NRF collection idées 1965 bon état 250 pages in 12.
Reference : 3033
Librairie des deux frères
M. Emmanuel Gonzalez
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, , 1848. LASALLE (Emile). Jean qui pleure et Jean qui rit. Paris, Goupil, Vibert (Imp. Lemercier, (1848). lithographie 42 x 58 cm, 28 , 42,5 cm.BILORDEAUX. A la Gloire de la République proclamée à Paris le 24 février 1848. Paris, Lith. de Cattier, (1848). 50 x 37 cm.NANTEUIL (Célestin). A tous les Peuples ! La Liberté dera le tour du Monde. Paris, Imp. Lemercier, (1848). 29 x 39 cm.ARNOUT (Jules)et Victor ADAM. Annales de la Révolution française.1848. Paris, Goupil, Vibert, (1848), 22 lithographies 27,8 x 39 cm.Les Membres du Gouvernement provisoire. Paris, Goupil Vibert, (1848). 38 x 60 cmADOLPHE. La Montagne. Paris, Goupil, Vibert, (1848). 38 x 60 cmLes Membres du Gouvernement interémiraire. Paris, Goupil Vibert, (1848). 52 x 38 cm.BILORDEAUX. A la Mémoire de Mgr Affre. Paris, Goupil Vibert, (1848). 50 x 37 cm.CHAPENTIER (Amédée) d'après Compte-Calix. Insurrection de Juin 1848. Paris, Goupil Vibert, (1848). 4 planches 29 x 42 cm.CHARPENTIER (Amédée). Les Accusés de Mai. Paris, Goupil Vibert, (1848). 28,5 x 40,5 cm.FELON (Joseph). La Jeune République. Dédiée aux travailleurs. Paris, Aubert, 1848. 33 x 20 cm.FOUSSEREAU et E. CHARPENTIER. Milices révolutionnaires. sous le Gouvernement Provisoire. Paris, Goupil Vibert, (1848). 1 titre en rouge et 12 planches coloriées 52 x 37,5 cm.RETHEL (Alfred). Le Socialisme, Nouvelle danse des morts composée et dessinée par Alfred Rethel, lithographiée par A. Collette. Paris, New-York, Goupil Vibert & C°; Londres Gambart, [1850]. Six planches, couverture bleue illustrée conservée.
À la fois marchand et éditeur d'art, Adolphe Goupil créa au XIXesiècle un véritable réseau de vente, d'achat et de reproduction d'oeuvres d'art de renommée internationale.Adolphe Goupil, né à Paris en 1806, s'associa en 1829, avec Henri Rittner pour se consacrer au commerce des estampes et lithographies à Paris. À la mort de ce dernier en 1840, Théodore Vibert, éditeur de gravures, lui succèda (société Goupil et Vibert). En 1846, la société, qui s'appelait Goupil, Vibert & Cie, connut une expansion extraordinaire. Elle possèdait quatre établissements à Paris, place de l'Opéra, rue Chaptal, boulevard Montmartre et rue d'Enghien, et ouvrit peu à peu des succursales à New York (1848), Londres (1848), Berlin (1852), La Haye (1861) et Bruxelles (1863). Spécialisé dans l'édition et le commerce d'estampes originales et d'interprétation, Goupil s'attacha le service de graveurs ou lithographes de renommée et édita des copies de maîtres anciens et des peintres contemporains. À partir de 1853, Goupil & Cie se lança dans la publication d'albums illustrés de photographies de monuments ou de reproductions d'oeuvres d'art. Sont ainsi édités les albums de Félix Teynard, Charles Nègre, Bisson Frères, Robert Bingham et Benjamin Delessert.
1 vol in- 8 broché - Tome deuxième / 50 pages - Numéro 11 - Novembre / décembre 1905
bel état de conservation
, , 1848-1870. Ensemble 12 lettres manuscrites in-8 de une ou plusieurs pages.
Aimé Sureau (1809-1872) incarne une figure emblématique des luttes politiques et ouvrières de la première moitié du XIXe siècle. Condamné sous la Monarchie de Juillet à trois ans de prison pour délit politique, il s'inscrit parmi les acteurs radicaux qui, avant et après la Révolution de Février 1848, ont milité pour une plus grande intégration des classes populaires dans les structures institutionnelles, notamment au sein de la Garde nationale.Le contexte des événements d’avril 1848. Le 26 avril 1848, sur la place publique de Saint-Ouen, Aimé Sureau prend la parole pour réclamer l’incorporation et l’armement des ouvriers dans la Garde nationale. Le lendemain, il est accusé d'avoir sonné le ralliement et promis des armes aux insurgés. Lui-même et son ami Durand-Neveu affirment qu’il tenta, au contraire, de désamorcer la confrontation. Cependant, les soupçons qui pèsent sur lui conduisent à sa fuite dès le soir du 28 avril.Condamnation et exil. La répression qui suit les événements de 1848 se montre implacable envers Aimé Sureau. Le 7 décembre 1848, la Cour d’assises de Caen le condamne aux travaux forcés à perpétuité. Cette sentence semble davantage motivée par son passé politique sous la Monarchie de Juillet et son rôle de président du club de Saint-André après la Révolution de Février que par son implication réelle dans les événements d’avril. Le 17 avril 1849, cette condamnation est commuée en une déportation en Algérie, marquant une étape supplémentaire dans la répression des militants révolutionnaires.Un témoignage épistolaire exceptionnel. Les archives liées à Aimé Sureau offrent un éclairage rare sur son engagement et sa trajectoire personnelle. Parmi les documents conservés figurent :Trois lettres autographes datées de Bicêtre (6 septembre et 27 octobre 1848) et d’Alençon (13 mars 1850).Trois lettres de Nougaret (datées des 19 septembre, 14 septembre, et 15 septembre 1870), toutes adressées à un certain Dalleine, tailleur.Un billet signé conjointement par Dalleine et Sureau.Une copie manuscrite de coupures de presse.Une lettre de son frère, Félix Sureau, adressée à son avocat.Deux billets d’Henry Cellier destinés à Sureau, ainsi qu’un billet anonyme débutant par ses mots « si tu as besoin de témoins…»
1848-1849 A Paris aux Bureaux de l'Illustration, rue de Richelieu, 60. 1848-1849. I volume in-folio. Demi basane verte, filets et titre en doré. 384 pages. Gravures en noir et blanc. Avec la table des matières et la table des gravures
Bon état intérieur conservé dans sa fraîcheur. Reliure présentant de nombresues épidermures sur le cuir et des traces d'usure du temps sur les plats. Pages de garde et de faux titre froissées
, , 1848-1850. 4 pièces reliées en 1 vol. in-12, demi-basane prune, dos lisse orné (reliure de l'époque). Petit accident à la coiffe supérieure.
LA HODDE (Lucien de). La Naissance de la République en Février 1848. Paris, chez l'éditeur, 1850. In-12 de 109-(1) pp. Deuxième édition publiée l'année de l'originale. Lucien de La Hodde a été attaché après la révolution de février 1848, à la préfecture de police ; accusé sur pièces authentiques d'avoir joué, au profit de la monarchie de juillet, le rôle d'espion et d'agent provocateur, il a dû quitter son emploi, et il s'est vengé de la réprobation dont il se trouvait l'objet en publiant des diatribes violentes contre les hommes de février et le gouvernement provisoire. Il est l'auteur de Histoire des Sociétés secrètes et du parti républicain de 1830 à 1848 Louis-Philippe et la Révolution de Février. Victor Hugo lui consacre dans Les Misérables une longue note. Il est l'auteur de Histoire des Sociétés secrètes et du parti républicain de 1830 à 1848 Louis-Philippe et la Révolution de Février. Bourquelot, IV, p. 547.GIRARDIN (Emile). Journal d'un journaliste au secret. Paris, Michel Lévy frères, juillet 1848. In-12 de 144 pp. Édition originale. Sur un ordre signé de la main du Général Cavaignac, Émile de Girardin fut arrêté le 25 Juin 1848 comme opposant et emprisonné à la Conciergerie. Son journal La Presse fut aussitôt suspendu. Il resta onze jours au secret, puis fut rendu à la liberté. Le journaliste le fit durement expier au général triomphant en publiant après sa sortie Le Journal d'un Journaliste au secret.BERGER (Louis). La confession d'un Républicain de la veille. Paris, Garnier frères, 1849. In-12 de 83 pp. Édition originale.DUCOS. Rapport de M. Ducos à l'Assemblée Nationale sur les comptes du gouvernement provisoire. Avec une préface de M. Alfred Nettement. Aux bureaux de l'opinion publique. In-12 de 89-(1) pp. Édition originale « L'histoire du gouvernement provisoire est tout entière dans l'examen des comptes du département de la Seine, tels que les présente M. Ducos. Quel curieux récit! quels portraits vivants des personnages principaux! Quelle peinture du temps! Chacun fait sa police personnelle, c'est-à-dire que chacun pourvoit à sa sûreté, comme au temps de la féodalité. Chacun a sa garde et sa forteresse. Mais de ces châtelains du 24 février, le plus redoutable, parce qu'il a la forteresse la plus inexpugnable et la mieux gardée en apparence, c'est le préfet de police (…) » (Revue des deux mondes, 1849).