Henri Veyrier, 1975, 271 pages, nombreuses illustrations et photos, in 4 broché, bon état général, coins légèrement cornés et frottés.
Reference : 12002
ISBN : 2851991078
Librairie des deux frères
M. Emmanuel Gonzalez
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Édition originale. Un des 80 exemplaires sur vélin pur fil. Directement écrit en anglais, le livre sera non pas traduit, mais complètement réécrit en français cinq ans plus tard par Romain Gary. Reliure de Bichon. Paris, Gallimard, (6 mai) 1969. 1 vol. (140 x 205 mm) de 278 p. et [4] f. Chagrin orangé à encadrement, papier à décor sur les plats, titre doré, date en pied, tête cirée, couvertures et dos conservés, étui bordé (reliure signée de B. Bichon). Édition originale. Un des 80 exemplaires sur vélin pur fil (n° 75).
Directement écrit en anglais, le livre sera non pas traduit, mais réécrit en français cinq ans plus tard par Romain Gary. Le héros de ce portrait de la jeunesse américaine des années soixante, Lenny, ne croit plus aux valeurs de l’Amérique traditionnelle, sûre de son bon droit. Au Viêtnam, la guerre s’enlise et la protestation étudiante ne cesse de grandir : « Tu veux que je te dise Lenny ? C’est fini Gary Cooper. Fini l’Américain tranquille, sûr de lui et de son droit, qui est contre les méchants, toujours pour la bonne cause, et qui fait triompher la justice et gagne toujours à la fin. Adieu, l’Amérique des certitudes. Maintenant c’est le Viêtnam, les universités qui explosent, et les ghettos noirs. Ciao Gary Cooper. » Constat qui ne va pas sans quelque nostalgie de la part de l’auteur, qui aimait particulièrement Gary Cooper et s’amusait à se comparer à lui : « je suis un mélange de Gary Cooper et de Rudolf Valentino, en mieux parce que j’ai les yeux bleus […] Voilà ! »
Édition originale. Un des 80 exemplaires sur vélin pur fil. Directement écrit en anglais, le livre sera non pas traduit, mais complètement réécrit en français cinq ans plus tard par Romain Gary. Mouillure claire à l'angle supérieur du premier feuillet, sinon, excellente condition. Paris, Gallimard, (6 mai) 1969. 1 vol. (140 x 205 mm) de 278 p. et [4] f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 80 exemplaires sur vélin pur fil (n° 99).
Directement écrit en anglais, le livre sera non pas traduit, mais réécrit en français cinq ans plus tard par Romain Gary. Le héros de ce portrait de la jeunesse américaine des années soixante, Lenny, ne croit plus aux valeurs de l’Amérique traditionnelle, sûre de son bon droit. Au Viêtnam, la guerre s’enlise et la protestation étudiante ne cesse de croître : « Tu veux que je te dise Lenny ? C’est fini Gary Cooper. Fini l’Américain tranquille, sûr de lui et de son droit, qui est contre les méchants, toujours pour la bonne cause, et qui fait triompher la justice et gagne toujours à la fin. Adieu, l’Amérique des certitudes. Maintenant, c’est le Viêtnam, les universités qui explosent, et les ghettos noirs. Ciao Gary Cooper. » Constat qui ne va pas sans quelque nostalgie de la part de l’auteur, qui aimait particulièrement Cooper et s’amusait à se comparer à lui : « je suis un mélange de Gary Cooper et de Rudolf Valentino, en mieux parce que j’ai les yeux bleus […] Voilà ! » Mouillure claire à l’angle supérieur du premier feuillet, sinon, excellente condition.
3e année - N° 99 - 6 février 1947 - revue illustrée - in-4 broché - 24 pages
assez bon état (deux traces de plis (dans la largeur de la revue) - toute petite déchirure au dos)
2e année - N° 70 - 18 juillet 1946 - revue illustrée - in-4 broché - 16 pages
bon état
Paris, Gallimard, (6 mai) 1969. 1 vol. (135 x 200 mm) de 278 p. et [4] f. Maroquin marine, doublures et gardes velours bleu, titre doré, date en pied, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés, étui bordé (reliure signée de Loutrel-Delaporte). Édition originale. Un des 25 premiers exemplaires sur vélin de Hollande (n° 10).
Le héros de ce portrait de la jeunesse américaine des années soixante est Lenny, qui ne croit plus aux valeurs de l'Amérique traditionnelle. Au Viêtnam, la guerre s'enlise et la protestation étudiante ne cesse de croître : « Tu veux que je te dise Lenny ? C'est fini Gary Cooper. Fini l'Américain tranquille, sûr de lui et de son droit, qui est contre les méchants, toujours pour la bonne cause, et qui fait triompher la justice et gagne toujours à la fin. Adieu, l'Amérique des certitudes. Maintenant, c'est le Viêtnam, les universités qui explosent, et les ghettos noirs. Ciao Gary Cooper. » Le titre original, The Ski Bum, publié en 1965, fait suite aux Mangeurs d'étoiles, et forme le second volet de sa « Comédie américaine ». Directement écrit en anglais, le livre sera non pas traduit, mais réécrit en français cinq ans plus tard par Romain Gary. Des éléments nouveaux sont ajoutés au texte original mais le texte reste une comédie légère et ironique, qui rappelle à Jacqueline Piattier dans sa notice à parution « les meilleures pages de Bonjour Tristesse, mais c'est ici ‘Bonjour Jeunesse’ qu'on devrait dire puisque c'est la jeunesse éternelle, romantique et bernée par la vie, qui fait le fond du livre » (Le Monde, 5 juillet 1969). Ce texte français est dédié « à Diego », le fils de Romain Gary et Jean Seberg, alors âgé de six ans. Parce que Diego Gary était né hors du mariage de ses parents, les premières années de son existence seront cachées, son père utilisant ses contacts diplomatiques pour faire établir un faux acte de naissance en date du 26 octobre 1963, date postérieure à celle de son mariage avec Seberg – qui se sont unis en secret le 16 octobre 1963, dans le village corse de Sarrola-Carcopino. Très bel exemplaire.