Bruxelles Office Colonial 1938 In8 16 pages - photographies noirs et blanc - broché - bon etat general
Reference : 60Be
Bon
L'Encrivore
Dominique Delecroix - Isabelle Vasseur
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France
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Le même ingénieur "américain" William S. Welton signe les rapports des deux exploitations...Les mines espagnoles ont été exploitées par les Romains et celles de Colombie se trouvent dans l'Etat de Tolima. Nous ignorons si ces brillantes opérations ont apporté la fortune à l'abbé marseillais car nous n'avons trouvé aucune trace de ces deux compagnies. Ingénieurs, banquiers, intermédiares envoient des communiqués très optimistes sur l'avancement des travaux et les futurs bénéfices. Ensemble bien caractéristique de la fièvre de l'or et boursière de la fin du XIXe.
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Paris, Librairie polytechnique Baudry et Cie, 1886. In-8 de (4)-147 pp., figures dans le texte.LAUR (P.). Du gisement et de l'exploitation de l'or en Californie. Paris, Dunod, 1863. In-8 de (4)-89 pp., 6 planches repliées hors texte.Les deux pièces reliées en 1 vol. in-8, demi-chagrin vert, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Réunion rare sur les mines d'or de Guyane française et de Californie.1. Édition originale. Généralités sur les Guyanes - Guyane française, relief du sol - Alluvions et recherches de filons aurifères - Considérations générales sur les formations filoniennes - Observations sur les travaux de recherches ou d'exploitation (Uruguay, Venezuela, Guyane française- - Caractères comparés des diverses formations aurifères - Origine et formation probable de l'or en Guyane - Recherche pratique des filons aurifères - Considérations économiques sur l'exploitation filonienne - Conséquences de l'exploitation filonienne en Guyane. Inconnu de Sabin et Leclerc.2. Édition originale. Extrait des «Annales des Mines» 6e série tome 3, pages 347-435). Complet des six planches hors texte dépliantes (qui ont conservé l'ancienne numérotation VIII-XIII du tome des Annales) dont la Carte de Californie d'après les documents connus en 1862. Relation d'un voyage aux mines de Californie par M.P. Laur Ingénieur des Mines. Pâles rousseurs. Manque à la BnF ; 1 exemplaire au Catalogue collectif (Institut de France). Inconnu de Leclerc et Sabin (ce dernier mentionne du même auteur De la production des métaux précieux en Californie, 39249). Ex-libris «Béral-Delord».
1988 un volume, broché (paperback) grand in-octavo, dos et couverture noirs, titre imprimé en jaune et blanc (spine and cover printed) , première de couverture rempliée ornée d'une illustration photographique en couleurs (front cover illustrated with photographic illustration in colours) et noir et blanc, orné de 158 photos en noir et blanc et 6 en couleurs, 238 pages, 1988 Ibos Imprimerie Bihet Editeur, + Joint avec : un article de l'auteur sur "Les Mines de la Lucette" à Paris découpé dans "Ouest-France" Mayenne + un courrier par lant des mines de la lucette + un article du 22 juillet 1977 sur les mines de la lucette et Le Genest + un article sur les nouveaux chercheurs d'Or en Mayenne,
en parfait état (as new condition).
Payot, 1948, in-8°, 255 pp, traduit de l’américain par le professeur G. Montandon, une carte, broché, couv. illustrée lég. salie, bon état (Coll. de documents et de témoignages pour servir à l'histoire de notre temps)
Traduction de "In search of Soviet gold" (1938). A l'automne 1927, un Bolchevik haut placé visite l'Alaska. John D. Littlepage, ingénieur américain spécialisé dans l'extraction de l'or de cette région, lui sert de guide. Etrangement, le représentant de la Russie "rouge" n'a pas un couteau entre les dents et semble être un ingénieur hors pair. Les deux hommes s'apprécient et le Soviétique propose à Littlepage de venir s'installer en Russie avec sa famille, pour organiser le "Trust soviétique de l'or". L'auteur y passera près de dix années. Il sera le témoin de la collectivisation des campagnes, de la dékoulakisation et assistera à l'émergence de la nouvelle société soviétique. — "La Kolyma entra dans la course à l'or dans la quatrième décennie du vingtième siècle. Staline fut lui-même l'instigateur d'expéditions de prospection menées par des géologues bien formés dans les nombreux instituts du pays. Les endroits les plus difficiles d'accès de l'Arctique furent atteints, des cartes et des plans furent dressés. Vint ensuite la planification de l'exploitation de l'or sur tout le territoire national. En 1927 un ingénieur qui dirigeait depuis des années l'industrie du pétrole, Aleksandr Sérébrovski, se vit confier la création d'un trust étatique – le Trust de l'or soviétique. Auparavant, pendant un séjour en Californie, en Alaska et au Colorado il s'était initié aux techniques de prospection et d'extraction. Il choisit pour proche collaborateur le spécialiste américain John D. Littlepage, qui fut nommé en 1928 ingénieur en chef adjoint du trust de l'or, et il invita quelques dizaines d'ingénieurs des Etats-Unis à travailler sous ses ordres. Sérébrovski occupa pendant plusieurs années le poste de commissaire du peuple à l'Industrie aurifère. Littlepage remit sur pied de nombreuses mines défaillantes. En 1937 il en visita plusieurs en Iakoutie ; on ne sait s'il se rendit dans le bassin de la Kolyma. Il vécut de longues années avec sa famille dans la Sibérie qu'il sillonnait pour son travail d'expert et d'inspecteur. Son livre “A la recherche des mines d'or de Sibérie” est très documenté et loyal. L'auteur justifie la discrétion qu'il observe par rapport au travail servile dans les entreprises russes de la façon suivante : « Les autorités soviétiques gardent secrets les détails de cette industrie et je ne désire pas dévoiler des faits susceptibles de les contrarier ». Mais sa vision de la stratégie économique de Staline est réaliste..." (Mireille Berutti, Varlam Chalamov, chroniqueur du Goulag et poète de la Kolyma, 2013)
Paris, Librairie de Guillaumin et Cie, 1858, reliure demi-chagrin rouge, dos à 4 nerfs, titres et fleurons dorés, 14x22 cm, 357 pages.