Grasset 1936 in12. 1936. Broché. 360 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Etat intérieur (non-coupé) propre et sans rousseurs couverture et coiffes frottées sur leurs bordures
Reference : 171669
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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A Paris, chez Saillant et à Bayeux, chez Lepelley, 1772. In-8 de 1 frontispice gravé, (4)-XXIV-342-(2) pp., veau marbré glacé, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française donnée par Junker. Gravure de Ménil d'après Monet en frontispice.Traduit deux fois en français en 1772, d'abord par un pasteur huguenot à Berlin (Abel Burja sous le titre : Phédon ou Dialogues Socratiques sur l'Immortalité de l'Ame), ensuite par G.-A. Junker, un Allemand installé à Paris qui s'était déjà signalé par plusieurs traductions de l'allemand l'anglais, il le fut rapidement aussi en hollandais, italien, suédois, polonais, russe et hongrois. Le 1er juillet 1772, la Correspondance littéraire de Grimm en prit acte : « traduit depuis peu le Phédon, ou Entretiens sur la spiritualité et l'immortalité de l'âme, non de Platon mais de Mosès Mendelshon [sic], juif, à Berlin. M. Mosès jouit d'une grande réputation en Allemagne. C'est un célèbre métaphysicien et son Phédon a fait quelque sensation à Paris, quoique la philosophie dominante ne soit pas dans ce goût-là. M. Mosès s'est permis de mettre dans la bouche de son Socrate beaucoup d'arguments et de raisonnements tirés de la philosophie moderne en faveur du système de l'immortalité de l'âme. Ce Socrate au lieu d'être le maître de Criton et des autres philosophes d'Athènes, n'est qu'un élève de Leibnitz, de Wolff et de Mosès » (P. H. Meyer, Le rayonnement de Moïse Mendelssohn hors d'Allemagne).Très bon exemplaire. Cohen - De Ricci, 386 ; Szajkowski, Franco-Judaïca, 1625.
À Paris, chez J. Chéreau, Marchand d'Estampes, aux deux Colonnes, rue Saint Jacques, N° 10, près la F.ne Saint Severin, s.d. (c. 1806). Gravure à l'eau-forte coloriée (24,8 x 38,1 cm).
Cette estampe coloriée à l'époque fut gravée avec la légende légèrement modifiée : Les Magistrats et les autorités constituées de Berlin, offrent les Clefs de la Ville à sa Majesté l'Empereur des Français et Roi d'Italie. Petite déchirure marginale.
DANCOURT (Louis Heurteaux, dit ) & DANCOURT (Louis Heurteaux, dit ).
Reference : 3206
(1759)
Berlin ; et se trouve à Amsterdam, chez J. H. Schneider, 1759. In-8 de (6)-224 pp., veau brun, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale. Titre imprimé en rouge et noir. Dancourt, acteur français, joua longtemps à l'étranger, et composa un grand nombre de pièces. Le meilleur ouvrage de cet acteur qui excellait dans les rôles d'Arlequin et qui s'y fit surtout une réputation à Vienne et à Berlin, est ce pamphlet qui est une réponse à la lettre de Rousseau contre les spectacles. Bon exemplaire. Une coiffe usée.
Berlin, Verlag für Kunstwissenschaft, 1914. In-folio de [8]-154-[2] pages, suivies des planches, pleine toile bleue, titre en noir au dos et au premier plat, tête dorée. Dos un peu passé, coins inférieurs frottés, étiquette de classemement au bas du dos, charnière faible au début de la suite de planches mais bel état général.
Bien complet des 40 belles planches photographiques en noir, chacune précédée d'un feuillet explicatif... en allemand, vous l'aurez compris. Publié pour le musée d'art décoratif royal à Berlin. Tirage numéroté à 250 exemplaires numérotés, ici le numéro 143. On joint le numéro 5 du "Zeitschrift für alte und neue Glasmalerei" de 1913, publié par Delphin-Verlag (in-4 broché, illustré de photographies en noir).
, , 1799. In-4 manuscrit de (6) pp.
Copie manuscrite de la Note envoyée le 23. 7bre 99 à M. le comte de Panin Ministre de Russie à Berlin. « Le Directoire en demandant au Cabinet de Berlin d'éloigner le Roi de la ligne, a donné pour motif de cette demande la facilité que le séjour actuel du Roi lui donnait pour agiter la France par des conspirations perpétuelles dont la dernière dit-il a manqué de devenir funeste à la constitution actuelle de la République Française. La conspiration dont parle le Directoire, a été suivant sa proclamation découverte dès le mois de juillet dernier, et il est bien prouvé que le 4 7bre il en connaissait toute l'importance, toute l'étendue ; et pourtant ce n'est que trois mois après que le Directoire a recours à une mesure qu'il devait espérer de faire adopter avec moins de difficulté dans les derniers jours du feu Roi qu'au moment de l'avènement du nouveau souverain de la Prusse (…) Une foule de français fidèles à la religion de leur frère, aux lois de leur patrie et au sang de leur maître ont trouvé asile et protection dans les états de M. le duc de Brunswick beaucoup même d'entre eux doivent à ses bontés le pain qu'ils arrosent de leurs larmes dans l'honorable misère à laquelle ils sont réduits, il ne leur resterait de refuge que la mort si un ordre cruel les condamnait à errer sans ressource sur les grands chemins avec des femmes, des enfants de tous les âge ».