Paris, Calmann Lévy, 1979, 14 x 20 cm , 556 pp, bon état,
Reference : 67077
collection :" le temps retrouvé"-xxi,édition présentée et annotée par Suzanne Burkard.
Librairie Jousseaume
M. François Jousseaume
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Mercure de France, 1989, in-8°, 588 pp, édition présentée et annotée par Suzanne Burkard, notes, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Le Temps retrouvé)
L'aspect le plus original des Mémoires de la baronne d'Oberkirch réside sans doute dans le tableau fidèle qu'elle nous donne d'abord de la vie au XVIIIe siècle dans une province française au statut très particulier : l'Alsace, son pays natal. Elle nous raconte avec fraîcheur et esprit ses séjours à Strasbourg – le Strasbourg de Goethe et du cardinal de Rohan –, et ses visites à la cour de Montbéliard où la princesse Dorothée de Wurtemberg était son « amie de cœur ». C'est pour retrouver celle-ci, devenue grande-duchesse de Russie et qui faisait en France un voyage semi-officiel avec son époux, que madame d'Oberkirch se rend pour la première fois à Paris, en 1782. Elle rédige alors son journal qui est la partie la plus célèbre des Mémoires. Tous les historiens des mœurs avant la Révolution connaissent cette chronique savoureuse où défilent rois et princes, gens de lettres et magiciens, coiffeurs et modistes. Les anecdotes alternent avec les récits et les mots historiques...
Mercure de France, 1970, in-8°, 556 pp, édition présentée et annotée par Suzanne Burkard, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Le Temps retrouvé)
L'aspect le plus original des Mémoires de la baronne d'Oberkirch réside sans doute dans le tableau fidèle qu'elle nous donne d'abord de la vie au XVIIIe siècle dans une province française au statut très particulier : l'Alsace, son pays natal. Elle nous raconte avec fraîcheur et esprit ses séjours à Strasbourg – le Strasbourg de Goethe et du cardinal de Rohan –, et ses visites à la cour de Montbéliard où la princesse Dorothée de Wurtemberg était son « amie de cœur ». C'est pour retrouver celle-ci, devenue grande-duchesse de Russie et qui faisait en France un voyage semi-officiel avec son époux, que madame d'Oberkirch se rend pour la première fois à Paris, en 1782. Elle rédige alors son journal qui est la partie la plus célèbre des Mémoires. Tous les historiens des mœurs avant la Révolution connaissent cette chronique savoureuse où défilent rois et princes, gens de lettres et magiciens, coiffeurs et modistes. Les anecdotes alternent avec les récits et les mots historiques...
Oberkirch, Henriette-Louise de Waldner de Freundstein, baronne d’
Reference : 114879
(1853)
Paris, Charpentie, Libraire-éditeur 1853 2 volumes. In-12 18 x 11,5 cm. Brochés, couvertuires jaunes, auteur & titre en noir sur les dos et les premiers plats, 432-432 pp., fac-similé d’une lettre de S. M. Marie Fedorowna, table des sommaires à la fin de chaque volume. Dos brunis avec accrocs, rousseurs éparses.
Bon état d’occasion
1967 Paris Mercure de France Collection le Temps Retrouvé 1982 Un volume in°8 broché 556 pages lr7
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mercure de france 1970 in 8 broché 556 pages - taché au bas des premieres pages
henriette-louise de waldner de freundstein naquit en 1754, dans le château paternel de Schweighouse en haute-alsace. Elle était fille de François-Louis, baron et plus tard comte de Waldner, chef du régiment de Bouillon, commandeur de l'ordre de Saint-jean, chevalier du Mérite militaire, et de Wilhelmine de Berckheim de Ribeauvillé. Elle appartenait ainsi, comme elle se plaît à le souligner, à deux des plus anciennes familles nobles d'Alsace qui depuis les traités de Westphalie n'avaient cessé de fournir au roi de France des officiers de grand mérite.