Rencontre in8. Sans date. Reliure editeur. 351 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat
Reference : 175765
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Plon, 1929, pt in-8°, 341 pp, broché, bon état (Coll. Le Roman des grandes existences). Edition originale, un des 404 ex. numérotés sur papier pur fil Lafuma
"Le Monsieur Thiers de M. Maurice Reclus, bien que paru dans la collection Plon « le Roman des grandes existences », n'a rien de romantique. C'est une étude très sérieuse appuyée sur une documentation qu'on sent très étendue, bien qu'elle ne s'étale pas, écrite avec intelligence et finesse dans un style alerte et agréable. Ce que Maurice Reclus a voulu reconstituer, c'est moins la politique de Thiers qui se confond avec l'histoire générale du XIXe siècle que la vie intime du personnage et de ses proches. Il apporte ici des données très neuves sur la famille Thiers, sur ta famille Dosne où Thiers prit femme, sur ses amis et particulièrement sur son inséparable Mignet, sur sa maison de la place Saint-Georges et sur les belles réceptions que sa belle-mère présidait, sur ses rapports avec le monde des journalistes, avec Louis-Philippe et la Cour, avec Louis Napoléon qu'il contribua plus que personne à élever à la présidence de la République, etc. M. Maurice Reclus n'a pas cherché à voiler les faiblesses de son personnage, qu'il compare justement au héros de Balzac, Rastignac ; il aime la vérité et il la dit, avec réserve et courtoisie. Les gens informés liront parfois entre les lignes. Seul le chapitre sur le rôle de Thiers sous le gouvernement de la défense nationale et pendant la Commune appellerait peut-être des réserves. Je ne suis pas persuadé que Thiers, l'homme de la paix à tous prix eût eu raison contre Garabatta qui voulait continuer la lutte. Il m'apparait que Thiers eut sa responsabilité dans l'affaiblissement de l'esprit public qui fit le jeu de l'Allemagne. Je crois aussi qu'il aurait pu et dû éviter le soulèvement de la Commune. Mais ces réserves qui portent sur l'appréciation des actes politiques de Thiers n'enlèvent rien à la valeur d'un livre qui nous manquait et dont le succès sera très vif." (Albert Mathiez, Annales historiques de la Révolution française, 19219)
Lheureux et Cie, 1865 Lheureux et Cie, 1865. A la même date pour les 3 discours reliés ensemble, In-8 demi-basane blonde, dos à nerfs et filets dorés, pièce de titre. 117 + 48 + 154 pages.SUIVI DE : Discours sur les libertés politiques prononcé par Monsieur Thiers au corps législatif dans la séance du 28 mars 1865. SUIVI DE : Discours sur les finances prononcé par Monsieur Thiers au corps législatif dans la discussion du budget - séances des 2 et 6 juin 1865. Bon état.
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Ferdinand Bac, Intimités de la IIIe République de Monsieur Thiers au Président Carnot, Hachette, 1935, 12 cm X 18,7 cm, 518 pp, couverture souple, broché.
Ferdinand Bac, Intimités de la IIIe République de Monsieur Thiers au Président Carnot, Hachette, 1935, 12 cm X 18,7 cm, 518 pp, couverture souple, broché. Bords frottés, trace de pliure sur le premier plat, accroc sur coiffes, premier plat sali, très bon état par ailleurs. Intérieur frais.
Paris Grasset 1928 In-12 Broché Satisfaisant
351pp, couverture défraichie titre encadré de filets rouge et noir ;10e édition ; 7 chapitres : I. La candidature de Mr Thiers, II. Monsieur Thiers contre la guerre, III. La chute du second empire, IV. Mission en Europe, V. Thiers, Gambetta, Bismarck, VI. Le sacrifice, VII. Thiers contre la commune
Fayard, 1948, in-12, 402 pp, broché, bon état (Coll. Les Grandes études historiques)
"L'ouvrage de M. Lucas-Dubreton est un portrait en action. Avec beaucoup de verve, et de très abondantes et savoureuses citations contemporaines, il nous montre le méridional arriviste tout au long de son existence, avec toutes les petitesses qui sont le ressort de ses actions. M. Lucas-Dubreton ne pose pas au moraliste, mais son talent si vivant, sa pénétration psychologique rendent son oeuvre terriblement convaincante, et plus redoutable pour son héros que le plus féroce des réquisitoires. Sa conclusion est d'ailleurs parfaitement nette : Thiers n'a fait qu'une carrière individuelle ; « sa visée ne dépasse pas les intérêts purement matériels et il ne possède à aucun degré le génie des institutions sociales ; » et M. Lucas-Dubreton laisse entendre que ce bourgeois merveilleusement doué a mésusé de ses dons..." (Jacques Néré, Revue Historique, 1951) — "M. Lucas-Dubreton a scruté sans indulgence la vie publique et privée de son héros. Livre documenté, vif, malicieux à souhait. Dans la longue carrière de Thiers, – elle commence en 1830 et s'achève, avec la fondation de la IIIe République, – il y a sûrement bien des petits côtés. Ce parvenu embourgeoisé, a su faire son chemin sous tous les régimes, pratiquant toute sa vie un « jeu de bascule » assez médiocre. Tout cela est vrai. Il y a quelque partialité cependant à ne présenter au lecteur que cet aspect déplaisant de son caractère. Il y a chez Thiers, avec un réel génie pratique, une vaste culture et un profond patriotisme qu'il serait injuste de minimiser." (Joseph Lecler, Etudes, 1949)