Table ronde 1959 in12. 1959. broché. 220 pages. Bon Etat intérieur propre
Reference : 100117113
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Paris, Charles Douniol, 1868 in-8, 200 pp., broché sous couverture imprimée. Nombreuses rousseurs.
Une des éditions de 1868.Le sujet des "alarmes" des révérendissimes seigneurs concernait l'enseignement et les tentatives ministérielles d'organiser celui des filles, ainsi au demeurant que la mentalité "matérialiste" de l'École de médecine de Paris (où se diffusaient les idées transformistes). Le principal motif d'inquiétude demeure toutefois l'âme pure des jeunes filles. L'âpre controverse déclenchée par Mgr Dupanloup contre la loi du 10 avril 1867 votée à l'initiative de Victor Duruy (1811-1894), alors ministre de l'Instruction publique depuis 1863, a quand même de quoi étonner de la part d'un homme qui encouragea à plusieurs reprises l'éducation féminine (Cf. Conseils aux femmes chrétiennes sur les études qui leur conviennent) : elle obligeait notamment les communes de plus de 500 habitants à créer et entretenir une école de filles, et c'est contre cette disposition que l'ire épiscopale se déchaîna de tous les coins de la France. Mais c'est que le dispositif légal permettait l'encadrement des jeunes filles de 14 à 18 ans par des professeurs masculins, et c'est bien sûr là que les pires périls furent envisagés pour la vertu des innocentes personnes... - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Charles Douniol, 1867 in-8, 32 pp., broché.
L'âpre controverse déclenchée par Mgr Dupanloup contre la loi du 10 avril 1867 votée à l'initiative de Victor Duruy (1811-1894), alors ministre de l'Instruction publique depuis 1863, a de quoi étonner de la part d'un homme qui encouragea à plusieurs reprises l'éducation féminine (Cf. Conseils aux femmes chrétiennes sur les études qui leur conviennent) : elle obligeait notamment les communes de plus de 500 habitants à créer et entretenir une école de filles, et c'est contre cette disposition que l'ire épiscopale se déchaîna. Mais c'est que le dispositif légal permettait l'encadrement des jeunes filles de 14 à 18 ans par des professeurs masculins, et c'est bien sûr là que les pires périls furent envisagés pour la vertu des innocentes personnes... - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Paris, Saugrain, Quay Des Augustins Chez Emery, Pierre Martin, 1729., 1 ff, 299 pp., 4 ff. In-12, plein veau marbré, dos à 5 nerfs orné de fleurons, dentelle intérieure, tranches rougies, reliure d'époque par Padeloup le Jeune. Mors faibles, petits manques aux coiffes.
Agréable exemplaire dans une reliure signée Padeloup le jeune de ce texte célèbre, plaidoyer vibrant pour l'éducation des filles, les deux premiers chapitres insistant sur 1- la nécessaire éducation des filles de Royaume 2- l'obligation de réfléchir à la spécificité de celle-ci.
Toulouse, Jean Boude, 1689 in-4, 7 pp., en feuilles. Mouillures claires.
Le couvent Saint-Bernard de Montluçon fut occupé à partir de 1631 par des cisterciennes bernardines venues de l'abbaye de Bussières-les-Nonains. C’était une maison bien dotée qui assurait l'éducation et l'instruction des filles de l’aristocratie régionale. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Bloud & Gay, février 1919 in-8, 16 pp., quelques illustrations dans le texte, broché.
L'opuscule porte explicitement le sage avertissement : "Cette brochure ne doit être lue que par les grandes personnes".Passant du général, déjà largement exposé dans son opuscule Emmenées en esclavage, au particulier, la journaliste Henriette Célarié (1872-1958) fait de nouveau frémir son lectorat au plus profond de son être en transcrivant le témoignage d'une pauvre Lilloise, Marie X ..., enlevée à l'âge de vingt ans par la soldatesque boche, "une enfant, une vraie enfant", selon le touchant témoignage de ses tortionnaires mêmes. Réquisitionnée pour travailler aux champs alors que tous les hommes sont partis ou prisonniers, Marie a des journées épuisantes, mais sa seule crainte est le sous-officier Hickel qui exprime des vues sur elle : "La crainte d'être prise par un de ces Allemands était pour nous ce qu'il y avait de plus épouvantable." Et ainsi de suite, crescendo, jusqu'à la délivrance : l'enfer a duré d'avril à octobre, et les femmes honnêtes étaient confondues avec les filles publiques, sans doute ce qu'il y eut de plus dur à supporter. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT