Editions Fetjaine 2009 22x13x6cm. 2009. Cartonné. 60 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat intérieur propre couverture frottée sur ses bords
Reference : 165605
ISBN : 2354251491
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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TALLANDIER. 1966. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 144 pages - nombreuses photos et illustrations noir et blanc dans le texte. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Berlin : le mur intolérable - Stalingrad : l'aviation impuissante - Paris : les helles ont 856 ans Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
HISTORIA. 2009. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 944-Histoire de France varia
Sommaire : A Berlin le Mur cède - dossier Louis IX n'était pas un saint - la désastreuse bataille des Cardinaux - Napoléon à les oreilles qui sifflent - les salons de musique sont tendance - Vichy - Auguste Renoir - les ponts de Lyon retrouvent leur tablier - Pavlov - Che Guevara était un humaniste. Classification Dewey : 944-Histoire de France varia
S.l., Éditions de l'Est, 1990, in-4, cart. éd., 110 pp., très nombreuses photos en couleurs. (SB6)
1966 16x24. 1966. Broché. 140 pages. Bon Etat intérieur propre
Laffont, 1968, gr. in-8°, 251 pp, traduit de l'allemand, 16 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Ce jour-là)
Eté 1961. Il est 1 heure du matin, Berlin dort sous le quadruple contrôle des Alliés ; le temps entame mécaniquement la journée du 13 août : un dimanche. Calme total dans la ville – sauf une agitation dans le secteur d'occupation russe... bruit de pas cadencés, moteurs de camions. Et bientôt, des postes de police qui jalonnent la frontière de ce secteur, du côté des Occidentaux, les informations fragmentaires affluent, s'additionnent : il se passe quelque chose, des troupes sont en marche, des ouvriers plantent des poteaux, on déploie des rouleaux de barbelés, les rames de métro ne partent plus des stations en territoire de la R.D.A., la République démocratique d'obédience soviétique. Dans les premières heures du petit matin, l'affolement, l'inquiétude s'installent, remontant les échelons de la hiérarchie. Partout, dans les demeures endormies des hauts fonctionnaires, puis des ministres, le téléphone sonne. On réveille Adenauer, les ambassadeurs, les commandants de secteur américain, britannique, français. Dans tous les esprits, le souvenir des semaines chaudes de la guerre froide qui virent le blocus de Berlin par les Russes, il n'y a pas si longtemps, se réveille en sursaut. Les Russes préparent-ils un autre coup ?... D'heure en heure, de quart d'heure en quart d'heure parfois, c'est tout le drame de cette nuit au bout de laquelle l'aube se leva sur une ville brusquement coupée en deux et sur l'amorce de ce que, du côté occidental, on devait appeler "le mur de la honte", que l'on revit dans ce livre. Pourquoi le mur ? Parce que la R.D.A. ne pouvait assister, éternellement impuissante, à l'hémorragie grandissante de sa main-d'œuvre, avec ceux qui passaient à l'Ouest, du côté de la liberté. Pourquoi "mur de la honte" ? Parce que, derrière ses barbelés, puis ses maçonneries qui les renforceront, Berlin-Est va désormais faire figure de prison, et que, pour s'évader de la prison, des hommes, des femmes, tenteront l'impossible, que certaines de ces évasions se termineront sur le tragique spectacle d'êtres humains saignant à mort au pied du mur, sans que l'on fasse un geste, de part et d'autre, pour secourir leur agonie. Dans quelle mesure, alors, une part de "la honte" retombe-t-elle sur les Occidentaux eux-mêmes ?... Poignant, souvent impitoyable par la force des faits et des hommes, parfois tragiquement bouffon par l'absurdité des choses, “Berlin, la nuit du mur” entraîne le lecteur aussi bien dans la rue berlinoise que dans les ténèbres dangereuses des tunnels creusés sous le mur et que dans le secret des chancelleries, des Q.G.. du bureau de John Kennedy. Jusqu'ici le sujet du Mur n'avait été qu'esquissé. Voici un livre définitif.