Benucci 1990 in8. 1990. broché. non paginé pages. Bon état couverture insolée
Reference : 100101316
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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PUF, 1959. Grand in/8 broché, couverture illustrée, 112 pages. Exemplaire non coupé.
Petite histoire des relations entre la musique et le cinéma, l’élaboration de la musique de film, les rapports de la musique et de l’image, rôle de la musique au cinéma, la musique de film à travers le monde.
Paris, Henry Lemoine, s.d. (1838). Grand in-8 de 234 pp., 2 planches repliées de musique notée, demi-chagrin rouge, dos à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale entièrement gravée (texte et musique), dédiée au compositeur Giacomo Meyerbeer et précédée d'un rapport au secrétaire perpétuel de l'académie des Beaux-Arts daté 25 Novembre 1837.Solfège et théorie musicale en trois livres - les principes de musique, la mélodie et l'harmonie - du grand érudit, théoricien et historien Jean-Georges Kastner (1810-1867), le premier à exposer l’emploi du saxophone. Compositeur d'opéras, il poursuivit ses études sur la musique cosmique, les chœurs sans accompagnements, les « voix de Paris » (physiologie du cri), l’harmonie des sphères, la musique naturelle. Cachet de l'auteur sur le titre. Provenance : André Gedalge 1856-1926, compositeur et musicologue (cachet), Marcel Boussuge. Pâles rousseurs.
Paris, Deschamps, 1764. In-8 de XVI-331-(4) pp., 60 pp. de musique gravée, basane brune mouchetée, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Deuxième édition augmentée. L'édition originale a paru en 1754. Un des principaux propagateur des théories de Rameau, Jean-Laurent de Béthisy (Dijon 1709 - Paris, 1781) était maître de musique à Paris où il composa une Ode sur la campagne du prince de Conti, en italien et la musique de l'Enlèvement d'Europe ; il publia par ailleurs une réfutation du discours de Rousseau sur l'origine de l'inégalité. Chiffre sur le titre non identifié. Bel exemplaire. Fétis, I, 180.
Paris, chez Chaubert et chez Hochereau, 1754. 1 vol. Paris, chez Chaubert et chez Hochereau, 1754. In-8 de 98-(3) pp., couverture papier.
Edition originale. Réfutation de l'ouvrage de Rousseau sur la musique française attribué à l’abbé Jean-Louis Aubert (1731-1814) journaliste et écrivain, fils du violoniste et compositeur Jacques Aubert (1686-1753), qui était membre en 1721 de l’Académie royale de musique, et attaché à Mme de Prie et au duc de Bourbon-Condé. Sa fonction journalistique lui permit de jouer un rôle de critique important en son temps. En novembre 1773, il fut nommé censeur royal et en 1774, directeur général de la Gazette de France (1631-1792). En butte à de solides inimitiés dans le clan philosophique qu'il ne cesse de pourfendre : « ces quelques écrivains qui se parent du titre de philosophes ».Robert Granderoute, Dictionnaire des journalistes 1600-1789, I, 022 ; Barbier, IV, p. 185 ; Fétis, l, 166.
, , 1805 ca. Partition manuscrite in-folio brochée (26 x 35 cm) de 16 pp. à 12 portées par page à l'encre brune.
Paroles et musique manuscrites copiées à l'époque de sa composition de la "Bataille d'Austerlitz" écrite pour "forte piano" - le terme désigna les premiers pianos fabriqués avant 1830 devenus piano-forte puis piano - et précédée d'un avis de l'auteur : Bataille d'Austerlitz, donnée le II frimaire an 14 (2 décembre 1805) . Jour à jamais mémorable où l'Empereur Napoléon et la grande armé composée de 80 000 combattants au plus se sont couverts d'une gloire immortelle, en détruisant en moins de 4 heures de tems une grande partie des armées Russe et Autrichienne fortes de 105 000 hommes, dont 30 000 furent faits prisonniers. Les empereurs d'Autriche et de Russie durent leur salut à une prompte fuite. La nuit que précéda cette fameuse batailles, la grande armée célébra par un mouvement spontané l'anniversaire de couronnement de notre invincible et inimitable Empereur qui bivouaquait au milieu d'elle : des feux de joie et une illumination subite brilla à chaque bayonnette ; pendant quelques instans, toute la contrée fut éclairée, et les ennemis furent témoins de l'enthousiasme de nos braves guerriers.Fils du plus grand organiste français de la fin du XVIIIe siècle, Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier, Jacques-Marie Beauvarlet Charpentier (1766-1834) commença sa carrière comme organiste à Saint-Paul dans le Marais. Avec la fermeture des églises pendant la Révolution, il joua pour les Théophilanthropes et aussi au Temple de la Reconnaissance. Après le 18 Brumaire, il flatta le régime en composant non seulement la Bataille d'Austerlitz mais aussi une Cérémonie du couronnement de sa majesté l'empereur (1804). Il fut aussi marchand d'instruments et éditeur de musique, mais cette activité s'arrêta en 1821. Il composa 50 chansons et romances, dix grandes oeuvres programmatiques, de la musique d'église et un opéra court Gervais ou Le Jeune Aveugle qui fut représenté en 1802 au Théâtre des Jeunes Artistes pendant sept mois (napoleon.org).Ex-libris manuscrit à l'encre du temps "appartenant à Melle Adelle Adam".