Paris, Librairie des Femmes , 1990, In-huit , 370 pp,
Reference : 67721
Traduction du brésilien par J. et Th.Thiérot.
Librairie Jousseaume
M. François Jousseaume
45 Galerie Vivienne
75002 Paris
France
librairie.jousseaume@gmail.com
01 42 96 06 24
Nous acceptons les conditions de vente en usage , dès reception du paiement (frais de port inclus et défini au préalable) nous expédions les livres selon le souhait du client, au tarif normal ou rapide ou recommandé. Nous acceptons les paiements par chèque, C. B, ou mandats postaux, ou contre-remboursement. <br />
10 vol. in-4 br., couv. ill. couleurs, ill. noir et blanc ou couleur, La Vie du Rail, Paris, 1957 à 1984 , env. 450 pp. au total.
Bon état. Prix pour l'ensemble. Au sommaire notamment : n° 614 les 060 D. B. Sur les lignes du sud de la Loire (septembre 1957) ; n° 747 Parthenay (mai 1960) ; n° 787 Poitiers-la Rochelle (mars 1961) ; n° 823 les ateliers de Saintes (décembre 1961) ; n° 934 de Poitiers à Limoges (février 1964) ; n° 1142 Aunis et Saintonge (avril 1968) ; n° 1449 regards sur Nantes-Bordeaux (juin 1974) ; n° 1654 Angoulême (juillet 1978) ; n° 1726 lustre nouveau sous une coupole (gare de Limoges, janvier 1980) ; n° 1954 Saujon - La Tremblade, une petite ligne revit (juillet 1984).
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
Au bureau du journal. 9 janvier 1875. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 18 à 32. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
SOMMAIRE : Texte : Histoire de la semaine. — Courrier de Paris, par M. Philibert Audebrand. — Hiyotoko, nouvelle japonaise, par M. Peyremal (suite). — Nos gravures : Le grand escalier du nouvel Opéra; — Le lustre; — Le verglas du 1“ janvier à Paris et la fontaine du Château-d’Eau ; — L’infant don Alphonse; — L’accident de Shipton; — Le général Espartero;—Le revolver photographique Jeanssen. — Les chiens à Paris; — Revue financière de la semaine.— Bulletin bibliographique. — Les rois de Dakar. — Faits divers. — Echecs.Gravures : Inauguration du nouvel Opéra : le lustre; —Le grand escalier : vue prise de l’une des rampes latérales. — Le verglas du 1er janvier, à Paris. — S. M. Alphonse XII, roi d’Espagne.—Le général Espartero. — L’accident de Shipton sur le chemin de 1er Great-Western, en Angleterre. — Le revolver photographique de M. Jeanssen, employé dans la mission française du Japon pour l’observation du passage de Vénus sur le Soleil. — Disposition du revolver photographique à l’observatoire de M. Jeanssen —Le nouveau roi de Dakar; — Tombeau de l’ancien roi de Dakar. — L’hiver de 1875 à Paris: aspect de la fontaine du Chàteau-d’Eau, le 31 décembre. — Rébus. — Le nouvel Opéra. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
Paris s.d. [ca 1902], 11,5x9cm, une carte recto verso.
Carte-lettre autographe signée d'Eugène Grasset adressée au peintre Henri Jules Ferdinand Bellery-Desfontaines, 18 lignes rédigées à l'encre noire depuis son domicile parisien du boulevard Arago. Bel exemplaire. Eugène Grasset est désolé d'avoir raté son confrère peintre : "J'ai beaucoup regretté m'être trouvé absent lors de votre visite..." et complimente son ami pour l'une de ses dernières productions: "...du lustre que vous avez composé et dont je vous fais mon compliment sincère. Cette reproduction enrichira mon prochain article d'un élément intéressant et qui y manquait jusqu'à présent." - Photos sur www.Edition-originale.com -
reliure postérieure, IN 4 étroit - dos abimé; coin plat manquant- 33 miniatures ,peintures polychromes à la gouache : papier lustré
Single volume, illuminated manuscript on polished paper, in Farsi,
Phone number : 33 04 94 63 34 56