‎REVERAND PERE GUY BOUGEROL‎
‎Ceux qu'on a jamais vu.‎

‎ Arthaud, 1943, état moyen, 206 pages, la campagne de France vue par un lieutenant observateur de réserve au 2/33 aumonier de l'air.‎

Reference : 3176


‎‎

€15.00
Bookseller's contact details

Librairie des deux frères
M. Emmanuel Gonzalez

librairie2freres@gmail.com

06.80.85.37.77

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Others
Sale conditions

Conditions générales de vente : Expédition : à réception du paiement par Paypal ou chèque à l'ordre de la librairie "Des deux frères". Chèque étranger non compensable dans une banque française accepté ( \+ 12% du montant total), ainsi que les mandats internationaux et mandats cash. Accepte les virements de l'étranger par IBAN et BIC. Marchandises envoyées en port normal; colissimo ou recommandé sur demande. Les envois s'effectuent en fin de semaine. L'entreprise expéditrice ne peut être tenue responsable pour les avaries occasionnées et pertes par le transporteur. Elle ne peut également être tenue pour responsable pour les retards occasionnés par le transporteur. Retours: Il ne peut y avoir de retour de la marchandise sans accord préalable de la direction, par une réclamation justifiée par Email ou courrier. Après accord, celle-ci peut être retournée aux frais du client. <br />Commandes par e-mail, téléphone (fixe et portable) et bon de commande proposé ci-dessus. Recherche possible d'ouvrage non disponibles. <br />

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110316447

(1936)

‎VU N° 439 - Toujours la guerre civile, Leurs premières vacances - de Paris a Nice avec ceux qui n'ont jamais vu la mer, La conquête sous la pluie - Djibouti - arme puissante aux mains des français, La grande saison mozartienne, Salzbourg, union intime‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 21 AOUT 1936. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 933 à 960. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎


‎Sommaire : Toujours la guerre civile, Leurs premières vacances - de Paris a Nice avec ceux qui n'ont jamais vu la mer, La conquête sous la pluie - Djibouti - arme puissante aux mains des français, La grande saison mozartienne, Salzbourg, union intime de l'architecture et de la musique Classification Dewey : 70.1-Journaux‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎ALBERT-HERRENSCHMIDT‎

Reference : RO80130426

(1918)

‎Au Fil des Jours. Ceux qui luttent, Ceux qui passent, Ceux qui ne sauront jamais.‎

‎MAISON DU LIVRE. 3 oct. 1918. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 282 pages. Envoi de l'auteur. Charnières fendues en coiffes.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎


‎ Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎Chedaille Jean‎

Reference : 128888

(1999)

ISBN : 2868080480

Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR10.00 (€10.00 )

‎Jean Chedaille ; Preface d'Alphonse Boudard‎

Reference : 65201

ISBN : 2868080480

‎Court Traite de Maisonclologie a l'usage des macs honoraires ; des putes repenties ; de ceux qui y sont alles ; de ceux qui n'iront jamais‎

‎Christian Pirot Les Petites Bottines 1990‎


‎in8, broche, bon etat, couverture tres legerement salie aux coins un peu frottes, un pli de lecture au dos, interieur tres propre avec photos N&B, Christian Pirot, Coll. Les Petites Bottines, 1990, 207p‎

Phone number : 01 424 545 79

EUR10.00 (€10.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !