Du conquistador 1961 in8. 1961. Broché jaquette. 314 pages. Bon Etat du livre une coiffe de la jaquette rescotchée
Reference : 130501
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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[Recueil], [Collectif], Bellet (Abbé), [Anonyme], Marquez, Thomas, Maury (Abbé), Puget de Saint Pierre
Reference : 4054
1766 - 1768 Pour les Eloges historiques de la Princesse Marie [...] et de Stanislas I [...] par M. l'abbé Bellet, Desaint, Paris, 1768, page de titre, 92 pages en numérotation continue et [1f.]. Pour l'Eloge du vrai sage [...], Claude Jean-Baptiste Bauche, Paris, 1766, 120 pages et [1f.] blanc. Pour l'Eloge de Monseigneur le Dauphin [...], François-Théodore Hautot, Saint-Quentin, 1766, 13 pages. Pour l'éloge funèbre de Monseigneur le Dauphin [...] par Marquez [...], Sacarau & Dupleix, Toulouse, 1766, faux-titre, page de titre, 40 pages. Pour l'Eloge [...] de M. Thomas, Regnard, Paris, 1766, 62 pages et [1f.] blanc. Pour l'Examen d'un discours de M. Thomas [...], H. C. De Hansy le jeune, Paris, 1766, faux-titre, page de titre, 63 pages. Pour l'Eloge funèbre [...] par l'Abbé Maury, Tarbé, Sens, Veuve Pierres & Fils, Paris, 1766, faux-titre, page de titre, 58 pages et [1f.] blanc. Pour l'Eloge funèbre [...] par M. Puget de St Pierre, Panckoucke, Paris, 1766, 40 pages et [1f.] blanc. L'ensemble relié en 1 volume plein veau brun, dos lisse orné de fleurons, pièce de titre de maroquin rouge, tranches rouges, coins frottés, coiffe supérieure arasée, première charnière très faible. En l'état.
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, , [1777 ca]. Manuscrit in-4 à 35 lignes par page de (4)-119 pp., demi-vélin, tranches jaspées (reliure de l'époque).
En tête du manuscrit, on trouve cette note de l'époque : « Nota. Cette copie a été faite sur le manuscrit avant l'impression mise au jour en 1777 : il s'y trouve quelques différences avec l'imprimé. Texte et chapitrage sont donc quasi conformes (moins le Traité de la connoissance des hommes fait par ses ordres en 1758) à la première édition donnée sous ce titre par Tréaudet de Querbeuf ». Premier portrait hagiographique du dauphin Louis de France, fils de Louis XV et père de Louis XVI, commandé par la Dauphine au Père jésuite Henri Griffet qui imposa dès lors le mythe du Prince très chrétien, ennemi des Philosophes. Louis Ferdinand de France, né le 4 septembre 1729 au château de Versailles, mort le 20 décembre 1765 au château de Fontainebleau, était l'aîné des fils du roi Louis XV de son épouse Marie Leszczynska. Mort sans être couronné, il fut le père de trois rois de France : Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.« On a souvent présenté le Dauphin comme le chef d'orchestre des dévots pressant le roi d'intervenir contre les Philosophes, responsables de la décadence morale du royaume. On a également signalé l'influence exercée par son entourage. La question fait problème, car il est tout un mythe historiographique né du vivant même de ce prince et amplifié à la fin de l'Ancien Régime et durant la Restauration. Les thuriféraires jésuites, comme le Père Griffet ou l'abbé Proyart, érigent le Dauphin en défenseur modèle du christianisme, en prince très chrétien qui aurait vainement tenté de s'opposer à un père aux moeurs dissolues, victime de ministres contaminés par les idées nouvelles. Pour les antiphilosophes qui entendront reconstituer l'histoire et montrer que la Révolution s'explique en partie par la décadence morale, née sous le règne de Louis XV, et par la disparition progressive de l'autorité royale, le Dauphin fera figure de héros de l'orthodoxie. Sa mort précoce alimentera, sous la Restauration, les thèses providentialistes des adversaires les plus extrémistes de la Révolution : pour se venger d'un peuple corrompu, Dieu rappelle à lui le seul rempart qui aurait pû empêcher le peuple de France de plonger dans l'abîme. » (Didier Masseau, Les Ennemis des philosophes p. 75). Cartonnage défraîchi. Beau manuscrit XVIIIe.
A Paris, chez La Chaussée, rue S. Jacques vis à vis la Fontaine Saint Severin N° Et Presentem.t chez Basset rue Saint Jacques au coin de celle des Mathurins, 1782. Gravure à l'eau-forte, coloriée (28 x 41 cm).
Gravure en perspective représentant la décoration de la façade du feu d’artifice élevé en place de Grève, tiré devant Marie-Antoinette, dauphine de France et Louis XVI le 21 janvier 1782 à l’occasion de la naissance de Monseigneur le Dauphin, Louis-Joseph de France (1781-1789). Au haut de la feuille, de droite à gauche, à rebours, est reproduite en capitales, suivant l'usage pour les vues d'optique, la légende inscrite en miroir.
Auxerre, F. Fournier et Paris, Villette, 1766. Petit in-8, rel. moderne pleine percaline bordeaux, titre doré au dos, V-63 pp.
Louis de France, dauphin de France, mort le 20 décembre 1765 au château de Fontainebleau, fils ainé du roi Louis XV, père de Louis XVI. Coiffes et plats légèrement frottés par endroit, bon ex. par ailleurs. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Imprimerie de P. R. C. Ballard, 1766 in-4, 11 pp., avec une vignette au titre, une vignette funèbre en-tête gravée par Prévost d'après C. M. Cochin, et 4 planches hors texte gravées par Martinet d'après Challe, dérelié.
Nommé par lettres patentes du 23 février 1765, dessinateur de la chambre et du cabinet du roi, grâce au soutien du duc d’Aumont face à d’autres brillants candidats, Charles-Michel-Ange Challe (1718-1778) était, par fonction, l'ordonnateur des pompes funèbres officielles : et il devait s’illustrer, en particulier dans les premières années de sa charge, par les architectures éphémères qu’il créa pour les grandes pompes funèbres à un moment où le goût transitait vers le néoclassicisme. Ainsi il conçut les monuments de l’infant Philippe de Bourbon, duc de Parme puis de Louis, dauphin de France, de Stanislas Leszczynski, roi de Pologne, d'Élisabeth Farnèse, reine d’Espagne, de la dauphine Marie-Josèphe de Saxe, de la reine de France, de Charles-Emmanuel III de Savoie, puis enfin du roi Louis XV lui-même. Absent de Ruggieri. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT