Editions Albin Michel 1986 22x14x2cm. 1986. Broché. 285 pages. Bon Etat
Reference : 43528
ISBN : 2226022694
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Guebwiller, J. Dreyfus, 1900. Fasc. in-8 br., 37 pp.
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Librairie L. Bernard , Revue de l'Histoire de Versailles et de Seine-et-Oise Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1909 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise, illustrée d'une gravure représentant le château de Versailles en médaillon grand In-8 1 vol. - 55 pages
1 planche hors-texte, portrait de Mme Du Barry par Mme Vigée-Lebrun, 1789 (Bibliothèque de Versailles) 1ere édition, 1909 Contents, Chapitres : Le vol de ses bijoux, ses relations avec le Directoire du département de Seine-et-Oise, les diamants de Louveciennes et Lavallery - Jeanne Bécu, dite aussi Mademoiselle de Vaubernier, devenue par mariage comtesse du Barry, née le 19 août 1743 à Vaucouleurs, et morte guillotinée le 8 décembre 1793 à Paris, fut la dernière favorite du roi Louis XV de 1768 à 1774. Son origine roturière et sa jeunesse agitée ont suscité un certain nombre de pamphlets injurieux, voire orduriers. - En 1789, la comtesse du Barry offre ses services à la cour vidée de nombreux courtisans émigrés dès les premiers moments de la Révolution. Elle soutient de l'intérieur la contre-révolution naissante, mais son passé la rend suspecte. Son ancienne condition de maîtresse royale en fait une cible pour certains révolutionnaires. Dans la nuit du 10 au 11 janvier 1791, grâce à une échelle trouvée à proximité, des cambrioleurs venus de Paris s'introduisent dans son château de Louveciennes, et emportent ses diamants et bijoux. Elle en retrouve la trace à Londres où elle fait quatre séjours successifs pour tenter en vain de les récupérer. En fait, ils se trouvaient dans les mains de l'espion Nathaniel Parker-Forth. Ce dernier les conservera jusqu'à leur vente chez Christie's à son profit, quelques années après la mort de la comtesse. Entre-temps, son amant, le duc de Cossé-Brissac, devenu commandant en chef de la garde constitutionnelle du Roi, dissoute par l'Assemblée législative le 29 mai 1792, est arrêté et emprisonné à Orléans et en attente de jugement par la Haute Cour à Paris. Le 10 août 1792, le Palais des Tuileries est pris d'assaut par les émeutiers et la famille royale incarcérée à la Tour du Temple. Les Massacres de Septembre 1792 éclatent à Paris. Le 9 septembre, le convoi qui ramène à la capitale le duc et ses compagnons prisonniers passe par Versailles où ils sont tués. Les corps des suppliciés sont dépecés et la tête du duc est jetée par une fenêtre dans le salon de la comtesse du Barry. Après l'exécution de Louis XVI (21 janvier 1793), à la veille de la déclaration de guerre avec la Grande-Bretagne, Madame du Barry revient précipitamment en France pour éviter l'apposition des scellés sur sa propriété de Louveciennes. Malgré une pétition signée en sa faveur par 59 habitants de Louveciennes, elle devient « suspecte » dès le vote de la loi de ce nom, le 17 septembre 1793. Ses séjours en Angleterre sont dénoncés comme une aide aux émigrés contre-révolutionnaires. Déclarée ennemie de la Révolution, elle est emprisonnée à Sainte-Pélagie le 22 septembre 1793. Son procès s'ouvre le 6 décembre 1793 devant le Tribunal révolutionnaire présidé par Fouquier-Tinville et, le lendemain, elle est condamnée à la guillotine. L'exécution a lieu sur l'actuelle place de la Concorde, le 8 décembre 1793 (18 frimaire An II du calendrier républicain). La Comtesse du Barry fait l'énumération de tous ses biens, espérant ainsi sauver sa vie. Elle est traînée jusqu'à l'échafaud. Ses derniers mots sans doute apocryphes auraient été : « Encore un moment, Monsieur le bourreau ! » Elle est inhumée au cimetière de la Madeleine où 1 343 guillotinés de la place de la Concorde ont été enterrés. (source : Wikipedia) rousseurs sur les bords du plat supérieur de la couverture et petite déchirure sans manque sur le haut du plat inférieur, sans gravité, la couverture reste en bon état, intérieur sinon frais et propre, papier à peine jauni
1772-1779. 5 parties en un volume in-12 (151 x 93 mm), VII pp., 109 pp.; 188 pp.; 136 pp.; 56 pp.; 1 f. n. ch., 46 pp.; 1 f. n. ch. manuscrit de table. Maroquin citron, double filet doré d'encadrement sur les plats, dos lisse orné, pièce de titre et de tomaison en maroquin fauve, double filet sur les coupes, tranches dorées, quelques rousseurs sur une des parties (reliure de l'époque).
Exceptionnelle réunion de pamphlets sur la Du Barry qui se compose de 5 ouvrages : Les Amours de Zeokinizul, roi des Kofirans (Constantinople, De l'Imprimerie de Sa Hautesse, 1779) ; Le Gazetier cuirassé, ou Anecdotes scandaleuses de la Cour de France (Imprimé à cent lieues de la Bastille, s.d.) ; Mémoires authentiques de la Comtesse de Barré, maîtresse de Louis XV, roi de France (Londres, J. Roson & G. Reily, 1772) ; Mémoires de Louis XV, roi de France et de Navarre (Rotterdam, J. Bronkhorst, 1775) ; Histoire secrète de la vie de Madame la Comtesse du Barry (Londres, P. G. Wauckner, 1776). Un auteur libertin à la censure ! Les Amours de Zeokinizul est un roman à clef attribué à Crébillon fils, dont on retrouve l'anagramme dans le nom du prétendu voyageur, “Krinelbol”. Cet ouvrage relate les amours de Louis XV jusqu'à l'avènement de Madame de Pompadour. Il contient une clef imprimée des noms. Claude-Prosper Jolyot de Crébillon, (Paris, 1707-Paris, 1777), se spécialisa dans les contes et romans licencieux. Il fut emprisonné à la prison de Vincennes. Dans le Sopha, on crut reconnaître Louis XV. Crébillon fut exilé de Paris. Il semble avoir récidivé en 1746 en écrivant Les Amours de Zeokinisul, sous le pseudonyme de Krinelbol, dans lequel l'allusion au roi est transparente... “Un pamphlet très mordant” (Drujon). Le Gazetier cuirassé est une œuvre anonyme et célèbre. C'est un “pamphlet très mordant, injurieux et souvent calomnieux, dirigé contre la Cour de France, notamment contre Mme Du Barry.” L’auteur, Charles Théveneau de Morande (Arnay-le-Duc 1741-Arnay- le-Duc 1805), libelliste, espion et journaliste polémique fut l'un des plus notoires escrocs de la fin du XVIIIe siècle. Il vécut à Paris de larcins, de jeu, de proxénétisme et d'écrits irrévérencieux. En fuite en Angleterre en 1770 il écrivit le Gazetier cuirassé qui fut l’un des plus grands succès de la littérature clandestine, dévoilant débauches et scandales de la noblesse. Il se spécialisa alors dans les libelles diffamatoires et le chantage. En 1774, il fallut l'intervention du chevalier d'Éon et de Beaumarchais pour racheter cet ouvrage sur madame du Barry. Il deviendra l'agent de Beaumarchais notamment pour faciliter l'arrestation d'autres libellistes tout en continuant de publier ses propres pamphlets. Le texte commence au feuillet A2. La page de titre est manuscrite. L'exemplaire fut relié ainsi à l'époque. Rare pamphlet, saisi puis mis à l'index. Les Mémoires authentiques de la Comtesse de Barré, maîtresse de Louis XV, roi de France, extraits d'un manuscrit que possède Madame la Duchesse de Villeroy, sont signés du Chevalier Fr. N. Certains y ont vu François-Félix Nogaret. Édition originale de ce “livre infâme, suite du Portier des Chartreux, dans lequel l’auteur entrait dans le détail des amours du roi avec madame du Barry”. Il sera suivi d'une seconde édition en 1775, toutefois les exemplaires des deux éditions sont rarissimes. L'exemplaire de la première édition cité par Gay, de la vente Bergeret en 1859, fut saisi par ordre de l'autorité à la vente et mis à l'index. Le titre complet du quatrième opuscule est Les Mémoires de Louis XV, roi de France et de Navarre. Dans lesquels on donne une description impartiale de son caractère, de ses amours, de ses guerres, de la politique de sa cour... Par un ancien secrétaire de l'ambassade à la Cour de France. Traduit de l'anglois. L'auteur de cet opuscule, ici en édition originale, est demeuré anonyme. Cet ouvrage sévèrement proscrit est rare. (Voir Darnton, Confiscations at customs, n°239, p. 261 ; et Conlon, 75-386). L'Histoire secrète de la vie de Madame la Comtesse du Barry fut publié anonymement. Ce très rare et violent pamphlet serait l'œuvre de François Bernard. La Bibliothèque de l'Assemblée Nationale possède un exemplaire qu'elle attribue à Théveneau de Morande. Ex-libris armorié de Camille Pauffin de Saint-Morel, juge au Tribunal de Charleville au XIXe siècle. Exceptionnel exemplaire en maroquin du temps. Drujon, Les Livres à Clef, I, col. 37, 386. Quérard, Les Supercheries littéraires dévoilées, II, col. 454. Barbier, Dictionnaire des ouvrages anonymes, II, p. 523. Gay-Lemonnyer, Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour…, III, col. 112.
P., La Librairie Mondiale, s.d. (v. 1910), in-8°, xv-262 pp, nombreuses gravures, reliure demi-basane rouge, dos à 5 nerfs filetés, titre doré (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état (Coll. Nouvelle collection des mémoires historiques)
Jeanne Bécu de Cantigny, dite Mademoiselle de Vaubernier, devenue par son mariage comtesse du Barry, née le 19 août 1743 à Vaucouleurs en Lorraine et guillotinée à Paris le 8 décembre 1793, fut la dernière favorite du roi Louis XV. Son origine roturière et sa jeunesse agitée suscitèrent des pamphlets injurieux et même orduriers. — 1. Anecdotes sur Mme la comtesse du Barry : "C'est au mois de septembre 1775, et probablement à Londres que parut la première édition des Anecdotes sur la comtesse du Barry. Bien que l'ancienne favorite, déchue de ses grandeurs passées, vécût alors, exilée et comme prisonnière, à l'abbaye du Pont-aux-Dames, le souvenir de ses triomphes était trop récent pour que le livre ne fît point éclat. Il était, au reste, curieux, plein de renseignements précis mêlés de gravelures. Comme par-dessus la tête de la maîtresse, il atteignait très directement le roi défunt et ne se pouvait vendre que sous le manteau, le danger de le posséder accrut encore son succès..." (Introduction) — 2. De l'exil à l'échafaud : "Cette dernière partie est empruntée aux “Mémoires historiques de Jeanne Gomart de Vaubernier, comtesse du Barry, rédigés sur des pièces authentiques par M. de Favrolle”, publiés chez Lerouge en l'an XI. Ces mémoires ont pour auteur la baronne Brossin de Méré. Née à Paris, en 1751, Mme de Méré publia de 1794 à 1829, année de sa mort, sous son nom de jeune fille (Elisabeth Guénard) ou sous divers pseudonymes (A. L. de Boissy, J. H. F. de Geller, de Favrolle), cent dix ouvrages, romans, mémoires historiques et contes galants dont on trouvera le détail dans l'excellente notice que Quérard a consacrée à cet auteur. “Les Mémoires de Madame du Barry”, dont les deux premiers volumes reproduisent à peu près “les Anecdotes” de Pidansat de Mairobert, sont la source unique où ont puisé tous les biographes de la favorite. Les historiens n'ont même, à l'exception de M. C. Vatel, rien ajouté, ou presque, à ce premier fonds : c'est une justice qu'il convient de rendre à la baronne de Méré qu'elle a connu et utilisé adroitement tous les documents essentiels de l'époque révolutionnaire concernant Mme du Barry."
Qui économise mille fois son prix en d'autres traitements. Paris (et nombreuses capitales). Maison Du Barry. 1870. In-12 (108 x 168mm) cartonnage bradel dos toile noire, 1er plat imprimé, 63 pages. Couverture très épidermée, bon état intérieur. Rare.
Extrait de la Revue de la Pharmacie, 62e année pages 282-283: De la lentille à la Revalescière, ou du légume à la panacée. Médicalement contestée dans l'antiquité, mais prônée par Ambroise Paré, la lentille subit une longue éclipse jusqu'à ce qu'au XIXe siècle elle procure la fortune à l'Anglais Barry du Barry, sous un nom plus prestigieux il est vrai: celui de Revalenta, puis de Revalescière, sous lequel cet ingénieux charlatan fit de la farine de lentille une panacée. Un Fourcroy et un Braconnot s'y laissèrent prendre. Jules Moineaux, le père de Courteline (sic), eut beau révéler la vérité au public en 1867, celui-ci n'en conserva pas moins sa foi en la Revalescière jusqu'aux années 1880. (Pierre Julien d'aptès Pythos). Du légume à la panacée.