La table ronde 1967 état moyen 231 pages in 8.
Reference : 3519
Librairie des deux frères
M. Emmanuel Gonzalez
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LA TABLE RONDE. 1967. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 231 pages. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
La table ronde. Non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 231 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Collectif - L. GILLARD - J.-P. BARRAQUE - B. GODDE-BAUMANNS - J.-F. SIRINELLI - E. FOUILLOUX - F. HINARD
Reference : 27265
ISBN : 2130419658
PARIS, P.U.F. - Fondée en 1878 par Gabriel Monod, publiée avec le concours du CNRS et de la 6e section de l'Ecole des Hautes Etudes.- Revue historique N° 565, janvier-mars 1988 - In-8, 15,5 x 24 cm - Broché - 301 pages - Très frais, comme neuf - Envoi rapide et soigné
La Revue historique, est une revue dhistoire française créée en 1876 par le protestant Gabriel Monod et le catholique Gustave Fagniez. Cette nouvelle revue s'inscrit en réaction contre La Revue des Questions historiques créée dix ans plus tôt et qui traduisait la pensée d'une droite ultramontaine et légitimiste. La Revue historique ne se réclame d'aucune religion, d'aucun parti, d'aucune doctrineÉditée à Paris par les Presses universitaires de France - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
S.l., s.d. (début du XVIIIe siècle) in-folio, [147] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne, très régulière et lisible (environ 30 à 35 lignes par page), infimes biffures, demi-basane marine, dos lisse muet orné de filets dorés, étiquette de titre contrecollée au centre du plat supérieur, tranches mouchetées de rouge (reliure du XIXe siècle). Coiffes et charnières frottées, pages uniformément roussies.
Copie de la fin du XVIIe ou du début du XVIIIe siècle d'une très importante correspondance diplomatique du futur cardinal de Forbin-Janson (1626-1713), évêque de Beauvais depuis le 25 septembre 1679, et surtout nommé de nouveau en 1680 ambassadeur extraordinaire de Louis XIV à la Diète de Pologne. Comme évêque de Marseille, siège qu'il avait occupé avant son transfert à Beauvais, le prélat avait déjà été envoyé comme ambassadeur extraordinaire à Varsovie pour l'élection du nouveau roi à la suite de la mort de Michel Wi niowiecki (mort le 10 novembre 1673). La Diète, extrêmement divisée comme il se doit en Pologne, se réunit le 11 mai 1674, et l'habileté de Forbin permit de rapprocher les partis et de faire élire Jean III Sobieski, ce qui correspondait au voeu de Louis XIV. Rien d'étonnant donc à ce qu'il ait été choisi pour cette nouvelle représentation, qui est au demeurant assez mal connue, mais dont l'objet était à la fois de réchauffer les relations bilatérales, apparemment un peu mises à mal par les intrigues et les prétentions de la Reine de Pologne (Marie-Casimire-Louise de La Grange d'Arquien), et de s'informer sur les dessous des demandes de subsides destinées à soutenir la lutte contre les Turcs, qui se préparait par l'alliance de l'Empereur et de la Pologne. Les relations actuelles entre les deux Couronnes jadis si proches pouvaient en effet être présentées comme suit (lettre XIV) : "Nous avons trouvé en arrivant le Roy et la Reyne de Pologne aigris par mille fausses préventions, persuadez que V. M. les mesprisoit, qu'elle vouloit les traiter comme des princes tributaires, entretenir la division dans leur Royaume affin qu'ils fussent dans une plus grande dépendance, ne leur accorder aucune grâce .."I. Les missives commencent le 3 août 1680 et vont jusqu'au 14 février 1681. Elles sont au nombre de 75.Parti de Paris le 24 juillet 1680, Forbin arriva à Varsovie le 1er septembre, en passant par Cologne, Münster, Hanovre, Berlin (où il rencontra le Grand Électeur). Il rend compte ensuite des diverses audiences obtenues de Jean III, ou de sa femme, d'abord très générales, puis rentrant dans le vif des négociations. Incidemment, il faut le lire insistant souvent sans discrétion excessive sur l'appui de Louis XIV pour l'obtention de son chapeau (qu'il n'obtiendra qu'en 1690 d'Alexandre VIII). Les matières abordées sont très nombreuses et tiennent autant aux affaires intérieures de Pologne, aux manoeuvres de la Reine (en faveur de son père le marquis d'Arquien), qu'aux préparatifs de la lutte contre les Turcs, envers laquelle Louis XIV manifeste un scepticisme et une réticence remarquables (il réitère plusieurs fois la consigne du secret sur d'éventuels subsides de sa part "jusques à ce que la guerre soit effectivement déclarée"). Le même prince refuse de s'engager à ne pas attaquer les États de l'Empereur en cas d'engagement conjoint contre la Porte : "Que pour ce qui est de la demande qu'il luy a faite par la lettre que le Sr. de Villars luy apporta par laquelle il souhaiteroit que V. M. donnast des asseurances qu'elle n'attaquera pas les pays de l'Empereur ny les Estats de l'Empire tant qu'il feroit la guerre conjointement avec la Pologne contre les Infidelles, je luy ai fait connoistre combien cette demande est captieuse de la part de l'Empereur et tout à fait inutile pour la Pologne (...)".À partir du 27 octobre, date de l'arrivée de Vitry, les lettres peuvent être rédigées par les deux ambassadeurs (comme la XII), mais l'évêque continue ses missives particulières au Roi. Les deux numérotées XIV et XV (toutes deux du 8 novembre 1680) sont particulièrement longues (ff. 23-38) et importantes, donnant non seulement tout le détail des affaires pendantes, mais aussi et surtout l'atmosphère de la Cour de Pologne, itinérante entre la Lituanie et la Russie en cette fin d'année 1680 : "Il faut que V. M. s'attache entièrement la Reyne de Pologne car il est certain qu'elle a un pouvoir absolu sur l'esprit du Roy son mary qui ne luy cache rien, qui la met dans toutes les affaires et enfin elle le tourne où il luy plaist".Au début de l'année 1681, les deux hommes rejoignent la Cour de Jean III à Varsovie, où doit se tenir la Diète. En annexe de la lettre XLIII du 14 janvier 1681, on trouvera des copies de missives de l'Électeur de Brandebourg, du prince Louis de Honenzollern (fils cadet de l'Électeur), de Wichert (résident de Brandebourg en Prusse).Au milieu de mille intrigues, la conclusion générale de l'ambassade tient en quelques mots de la dernière lettre adressée au Roi (LXX, du 14 février) : "la parole positive [que le Roy et la Reyne de Pologne] nous ont donnée de ne se point détacher de l'amitié de V. M. et d'entrer aprez la Diette dans un traitté d'alliance".II. Sont intercalées dans cette partie des copies de lettres de Roger Akakia (cf. infra), alors en mission en Transylvanie pour rallier les Mécontents de Hongrie à la politique anti-habsbourgeoise de la France, ce qui n'allait pas sans mal ("Je crois devoir avertir que les Hongrois Mescontens sont conseillez par quelques-uns qui se disent venir de la France, de s'accommoder avec l'Empereur, et pour les y porter, ils taschent de faire perdre à ceux la toute espérance d'un secours de la France sans lequel ils ne peuvent continuer la guerre"). Adressées aux deux ambassadeurs, elles en reçoivent des réponses conjointes (lettres XXVIII-XXX).Enfin, d'autres missives, plus courtes, sont adressées à divers personnages en poste dans le pays : Antoine Baluze, résident de France en Pologne depuis 1644 (il avait été attaché à la personne de Marie-Louise de Gonzague-Nevers, épouse de Ladislas IV, puis de son frère Jean II), et désireux de rentrer en France en raison du mauvais état de sa santé (il devait obtenir son congé, quitter Varsovie en mars 1681, pour mourir à Paris en septembre suivant) ; François du Pas de Feuquières, comte de Rébénacq, etc.III. À la suite de la correspondance du négociateur proprement dite a été réuni un dossier regroupant les instructions données au diplomate avant et pendant sa mission, sous le titre général de : Négociation de Monseigneur l'évesque et comte de Beauvais Pair de France, ambassadeur extraordinaire en Pologne (ff. 105-147), composé de cinq parties :1. Mémoire pour servir d'instruction tant au Sr. évesque de Beauvais allant de la part du Roy ambassadeur extraordinaire en Pologne qu'au Sr. marquis de Vitry, qui doit demeurer plus longtemps aud[it] pays en cette mesme qualité (ff. 105-112). Nicolas-Louis de Lhospital, marquis de Vitry (1636-1685), fils du maréchal de Vitry, fut ambassadeur en Pologne de 1680 à 1683, en remplacement de François-Gaston de Béthune-Sully (dont le séjour semble avoir été celui d'un brouillon), et après une mission auprès de l'Empereur. Il était censé arriver sur place avant Forbin, encore retenu par le soin de son nouveau diocèse (et où la lutte contre le jansénisme l'accaparait), mais ce fut exactement l'inverse qui se produisit.2. Addition au mémoire servant d'instruction (ff. 113-116).3. Lettres de créance données par Sa Majesté à Mgr de Beauvais pour le Roy et la Reyne de Pologne (ff. 116v-117r).4. Articles du traité secret signé avec Mr. l'Électeur de Brandebourg le 25e octobre 1679, dont il est fait mention dans l'instruction du Roy (f. 117). Il s'agit du traité secret de Saint-Germain-en-Laye, signé le 25 octobre 1679 entre le roi de France et l'électeur de Brandebourg Frédéric-Guillaume Ier, constituant un complément au traité homonyme signé en juin de la même année par lequel le Brandebourg restituait à la Suède ses possessions de Poméranie et de Stettin. Le Grand Électeur recevait des subsides de la France, mais s'engageait en retour à donner son suffrage au Roi ou au dauphin en cas d'élection impériale. 5. Lettres du Roy et de Mr. de Croissy à Mgr l'évesque de Beauvais depuis le 17 juillet 1680 jusqu'au 13 feb[vrier]) 1681 (ff. 117-147). Dans cette dernière partie, on trouvera également correspondance active et passive de Roger Akakia de Fresne, qui exerça longtemps les fonctions de secrétaire de l'ambassade de Pologne, et a laissé le souvenir ambigu d'un intrigant incorrigible (il avait déjà été embastillé en 1664 à la suite de son premier séjour en Pologne).Le CCF ne signale apparemment aucun manuscrit correspondant à notre recueil. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Librairie illustrée.. 24 mars 1912. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 304. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
Sommaire : Au pays des Abors par Gustave Regelsperger, L'ambassadeur extraordinaire, VII par Paul d'Ivoi, Canari ville par C.B., Une corrida sur les toits par Jacques d'Izier, Au dessus du continent noir, XII par le capitaine Danrit, Un ours patineur par Claude Albaret, Capitaine vif argent, X par Louis Boussenard Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages