l'impression de ce monument digne de l'auteur, Beaumarchais acheta les caractères de la veuve du grand typographe anglais John Baskerville, ainsi que trois papeteries dans les Vosges, où il fabriqua lui-même un papier de grande qualité, suivant les procédés d'élaboration des Hollandais, qu'il fit espionner par des agents''. ''L’apport, au sein de la présente édition d’une correspondance monumentale livre l’image de l’homme privé et même intime, à côté de son œuvre littéraire. Le dernier volume, intitulé Vie de Voltaire, est le texte qui lie les deux ensembles. Pour Condorcet, Voltaire a fait de sa vie un chef d’œuvre, qu’il s’agit d’offrir à la postérité pour sa valeur morale et politique. '' (Linda Gil). L'Oeuvre imprimé de Voltaire à la Bibliothèque nationale, 189 - Bengesco IV, Bibliographie des Oeuvres de Voltaire, p. 123 - Graesse VII, Trésor de livres rares et précieux, p. 390 - Brunet V, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 1353 - Cioranescu III, Bibliographie de la littérature française du XVIIIème siècle, 63884 - Rahir, La Bibliothèque de l'amateur, p. 679 - Lemaire, Dictionnaire Voltaire. Angles et quelques coiffes élimés. Discret manque superficiel en tête du dos d'un des volumes. Reliures pouvant présenter quelques abrasions ou petits manques superficiels épars. Dos présentant parfois un éclat légèrement altéré. Une pièce de titre lacunaire. Trois mors fendillés. Rares et claires rousseurs dans les corps d'ouvrages. Un feuillet désolidarisé. Deux autres souffrent d'un petit manque angulaire. Petite déchirure en marge de deux autres. Infime travail de ver en marge supérieure des derniers feuillets d'un des volumes. Quelques cahiers parfois légèrement oxydés.