Puf / Que sais-je ? n° 263 1966 poche. 1966. broché. Etat Correct exemplaire usagé
Reference : 100104114
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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[Paris], Imprimerie Ed. Delanchy, s.d. (1890) in-4, 5 pp. de musique notée, avec une illustration en sépia sur la première (la croix de la Légion d'Honneur, laurée), en feuilles.
L'auteur était compositeur de musique pour piano (actif entre 1875 et 1899). On ne possède quasiment aucune donnée sur lui. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bruxelles, Schott frères, s.d. (1879) in-4, 6 pp. de musique notée, avec une illustration lithographique sur la première (scène de manoeuvres militaires), en feuille.
G. Ludovic est l'un des pseudonymes de Jean-Louis Gobbaerts (1835-1886), pianiste et compositeur belge, très populaire et couronné de succès à son époque, auquel on doit plus de 1200 compositions pour piano. Cette fécondité ne fut pas du goût de tous, si l'on en croit l'assassine appréciation de Fétis : "Par malheur, il commença dès lors à donner des preuves d'une fécondité trop précoce et qui ne connut jamais de frein, et se mit à considérer la musique comme un métier beaucoup plus que comme un art. Producteur infatigable, cet artiste publie par centaines (...). Il ne restera rien de tout cela, et avec de réelles facultés, M. Gobbaerts se condamne, alors qu'il pourrait faire mieux, au rôle de simple commerçant en musique". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Alphonse Leduce, s.d. (vers 1870) in-4, 15 pp. de musique notée, avec une illustration lithographique sur la première, dérelié.
Tito Mattei (1839-1914) composa plusieurs centaines de pièces pour piano ; en dépit de ses engagements officiels (il fut pianiste du roi Victor-Emmanuel II), son succès demeura modeste. À partir de 1863, il vécut à Londres. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lingua italiana, Derive e approdi, 2006, 301 pp., brossura editore, condizioni buone.
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Paris, Alfred Ikelmer [Imprimerie centrale des chemins de fer de Napoléon Chaix], s.d. in-4, [4] pp. n. ch., avec une lithographie colorisée sur la première (composition patriotique avec deux drapeaux tricolores), musique notée, catalogue d'Ikelmer sur la dernière page, en feuille.
Ce chant dont le titre original était "Hymne de la liberté" était appelé le "frère de La Marseillaise" par les soldats républicains, dont c'était souvent le favori. Il avait été composé par Marie-Joseph Chénier (pour le texte) et Étienne Méhul (pour la musique) pour la fête du 14 juillet 1794. Napoléon Ier l'avait choisi en 1804 pour hymne national, et il continue de faire partie du répertoire de l'armée française. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT