Flammarion 1991 11x17x2cm. 1991. Poche. 352 pages. Bon Etat intérieur propre
Reference : 100091792
ISBN : 2070326136
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Librairie Philosophique J. Vrin et C.N.R.S. , Oeuvres de Descartes Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1982 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en rouge et noir fort et grand In-8 1 vol. - 751 pages
Frontispices des Essais et des Specimina Philosophiae et reproduction des très nombreuses figures du Discours nouvelle édition de 1982 Contents, Chapitres : Avertissement, xii, Texte, 739 pages avec la table - Discours de la méthode - La Dioptrique - Les Météores - La Géométrie - Tables - Avec les textes en latin : Indices - Dissertatio de Methodo - Dioptrice - Meteora - Note sur le problème de Pappus - Appendice - René Descartes est un mathématicien, physicien et philosophe français, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine, aujourd'hui Descartes, baptisé le 3 avril 1596 dans l'église Saint-Georges de Descartes, et mort le 11 février 1650 à Stockholm. - Le Discours de la méthode (sous-titré Pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences) est un texte philosophique publié anonymement par René Descartes à Leyde le 8 juin 1637. Dans les premières éditions, ce discours servait d'introduction à trois traités scientifiques mettant en application cette méthode : La Dioptrique, Les Météores et La Géométrie. Pour Descartes, il sagit « den dire assez pour faire juger que les nouvelles opinions, qui se verraient dans la Dioptrique et dans les Météores, nétaient point conçues à la légère. » Toutefois, sa célébrité est devenue telle, quil est désormais souvent publié seul, comme un essai indépendant. Ce discours marque une rupture avec la tradition scolastique, jugée trop « spéculative » par Descartes (sixième partie), et se présente plutôt comme un plaidoyer en faveur du progrès des techniques et pour une nouvelle fondation des sciences sur des bases plus solides. Il fut rédigé directement en français, langue vulgaire, Descartes voulant par là sopposer à la tradition scolastique (qui avait pour habitude décrire en latin) et sadresser à un public plus large que les savants et les théologiens. Il souhaitait « être compris des femmes et des enfants ». Dans ce discours, Descartes expose son parcours intellectuel de façon rétrospective, depuis son regard critique porté sur les enseignements qu'il avait reçus à l'école, jusqu'à sa fondation d'une philosophie nouvelle quelques années plus tard. Il y propose aussi une méthode (composée de quatre règles) pour éviter l'erreur, et y développe une philosophie du doute, visant à reconstruire le savoir sur des fondements certains, en s'inspirant de la certitude exemplaire des mathématiques la célèbre phrase « je pense donc je suis » (cogito, ergo sum), qui permet à Descartes de sortir du doute, lui servira à ce titre de premier principe. Par ailleurs, il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu, dont il donne une version beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques, quatre ans plus tard. Le Discours de la méthode est aussi loccasion pour Descartes de présenter une morale provisoire, tenant en quelques maximes de conduite rendues nécessaires par la méthode elle-même3, et de développer des considérations sur les animaux (théorie des « animaux-machines ») et sur le rôle du cur dans la circulation du sang. Enfin, le traité présente des déclarations sur le rapport de lhomme à la nature, représentatives de la modernité, puisque Descartes y dit que les hommes doivent se « rendre comme maîtres et possesseurs de la nature » par le progrès des techniques, au premier plan desquelles il recommande daméliorer la médecine. (source : Wikipedia) "Bel exemplaire, couverture propre avec d'infimes traces de pliures aux coins des plats, quelques rousseurs discrètes, intérieur frais et propre, exemplaire en grande partie non coupé, de cette édition de référence du ""Discours"", d'après l'édition origjnale parue à Leyde en 1637, et la version latine d'Etienne de Courcelles parue à Amsterdam en 1644. Il ne s'agit pas d'un fac-similé sauf les frontispices, mais le vieux français a été gardé, ainsi que les gravures originales. (Tome 6 des Oeuvres complètes de Descartes seul) - Near fine copy of Descartes ""Discours de la Méthode"" in the complete works published by C. Adam and P. Tannery, with the Dioptrics, Meteores and Geometry, Minor fo;dings tracks on the corners of the wrappers, very light foxings, inside is fine, no markings, and unopened on a large part, with the Latin translation from Courcelles (Text in French and Latin, except for the commentaries), the most important scientific work from René Descartes"
Paris, Fayard, 1987. In-8, cartonné.
[9756]
Leyde, 1637. À Leyde, Ian Maire, 1637. In-4 de 78 pp., (1) f., 413 pp., (1) p. d’avertissement et (17) ff. Maroquin brun janséniste, dos à nerfs orné, double filet doré sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Reliure du XIXe siècle signée Thibaron. 198 x 150 mm.
[video width="1920" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/04/Descartes.mp4"][/video] Précieuse édition originale du chef-d’œuvre de Descartes. Tchemerzine, II, 776; PMM, 129; Horblit, One hundred book famous in science, 24; En Français dans le texte n°90; Dibner, Heralds, 81 (“The Dioptrique contains the earliest statement of Willebrord Snell’s law of refraction”) ; Norman Library, 621. Après la condamnation de Galilée en 1633, Descartes avait pris la résolution de ne laisser imprimer aucun ouvrage de son vivant. De la Hollande où l’avait conduit son aspiration à la solitude et à l’isolement, le philosophe continue cependant à correspondre avec ses proches. C’est aux instances de ceux-ci qu’il cède en publiant en 1637 une anthologie de ses recherches à laquelle il laissa le sens d’une démarche toute singulière et toute personnelle. Après avoir pensé confier son ouvrage aux Elzevier puis à un imprimeur parisien, Descartes finit par traiter avec le libraire imprimeur Jean Maire établi à Leyde, moyennant la rémunération de 200 exemplaires d’auteur. Œuvre fondamentale rédigée en français afin d’être plus intelligible et accessibleLe Discours de la Méthode marque une étape considérable dans la progression de la pensée occidentale au XVIIe siècle. «Le Discours de la Méthode» est suivi de 3 mémoires scientifiques. «La Dioptrique», «La Géométrie» et «Les Météores», abondamment illustrés de figures sur bois. Descartes y mentionne par ailleurs les découvertes de Harvey sur la circulation sanguine (Exercitadio anatomica de motu cordis et sanguinis, 1628). Il s’agit de la première discussion sur ce sujet par un philosophe français. Le Discours de la Méthode est divisé en six parties. Descartes en donne lui-même un aperçu au début de l’ouvrage: «En la première, on trouvera diverses considérations touchant les sciences. En la seconde, les principales règles de la méthode que l'auteur a cherchée. En la 3, quelques unes de celles de la Morale qu'il a tirée de cette Méthode. En la 4, les raisons par lesquelles il prouve l'existence de Dieu & de l'âme humaine, qui sont les fondements de sa Métaphysique. En la 5, l'ordre des questions de Physique qu'il a cherchées & particulièrement l'explication du mouvement du cœur & de quelques autres difficultés qui appartiennent à la Médecine, puis aussi la différence qui est entre nostre âme & celle des bestes. Et en la dernière, quelles choses il croit estre requises pour aller plus avant en la recherche de la Nature qu'il n'a esté & quelles raisons l'ont fait escrire.» L’auteur livre aussi dans la première partie sa biographie jusqu’en 1619. Comme la plupart des livres scientifiques importants, le Discours de la Méthode a vu son prix fortement progresser depuis une vingtaine d’années. Bel exemplaire, très pur et grand de marges, finement relié par Thibaron. Provenance: Thomas Powell et A. F. Gougy, 1930 avec ex libris.
1724 A Paris: Chez Pierre Prault, Quai de Gêvres, au Paradis, 1724. Un vol. in-12 : 10,5 x 17 cm, 1 f. de titre, 470 pp., 4 ff. [Avis au libraire et Table]. Volume relié en basane marron d'époque, dos à cinq nerfs, caissons et fleurons dorés, roulette sur les coupes, tranches rouges. Ex-libris: André Gutzwiller. L'ouvrage comprend les dix discours sur la Dioptrique, les dix discours sur les Météores, "Eclaircissements de quelques endroits difficiles", Abrégé de la Musique, "Elucidationes Physicae in Cartesi Musicam", Table de la Dioptrique et des Météores, Avis du Libraire, Table des matières. Il est enrichi de 20 planches dépliantes (11 pour La Dioptrique, 5 pour Les Météores et 4 pour Abrégé de la Musique), comprenant en tout 128 figures gravées. Cette édition a été publiée sans La Géométrie (Cousin, 126). Traces d'usage à la reliure, quelques taches discrètes sur les plats, quelques rousseurs à l'intérieur, notamment sur la page de titre, sinon bon état intérieur.
1668 Paris, Chez Charles Angot, 1668, in-4, veau brun de l'époque, dos à 5 nerfs orné de caissons et de fleurons dorés, roulette dorée sur les coupes et les coiffes, tranches mouchetées rouges, 303 pages suivies des tables (23 pages) ; 127 pages et 1 feuille.
Cette édition rare est considérée comme la Troisième, dont l'achevé d'imprimer date du 8 mai 1668. Elle présente en édition originale la seconde partie concernant le Traité de la Mécanique. Quant à l'Abrégé de la Musique, il est considéré comme la première édition en français (in Guibert, Bibliographie de Descartes). "Pour rendre son oeuvre accessible, Descartes abandonne le latin pour sa langue maternelle" (in Exposition Descartes, Bibliothèque nationale, Paris 1937 pp.91-92). René Descartes (1596-1650) est né en Touraine en 1596 d'un père conseiller au Parlement de Bretagne. En 1616 il est bachelier puis licencié en droit à l'Université de Poitiers. En 1618 il quitte la France pour la Hollande et entre dans l'armée du prince protestant Maurice de Nassau. Après avoir abandonné la vie militaire, il voyage en Europe en peaufinant la méthode dont il a eu l'idée durant l'hiver 1619. Dès 1629 il travaille à ses Essais (Dioptrique, Météores, Géométrie, Le Monde), qu'il publie en 1637 avec le Discours de la méthode dont ils constituent l'application. Commence alors une correspondance continue avec les savants de son époque. En 1649, il quitte la Hollande pour la Suède à l'invitation de la Reine Christine, à qui il donne des leçons de philosophie. Il meurt à Stockholm en février 1650. Ses papiers sont transmis à Clerselier qui publiera divers traités et volumes de lettres entre 1657 et 1667. ( Guibert, A. J. : Descartes. Bibliographie des Oeuvres publiées au XVIIème s., Paris, C.N.R.S., 1976). Usures d'usage, fentes aux mors, pour cette reliure d'époque, brunissures et taches à quelques pages, erreur de pagination pages 264-265