Paris Petite bibliothèque des théatres 1785 Paris - Au bureau de la petite bibliothèque des théatres - 1785 ( 1ere année) - Petit In12 ( 13 x 10 cm ) - plein maroquin rouge postérieur ( moderne ) - dos orné - 216 pages + 8 pages de table - page de titre restaurée ainsi que le recto ( avis de l'éditeur ) - environ 74 chansons avec paroles et musique - Les noms des auteurs ( paroles et musique ) sont presque toujours donnés - bel état On retrouve dans cet ouvrage musique et paroles de chansons (anacréontique, bachique, élégiaque, militaire ...), chansonnettes (villageoise ...), couplets, complaintes, pastourelles, rondes, bouts-rimés... Auteur de divers ouvrages dramatiques et poétiques (L'Allégresse villageoise, divertissement mêlé de chants et de danses, 1781, La Vanité bonne à quelque chose, sorte de poème héroï-comique, 1782, Le Dieu Mars désarmé, allégorie, 1783 ...), J. Baudrais (1749-1832) entreprend, en 1783, avec le concours de Thomas-Nicolas Le Prince, une vaste collection dont il a obtenu le privilège, la Petite Bibliothèque des théâtres, qui doit être un choix des meilleures pièces tragiques, comiques et lyriques, assorti de jugements, anecdotes, épîtres et préfaces, sommaires, vies des auteurs, catalogues analytiques..., depuis l'origine des spectacles. En formant le plan de cette Bibliothèque, les éditeurs projettent d'offrir aux souscripteurs, à la fin de chaque année, un volume dont la première partie réunirait les airs les plus agréables d'opéras et d'opéras-comiques. Mais, à la demande des souscripteurs, ils joignent finalement ces airs, dans la Bibliothèque même, aux pièces dont ils dépendent. Cependant, ne voulant pas renoncer «au plaisir de donner des étrennes», ils décident de composer le volume prévu de chansons, romances, vaudevilles ... dont le goût est si caractéristique de la nation française. C'est ainsi qu'en septembre 1784, à la fin de la première année de la souscription de la Petite Bibliothèque des théâtres qui paraît au rythme de douze volumes par an, sont annoncées les Étrennes de Polymnie dont le premier tome porte la date de 1785. Il y eut 5 éditions jusqu'en 1789 inclus . Le recueil se veut différent des autres recueils lyriques, dont on sait combien ils étaient nombreux à l'époque, dans la mesure où il se trouve être, au prix de «dépenses considérables», entièrement gravé. Le Prospectus parle d'«une exécution unique pour la beauté». Mais, en 1787, les «inconvénients de la gravure» se révèlent tels que la lettre des Etrennes est imprimée et que, seule, la musique est gravée, reportée d'ailleurs en fin de volume avec un système de renvois. ( Dictionnaire des Journaux )
Reference : RES25L215
Très bon
L'Encrivore
Dominique Delecroix - Isabelle Vasseur
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41100 Vendôme
France
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