‎Feek Anthony‎
‎Le bal du 15 aout‎

‎Fleuve noir / collection feu 1970 poche. 1970. Broché. Etat Correct‎

Reference : 140883


‎‎

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M. Philippe Arnaiz

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5 book(s) with the same title

‎Feek Anthony‎

Reference : 100100093

‎La mort à sang pour sang + Le bal du 15 Août + Le section des dingues + Un tueur solitaire - 4 livres Collection "Feu"‎

‎Fleuve Noir in12. Sans date. Broché. 4 volume(s). Collection "Feu"‎


‎circa 1970 - Bon Etat de conservation cependant couvertures défraîchies tachée pour "La section des dingues" intérieurs propres qques rousseurs‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR20.00 (€20.00 )

‎FEEK ANTHONY‎

Reference : RO90023265

(1970)

‎LE BAL DU 15 AOUT‎

‎EDITIONS FLEUVE NOIR COLLECTION FEU N°128. 1970. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 236 pages.. . . . Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier‎


‎Editions Fleuve noir. Collection Feu.Couverture de M. Gourdon. Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎[FEU] - FEEK (Anthony) - ‎

Reference : 200619569

‎Le bal du 15 aout. ‎

‎Paris, Fleuve noir - feu, 1970; in-12, 236 pp., broché, couverture illustr. N° 128.‎


‎N° 128.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR8.00 (€8.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10079382

(1869)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 1382-Texte : L’amnistie. — Revue politique de la semaine. — Courrier de Paris. — La fête du 15 août. — Bal donné à bord du Magenta. — Les Théâtres. — Voyages excentriques: Un drame au fond de l’Océan, par M. Richard....‎

‎Au bureau du journal. 21 aout 1869. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 114 à 128. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Texte : L’amnistie. — Revue politique de la semaine. — Courrier de Paris. — La fête du 15 août. — Bal donné à bord du Magenta. — Les Théâtres. — Voyages excentriques: Un drame au fond de l’Océan, par M. Richard Cortambert (suite). — L’Isthme de Suez: Itinéraire pittoresque (suite). — Les ravageurs des jardins. — Paris, par Maxime Ducamp. — Le mouvement littéraire. — Le nouveau guichet de l’Empereur, au Louvre. — Bourses de vélocipèdes avec obstacles. — Découverte de 42 tableaux de Goya. — Revue des affaires financières. — Environs de Paris : Plessis-Piquet.Gravures: Fête nationale du 15 août : illumination de l’arc de triomphe de l’Etoile. — Monument élevé à la mémoire du maréchal Moncey, sur la place de Clichy. — Alger: Bal donné à bord du Magenta, par l'amiral Jnrien de la Gravière. — Ca-. nal de Suez: vue de Port-Saïd et de l’entrée du canal maritime; — Carte de l’isthme de Suez; — Vue prise de la jetée; — Plage de Port-Saïd. — Paris nouveau: le Guichet de l’Empereur, au Louvre. — Course de vélocipèdes avec obstacles. — Environs de Paris : Plessis-Piquet. — Echecs. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎DE SCIBOR RYLSKI, Comtesse ; DENTU, Edouard‎

Reference : 44505

(1872)

‎Mystérieuse correspondance d'une jeune femme exaltée avec l'éditeur Edouard Dentu [ 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est (sic) votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎

‎3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎


‎Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...‎

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