Editions du CAP, 1957 - in 8° : 242 pp, rel. edit toile rose - quatrième volume de la collection des Fermiers généraux. en devien corps 12 - tirés à 6000 exemplaires numérotés de 1 à 6000. exemplaire n° 1459.
Reference : 4860
Bon ex. de cette belle édition club percaline vieux rose d'ép.
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Aux dépens de quelques bibliophiles Feuilles sous couverture et emboîtage In-4 (23,5 x 29 cm), exemplaire en feuilles sous couverture, chemise et emboîtage, 1 de 300 exemplaires sur vélin chiffon, 164 pages, illustré de lithographies en couleurs de Lise Lamour ; quelques frottements sur les angles de l'étui, par ailleurs très bel exemplaire. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Lucien parizeau 1945 in8. 1945. Broché. 206 pages. Bon Etat
Fantaisies à la manière de Rembrandt et de Callot. Illustrations d'Armand Seguin (1869-1903).Recueil de poèmes en prose écrits par Aloysius Bertrand (1807-1841), qui y consacra toute sa vie. Il fut publié à titre posthume en 1842 par l'ami du poète, David d'Angers.Edition tirée à 350 exemplaires. Celui-ci (n°156) un des 230 sur vélin à la forme fabriqué spécialement pour cette édition , par van Gelder, avec le filigrane Gaspard de la nuit.Paris, Ambroise Vollard - 1904.Ouvrage en pages volantes sous couverture rempliée. Papier de protection en soie. Quelques rousseurs plus importantes sur les pages de garde. Bon état. Format in-4° (26x20).
SEGUIN Armand
Angers, Imprimerie-librairie de V. Pavie, et Paris, chez Labitte, 1842. Grand in-8 de (4)-XXII-324 pp., fine reliure souple, papier gaufré aux rinceaux d’acanthes à feuilles molles, bronze luisant, pièces de titre en maroquin incrustées sur le plat, tête dorée, gardes florales assorties (reliure du début du XXe siècle).
Édition originale. Ce recueil de 66 poèmes en prose fut publié après la mort d'Aloysius Bertrand (1807-1841) par son ami David d'Angers avec l'aide de Sainte-Beuve.Dans une lettre adressée à David d'Angers (18 septembre 1837), Aloysius écrivait : « Gaspard de la Nuit, ce livre de mes douces prédilections, où j’ai essayé de créer un nouveau genre de prose, attend le bon vouloir d’Eugène Renduel pour paraître enfin cet automne, et un drame à peu près reçu à la Porte Saint-Martin, n’a guère la chance d’être joué que cet hiver. Comprenez, Monsieur, à l’effort que je fais aujourd’hui en vous écrivant ces détails, toute la fatalité de ma position. Un homme à qui je dois une centaine de francs s’est présenté chez moi ce matin pour me les réclamer avec une insistance et une brutalité qui m’ont réduit au désespoir (...) Vous serait-il possible, Monsieur, de me prêter cette somme de cent francs qui vous serait fidèlement rendus avant la fin de l’hiver ? »Une dernière lettre au même datée du 19 avril 1841, la veille de sa mort, signale sa détresse : « Nous reverrons-nous ? Je suis dans une crise que je crois la dernière. Vivez de long jours et soyez heureux ! Renduel m’a donné pour Gaspard de la Nuit, je ne sais plus à quel titre, sans doute comme prix de la première édition, et comme prix du manuscrit, la somme de cent cinquante ou soixante francs (...) Ce manuscrit ensuite, je dois vous le déclarer est un vrai fouillis. Renduel m’y faisait faire tant de changements. Il est tout à fait provisoire, et devrait être rangé et revu d’avance, feuille par feuille d’impression. C’est donc une oeuvre en déshabillé dont mon amour-propre (il est si grand dans les barbouilleurs de papier !) ne pourrait souffrir qu’on examinât les nombreuses imperfections, lacunes, etc., avant que je ne l’eusse remis dans ses habits décents. Si je vis dans huit jours, faites-moi le plaisir de me remettre le manuscrit. Si je suis mort à cette époque, je le lègue et le livre tout entier à vous, mon bon ami, et au si bon Sainte-Beuve qui fera tous les retranchements, modifications qu’il croira convenables ».En novembre 1842, près d'un an après la mort de son discret auteur, la première édition de Gaspard de la Nuit ne rencontra guère que le silence : vingt exemplaires furent écoulés, « tant donnés que vendus ». Il faudra attendre Baudelaire pour que le poème en prose fut reconnu, et c'est justement l'auteur du Spleen de Paris qui fera découvrir à un public plus large ce « fameux Gaspard de la Nuit ».Exemplaire charmant, établi dans une délicate reliure souple. Pâles rousseurs en début de volume, une trace claire de mouillure en tête de quelques feuillets.Vicaire I, 447 ; Escoffier 1494.
Paris, La Sirène, 1920. In-12, XXXVI, 176 pp., broché.
Avec 86 vignettes dans le texte d'après Rembrandt et Callot. Rousseurs à la couverture.