Flammarion 1977 in4. 1977. Cartonné avec sa jaquette. 96 pages. Bon Etat intérieur propre jaquette jaunie
Reference : 100062914
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Armand Colin & Cie, Editeurs, Paris, 1890. In-12, reliure pleine toile éditeur bleue, xiv-267 pp. Introduction - Chapitre Premier : De l'esprit différent dans lequel, au XVIIIe siècle, les Français d'une part, les Anglais et les Allemands de l'autre, jugent l'Italie. Comment Mme de Staël apprécie l'Italie dans son livre De la littérature considérée dans ...
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Editions du Centre Georges Pompidou, Paris, 1981. In-4, broché sous couverture illustrée, 173 pp. Avant-propos, par Pontus Hulten - Staël après un quart de siècle, par Pierre Granville - Textes critiques - Catalogue - Eléments biographiques - Expositions - Bibliographie.
Illustrations et planches en noir et en couleurs in et hors texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Exemplaire conservé dans ses reliures de l’époque. Paris, Delaunay, Bossange et Masson, 1818. 3 volumes in-8 de: I/ x pp., 440 pp.; II/ (2) ff., 424 pp. ; III/ (2) ff., 395 pp., (1) f. d’errata, (4) ff. d’annonces. Demi-basane verte, dos lisses ornés du titre doré et de filets dorés figurant les nerfs. Reliure de l’époque. 201 x 126 mm.
Édition originale de cet ouvrage célèbre de Madame de Staël doté d’une grande liberté de penser, qui fit beaucoup de bruit. Vicaire, VII, 654; Bulletin Morgand et Fatout, n°5898; Clouzot, 255; Lonchamp, 117-1; Martin & Walter, 31988; Tourneux, I, 114; En Français dans le texte, 222. L’ouvrage fut publié par le fils et le gendre de Madame de Staël, le baron de Staël et le duc de Broglie, d'après le manuscrit original achevé par Mme de Staël dans les premiers jours de 1816. Un essai qui fit date: à l'origine du premier grand débat intellectuel sur la Révolution française. Germaine de Staël (1766-1817) composa la presque totalité de son œuvre littéraire sur les routes d'exils répétés que lui valut son libéralisme politique et social, en particulier concernant la condition féminine. Napoléon, qu'elle admira d'abord et crut pouvoir conseiller, lui ferma à nouveau les frontières de France, en réponse aux prises de positions politiques et «féministes» de ses œuvres. Femme d'engagement, Madame de Staël, par ses écrits et les salons qu'elle tint successivement à Paris et à Coppet, sur les bords du lac de Genève, exerça une influence intellectuelle considérable non seulement sur la littérature mais aussi sur la société de son temps. Initialement, Madame de Staël entendait faire l'éloge politique de son père, le banquier Jacques Necker (1732-1804) qui avait été ministre des Finances de Louis XVI; mais, débordant son sujet originel, elle étudia la Révolution dans son ensemble, ses causes et ses conséquences - le régime napoléonien - et promut, par comparaison, le système anglais, qu'elle regardait comme le modèle de toute démocratie. Elle clôt ainsi l'ensemble de son œuvre par l'apologie du pays qu'elle admira entre tous. Le public accueillit avec enthousiasme ces Considérations, dont la diffusion excéda 50 000 exemplaires, à l'origine d'un débat très vif et de nombreuses critiques. Madame de Staël est à la mode... L’'impétueuse et turbulente Germaine en eut été, sans doute, ravie. Depuis quelques années, de nombreuses études et des rééditions, attestent ce retour de flamme. Il faut dire que, chez nos voisins de Romandie, comme, dans tous les pays, chez les spécialistes de littérature, et notamment de littérature comparée, les éludes sur Germaine de Staël née Necker, sur son entourage et sur les idées et la pensée de celle-là et de celui-ci ne se sont jamais beaucoup ralenties. Car cet écrit de Madame de Staël est une véritable «somme» — partiale, bien sûr… — de l'histoire de toute la période allant du premier ministère de Necker à l’année qui précède la mort de Germaine en 1817. C'est l'histoire de la Révolution vue au travers des idées, des pensées et de l'action. Non seulement cet écrit présente aussi la somme des espoirs et des ambitions de Madame de Staël, fille de Necker, mais aussi maîtresse de Narbonne, puis après le paroxysme révolutionnaire, celle – en titre – de Benjamin Constant, et celle plus occasionnelle, de Talleyrand: elle ne se résigna que sur le tard, lorsque Bonaparte dédaigna ses avis et que Napoléon la disgracia et la confina sur les bords du Léman, à devoir n’être plus qu’une dispensatrice lointaine de considérations élevées et à se transformer en Cassandre à l’égard de la politique du «tyran» qui incarnait la France. Au total, il faut lire cet ouvrage et le relire. Pour l’historien, il dépasse naturellement en intérêt tous les autres écrits de Madame de Staël. "Ce célèbre ouvrage fixa l'interprétation libérale de la Révolution française en dissociant 1789, pour la première fois crânement réhabilité, de 1793" (Yvert, Politique libérale, n°24). Précieux exemplaire en reliure de l’époque provenant de la «Bibliothèque du Château de Louppy», propriété de la famille de Custine de Wiltz.
STAEL, Madame la Baronne de (Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le nom de Madame de Staël).
Reference : 111105
Treuttel et Würtz, Editeurs, 1841, 2 volumes in-8 de 235x150 mm environ, Tome 1. faux-titre, frontispice, titre avec vignette, 425 pages, 1f. (table), - Tome 2. faux-titre, titre avec vignette, 504 pages, 1f. (table), demi maroquin à coins cerise, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de caissons à motifs dorés, cuir souligné d'un filet doré, tranches de tête dorée, gardes marbrées. Des rousseurs et mouillure très claire, petits frottements sur les coupes et le cartonnage au centre des plats, cahiers 57 (p. 457-461) et 58 (p. 449-456) inversés, infime manque de papier marbré sur le dernier plat du tome 1. Complet du frontispice de Godard, enrichi de nombreuses illustrations, vignette, lettrines et culs-de-lampe par divers artistes, gravées sur bois.
Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le nom de Madame de Staël, est une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 18174. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Galerie Jeanne Bucher à Paris 1981, 1981. Book Condition, Etat : Bon broché In-4 1 vol. - 60 pages Contents, Chapitres : Anne de Stael : Esquisse d'un portrait - Jean-Luc Daval : Revoir Nicolas de Stael (une trentaine de pages de présentation) - 64 illustrations dont 7 en couleurs
RAY GAL