1995 12x19. 1995. agrafe. 28 pages. Bon Etat intérieur propre
Reference : 100062320
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
04 90 26 49 32
Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets auxquels il faut ajouter les frais de port. Nous acceptons la carte bancaire. LE PORT EST UNIQUE : 10.00 € PAR COMMANDE ( SUIVI )POUR LA FRANCE 15€ (livres et brochures) POUR L'ETRANGER , L' ENVOI EST RAPIDE , PAIEMENT : CB , CHEQUE , PAYPAL
P., Editions d'Art et d'Histoire, 1935, pt in-4° (19 x 25), 70 pp, 24 planches hors texte en héliotypie présentant 34 reproductions des fresques de la chapelle Saint-Gilles et d'oeuvres du Moyen Age prises par l'auteur comme termes de comparaison, imprimé sur papier vergé, broché, couv. à rabats, bon état
Plusieurs fois abandonnée et reprise, la thèse du rayonnement d'art, parti du Mont-Cassin vers la fin du XIe siècle, semble devoir trouver une vigueur nouvelle dans l'étude de la vie des établissements bénédictins qui jalonnèrent les routes des pèlerinages, comme dans la constatation des rapports incessants, administratifs et religieux, qui lièrent étroitement entre eux, dès le haut Moyen Age, ces établissements, haltes des pèlerins. La remarquable étude de M. R. Gérard sur l'un des établissements situé sur la route du grand pèlerinage de Tours, puis de Compostelle, abonde, dans ce sens, en aperçus nouveaux. Consacré à l'importante décoration murale intérieure de la chapelle Saint-Gilles de Montoire, il sera fort utile à ceux qui cherchent à éclaircir le processus par lequel les ateliers ambulants, possesseurs des cartons et albums provenant vraisemblablement du Mont-Cassin, par l'intermédiaire de Cluny, les appliquèrent dans les sanctuaires bénédictins de France. Les différentes écoles, celles de Desiderius, c'est-à-dire du Mont-Cassin, et l'école plus particulièrement française y sont bien classées et examinées. — "En présentant la chapelle du prieuré bénédictin de Saint-Gilles de Montoire, M. Robert Gérard n'a pas eu la prétention d'en étudier l'architecture, qui a fait l'objet d'un travail très poussé que M. l'abbé Plat a écrit dans le volume du Congrès de Blois en 1925, aussi n'y consacre-t-il que quelques pages pour situer l'objet principal de son livre : les peintures qui l'ornent. Ce n'est pas que celles-ci aient échappé à M. l'abbé Plat, mais, depuis 1925, un fait nouveau a surgi, qu'il eût été bon de rappeler : il y a quelques années seulement, il a été retrouvé au Musée de peintures d'Orléans une suite d'aquarelles copiées très fidèlement en 1841, à Saint-Gilles de Montoire, par J.-J. Jorand, qui furent exécutées alors que les peintures étaient dans un état de conservation bien supérieur à celui d'aujourd'hui, où il est fort difficile de les examiner avec fruit . On peut maintenant retrouver les thèmes iconographiques, jusqu'ici, faute d'une bonne vision, mal interprétés, et la technique dont on se rendait difficilement compte. Ainsi armé, M. Gérard s'est attaché à rechercher les origines de cet ensemble et il l'a fait avec talent et courage : il ne craint pas d'aller à l'encontre de théories admises par de nombreux archéologues, et non des moindres. A bien lire l'auteur, non seulement il y a une école architecturale de Cluny, mais c'est à Cluny qu'on doit les peintures murales qui enrichirent les églises du XIIe siècle : « Ce sont les cartons et albums de mosaïques importés d'Italie pour Cluny qui servirent de base à la plupart des peintures murales du XIIe siècle. » M. Gérard étend même le sujet juscju'à rechercher les sources d'inspiration dont Cluny a bénéficié. Montoire, situé, – comme tant d'autres localités, – sur une route de pèlerins, devait subir cette emprise." (François Deshoulières, Bulletin Monumental, 1935) — "... Saint-Gilles de Montoire méritait bien l'honneur que vous lui faites, car il est peu d'églises du Moyen Age à présenter encore un tel et si curieux ensemble de peintures. J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre commentaire et je vous en félicite d'autant plus vivement qu'il contribuera, je l'espère, à attirer efficacement l'attention sur nosanciennes peintures murales, charmants vestiges d'un monde évanoui qui fournissent un témoignage beaucoup plus précis sur les origines de notre civilisation romanes que les sculptures et les miniatures des manuscrits." (Jean Hubert)
Paris, Ed. d'art et d'histoire, 1935. Gr. in-8 broché carré, couv. rempliée, 70 pp., 16 fig., 13 pl.
Notice archéologique sur le décor et sur l'architecture bénédictine de la chapelle Saint-Gilles de Montoire (Loir-et-Cher). Bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Editions d'Art et d'Histoire, 1935 Broche, sous jacquette originale d'editeur, 19.5x25.2 cm., 69 pp. + XIII planches en n/b., pages coupe et non-coupe.
Les Editions d'Art et d'Histoire, 1935, in-4 br. (19,5 x 25), 71 p., 16 figures et 13 planches h.-t. in-fine, imprimé sur beau papier vergé, en partie non coupé, sous papier cristal, très bon état.
L'objet principal de l'étude sont les peintures qui ornent le prieuré. Bibliographie
<p>Frais de port : 0,60 €.</p> Vendôme, 2009 19 p., illustrations couleur et N/B, broché. 21 x 29,7
Neuf