Le livre contemporain 1961 in8. 1961. Cartonné jaquette. 325 pages. Bon Etat
Reference : 132618
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Moulins, P.-A. Desrosiers, 1841, gr. in-8°, 2 portraits gravés et 2 fac-similés hors texte, pièces justificatives, reliure plein vélin, dos lisse avec titres et filets dorés, couv. conservées, bon état. Edition originale rare (Fierro, 512)
"Le jeune duc émigre dès le 17 juillet 1789. Il se rend successivement à Bruxelles, en Suisse, au Tyrol, à Turin, à Stuttgart, Karlsruhe, Worms, où s’organise l’armée de Condé. Le duc d’Enghien est affecté au corps d’émigrés adjoint à l’armée du Nord, qui ne participe pas au combat en 1792. En 1793, il est placé sous les ordres du général autrichien Wurmser et reçoit le baptême du feu, le 19 juillet, à Bellheim. Son courage lors du combat de Berstheim, le 2 décembre suivant, lui vaut la croix de Saint-Louis. Malade, il est ensuite évacué sur Ettenheim. Il défend vainement les passages du Rhin au printemps de 1796 contre Jourdan, protège la retraite au combat de Kitzingen. En juillet 1797, l’armée de Condé est prise à la solde du tsar. Le duc d’Enghien conduit jusqu’à Volhynie les cinq régiments d’émigrés acceptant de servir la Russie. Il revient en Europe de l’Ouest avec l’armée russe et se bat en Suisse en septembre et octobre 1799. Passé ensuite au service des Anglais, il combat en Vénétie, en Allemagne. À la paix de Lunéville, il revient à Ettenheim. C’est là que les agents de Bonaparte l’arrêtent après l’attentat organisé par Cadoudal. Il est fusillé, le 21 mars 1804, dans les fossés de Vincennes. Ses mémoires couvrent l’époque qui s’étend de 1789 à 1794, et sont suivis du Journal de son voyage en Suisse en 1797." (Fierro)
A Paris, Chez Petit,et à Besançon, Chez Victor Cabuchet, 1816. In-8, veau marbré de l'époque, dos lisse orné en long, pièce de titre corail, L-294 pages, portrait-frontispice gravé par LAMBERT d'après CHASSELAT. Bon exemplaire.Ouvrage orné d'un beau portrait du duc d'Enghien, gravé par Lambert d'après Chasselat. Il contient une notice sur l'abbé Millot, une notice sur le duc d'Enghien, les Dialogues du duc de Bourgogne et de Fénelon, et la Vie du duc de Bourgogne.
coins et dos frottés.Unique édition, posthume. Claude-François-Xavier Millot (1726-1785) fut précepteur du Duc d'Enghien à partir de 1778 : la dévotion exacerbée qui entoura la figure de ce dernier sous la Restauration fut le prétexte tout trouvé pour imprimer ces notes éducatives, edition originale signée par l'editeur;
[Sujet(s) : Enghien, Louis-Antoine-Henri de Bourbon, duc d']
Reference : 21796
(1824)
Paris Baudoin frères 1824 in-8 cartonné un volume, reliure cartonnée d'époque recouverte de papier peigné in-octavo (22 x 14,2 cm), RELIURE D'EPOQUE, dos long (spine without raised bands), décoré or (gilt decoration), titre frappé "or", pièce de titre sur fond noir avec double filets "or" de part et d'autre du titre, double filets "or" en place des nerfs et en tête et en pied, toutes tranches lisses, facture du libraire nantais morel (en 1870) collée sur la page de garde avec le coupon du reçu du mandat poste, orné d' une carte hors-texte en couleurs, XIV + 326 pages , 1824 à Paris Baudoin frères, Libraires-Editeurs, Rue de Vaugirard, N° 36 ,
Note(s) : Réimpression des nos 296, 306 et 307, augmentée de plusieurs autres pièces. - Le faux-titre porte : "Mémoires sur la révolution française".........Ce recueil fait le point sur l'affaire du Duc d'Enghien, à une époque où se publiaient différents mémoires contradictoires sur ce sujet.......TRES RARE AVEC LA CARTE....en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Paris, Gosselin et Ponthieu, octobre 1823. In-8, 72 pp. broché, couverture imprimée.
Édition originale de cet extrait (du manuscrit ? les Mémoires en entier ne devaient paraître qu'en 1828). C'est en réalité un plaidoyer qui entend rejeter sur Talleyrand la responsabilité de l'affaire du duc d'Enghien et se laver de l'accusation d'avoir été " le gendarme " de Napoléon. Rousseurs.
Paris Ponthieu et Charles Gosselin 1823 Plaquette in-8, 68 pp. En tête et en fin d'ouvrage sont reliés les bulletins de souscription pour la seconde édition de l'Histoire de Paris de Dulaure, l'annuaire nécrologique 1822, la collection des mémoires écrits sur l'art dramatique et sur la représentation théatrale par les plus célèbres comédiens d'Europe (4 ff. non chiffrées) et les oeuvres complètes de Walter Scott (4 ff. non chiffrées). Sous sa couverture brochée d'attente.
Quelques salissures à la couverture, piqures. Le Duc de Rovigo, après une carrière militaire au plus près de Bonaparte fut son ministre de la police de 1810 à 1814, succédant à Fouché. Le 10 mars 1804, Bonaparte décide de faire arrêter le duc d'Enghien, prince du sang de la Maison de Condé, alors émigrés en Allemagne, suspecté d'avoir participé au complot de Cadoudal. Les hypothèses divergent sur les motifs du Premier Consul : on ne sait pas avec certitude s'il s'agit de soupçons réels, frappe destinée à faire peur aux royalistes ou de la simple volonté de se redonner une filiation révolutionnaire, peu avant son propre couronnement impérial. En tout cas, dans la nuit du 15 mars 1804, un détachement de dragons sous les ordres du général Ordener pénètre illégalement en territoire allemand et enlève le duc à Ettenheim pour le ramener à Strasbourg. Le 20 mars 1804, le duc est transféré à Vincennes et jugé le soir même, sans témoins, par une commission militaire présidée par le général Hulin, commandant des grenadiers de la garde consulaire. Savary, qui dirige des troupes de la gendarmerie d'élite réunies à Vincennes, ne fait pas partie de la commission, mais assiste aux délibérations. La présence d'un proche du Premier Consul constitue indéniablement une pression sur la commission. Après un court interrogatoire où le duc nie le complot, mais se targue courageusement de combattre la République, il est condamné à mort. Il semble qu'à la demande de l'accusé, le général Hulin ait envisagé de suggérer à Bonaparte, avant l'exécution, d'organiser une entrevue entre eux. Hulin aurait par la suite déclaré qu'un homme (Savary ?), qui s'était constamment tenu dans la salle du conseil, lui avait arraché la plume des mains en déclarant « Votre affaire est finie, maintenant cela me regarde. ».Le duc d'Enghien est alors conduit dans les fossés du château de Vincennes et fusillé, sur ordre de Savary, par un piquet de gendarmes d'élite. Savary consacre plusieurs pages de ses mémoires au récit des événements ayant conduit à cette exécution et s'y donne un rôle très secondaire. (source wikipedia) Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.