gallimard NRF 1966 état d'usage 504 pages in 8.
Reference : 2241
Librairie des deux frères
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Gallimard, 1966, in-8°, 504 pp, traduit de l'anglais, broché, couv. illustrée, bon état
En janvier 1953, un jeune sénateur du Massachusetts engage, au lendemain de son élection, un jeune homme de vingt-quatre ans, originaire du Nebraska. C'est entre John F. Kennedy et Ted Sorensen le début d'une collaboration quotidienne qui ne s'achève qu'avec le drame de Dallas. Onze ans : témoin des moments les plus importants de la carrière de Kennedy, de la campagne électorale pour la Présidence, du discours au clergé protestant de Houston, des débats à la télévision avec Nixon et de la nuit de son élection à Hyannis Port, Sorensen est le premier à connaître, heure par heure, comment le Président réagit à ces crises décisives pour le monde que furent Berlin et Cuba. C'est dans les coulisses de la Maison Blanche que l'auteur nous entraîne ici avec la connaissance d'un familier et l'émotion d'un ami. Il ne cache pas que, juge et partie, mémorialiste et ancien acteur, son récit est marqué de parti pris. Biographie passionnante d'un homme extraordinaire, ce livre constitue aussi un des documents historiques les plus importants du XXe siècle. — "On sait que l’auteur fut un des familiers du président Kennedy, près duquel il occupa, pendant onze ans, un poste de confiance, qui lui permit d’assister en témoin direct à tous les grands événements de la politique américaine, de 1951 à 1962. C’est donc un récit de toute première main que nous fait Théodore C. Sorensen de cette période qui fut particulièrement agitée. Il ne cache nullement qu’il n’est pas un témoin impartial. Il était trop attaché au président Kennedy pour ne pas le présenter sous un jour particulièrement sympathique. Ce livre montre le président Kennedy sous tous ses aspects, dans sa vie publique et dans ses attitudes les plus familières. Ce pourrait être un recueil d’anecdotes, si le ton de l’ouvrage ne se maintenait à un niveau digne de son sujet. Ce mélange de familiarité, de noblesse et de dignité n’est pas un des moindres charmes de cette lecture. Trois événements dominent cette période : la lamentable affaire de la Baie des Cochons, en avril 1961, le Blocus de Berlin et l’alerte si chaude de l’installation des missiles soviétiques à Cuba, en 1962. Dans la première, Kennedy fut atterré de s’être si facilement, si ingénument laissé induire en erreur par ses services ; l’échec des révoltés cubains contre les troupes de Fidel Castro fut de toute évidence, un échec américain, et le président des États-Unis le ressentit profondément.... Un livre que l’on lira certainement avec intérêt et sympathie." (Jean Némo, Revue de Défense nationale, 1967) — Theodore C. « Ted » Sorensen (1928-2010), est un conseiller politique, avocat et écrivain, connu pour avoir été le conseiller et bras droit du président américain John Fitzgerald Kennedy et l'auteur des plus grands discours de ce dernier. Sorensen est également l'auteur de la célèbre biographie « Kennedy » publiée aux Etats-Unis en 1965.
Le Figaro. 2016. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 114 pages - nombreuses photos et publicités en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte. 2e plat légèrement frotté.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : L'incroyable saga des Kennedy - Les Kennedy, l'histoire d'une vie - The Kennedys, la série arrive en France - Portfolio : dans l'intimité d'une famille américaine presque ordinaire - L'arbre généalogique du clan Kennedy - Joseph et Rose Kennedy, leurs enfants - Les conjoints, les enfants de John et Jackie - Hollywood, le vivier des Kennedy - Les Kennedy en eaux troubles - Comment Joe bâtit sa fortune colossale en partant de rien - A la Maison Blanche, le quotidien est rythmé par les infidélités du président - Les Kennedy contre les Castro : l'histoire vraie des frères ennemis - ""Ich bin ein Berliner"" ou l'espoir retrouvé des Berlinois - JFK échappe au péril nucléaire mais à quel prix ! - Comment JFK s'est laissé prendre dans l'engrenage vietnamien - 22 novembre 1963 l'assassinat de JFK : la mort d'un président... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Flammarion, 2011, in-8°, 428 pp, traduit de l'anglais, avant-propos de Caroline Kennedy, introduction et annotations de Michael Beschloss, 84 photos dans le texte et à pleine page, index, broché, couv. illustrée, bon état
Jacqueline Kennedy, née Bouvier, n'a laissé ni autobiographie ni mémoires. "Son silence sur son passé, rappela le New York Times à sa mort en 1994, surtout sur les années Kennedy et son mariage avec le Président, a toujours été voilé de mystère." C'est donc un document exceptionnel que ces entretiens, demeurés secrets pendant presque cinquante ans : au printemps 1964, quelques mois seulement après la mort de son mari, elle a accepté de revenir sur ces années cruciales avec l'historien Arthur M Schlesinger. Dans cette contribution unique, il est évidemment beaucoup question de John F. Kennedy : sa vie de sénateur, ses campagnes, sa foi catholique, ses relations avec ses frères. II y est aussi question de leur couple, de ce qu'ils se disaient en privé, et de la conception qu'avait Jacqueline du rôle de "First Lady". L'Histoire se rencontre à chaque ligne, depuis les visites d'Etat où Mme Kennedy suivait son époux (en France notamment où elle s'est entretenue avec de Gaulle) jusqu'à la tourmente de la crise de Cuba ; on croise les portraits des principales figures politiques de l'époque Khrouchtchev, Nehru, Nixon, Lyndon Johnson, dont certaines ne sont guère épargnées... La "Jackie" qui se découvre ici est neuve, véritablement : loin de l'icône des magazines de mode, c'est une jeune femme de trente-quatre ans qui s'exprime avec une émotion à fleur de peau. Son deuil tout proche ne l'empêche pas d'être pleinement consciente du poids historique de sa parole, et soucieuse d'offrir un témoignage sincère à la postérité.
France-Empire, 1978, pt in-8°, 255 pp, traduit de l'anglais par R. Jouan, 16 pl. de photos hors texte, une carte, broché, couv. illustrée, bon état
Traduction française de "PT 109 : John F. Kennedy in World War II". — Dans la nuit du 1er au 2 août 1943, aux îles Salomon, le destroyer japonais Amagiri, attaqué par des vedettes lance-torpilles américaines, aborda l'une d'elle à 30 noeuds et la coupa en deux. Onze survivants, sur treize hommes d'équipage, se regroupèrent dans la pénombre autour de l'arrière du Patrouilleur P.T. 109 resté à flot. Parmi eux l'enseigne de vaisseau John F. Kennedy, leur commandant, soutenait le mécanicien McMahon, grièvement brûlé et à demi-inconscient. Le jour levé, l'épave chavirait. Alors les rescapés entreprirent de rejoindre l'une des îles à la nage. Quinze heures plus tard ils s'écorchaient les pieds sur les coraux d'une île déserte. Pour sa part John F. Kennedy avait remorqué durant tout ce temps son mécanicien à l'aide d'un cordage passé entre ses dents. Le second soir, Kennedy, repartit seul à la nage, muni d'une lampe-torche pour faire dans le détroit des signaux à un éventuel navire ami. Quatre jours s'écoulèrent. Avec un de ses compagnons, Kennedy se traîna d'atoll en atoll et finit par rejoindre deux canaques qui allaient transmettre son message de détresse. La base des vedettes lance-torpilles rejointe, Kennedy et la plupart des rescapés armaient le Patrouilleur P.T. 59 et appareillaient vers d'autres aventures.
France-Empire, 1961, pt in-8°, 255 pp, traduit de l'anglais par R. Jouan, 8 pl. de photos hors texte, une carte, broché, jaquette illustrée, bon état
Traduction française de "PT 109 : John F. Kennedy in World War II". — Dans la nuit du 1er au 2 août 1943, aux îles Salomon, le destroyer japonais Amagiri, attaqué par des vedettes lance-torpilles américaines, aborda l'une d'elle à 30 noeuds et la coupa en deux. Onze survivants, sur treize hommes d'équipage, se regroupèrent dans la pénombre autour de l'arrière du Patrouilleur P.T. 109 resté à flot. Parmi eux l'enseigne de vaisseau John F. Kennedy, leur commandant, soutenait le mécanicien McMahon, grièvement brûlé et à demi-inconscient. Le jour levé, l'épave chavirait. Alors les rescapés entreprirent de rejoindre l'une des îles à la nage. Quinze heures plus tard ils s'écorchaient les pieds sur les coraux d'une île déserte. Pour sa part John F. Kennedy avait remorqué durant tout ce temps son mécanicien à l'aide d'un cordage passé entre ses dents. Le second soir, Kennedy, repartit seul à la nage, muni d'une lampe-torche pour faire dans le détroit des signaux à un éventuel navire ami. Quatre jours s'écoulèrent. Avec un de ses compagnons, Kennedy se traîna d'atoll en atoll et finit par rejoindre deux canaques qui allaient transmettre son message de détresse. La base des vedettes lance-torpilles rejointe, Kennedy et la plupart des rescapés armaient le Patrouilleur P.T. 59 et appareillaient vers d'autres aventures.