Fayard 2004 23 2x15 2x2 8cm. 2004. Broché jaquette. 345
Reference : 30070
ISBN : 2213621098
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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2004, Fayard, in-8 broché de 345 pages, L'autre Corse, l'homme qui haïssait Napoléon, roman | Etat : bon état, écritures sur la garde (Ref.: ref91414)
Fayard
Bayard Presse. 29 septembre 2000. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 100 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : IVG : la loi Veil révisée, Les résultats du référendum sur le quinquennat, Le journal des Jeux Olympiques, Contre les autonomistes, l'autre Corse, Enquête : les services fiscaux en mal de réforme, Mauritanie : la lutte farouche contre le sable Classification Dewey : 200-RELIGION
Paris, Editions Fayard, 2004. in-8°,, 345 pp., broche, couverture, jaquette illustree.
Jaquette leg. us. sinon bel exemplaire. [BE-2]
Le grand livre du mois. 2004. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 345 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
1 placard format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste)
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.