2007 Paris, Mille et une nuits, 2007, 12x20, 240pp., couverture souple, très bon état, nouveauté rentrée 2007,
Reference : 33354
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Librairie Jousseaume
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Paris, Nrf, Gallimard, 1966. EDITION ORIGINALE, l'un des trente-cinq exemplaires du tirage de tête, numérotés sur vélin pur filLafuma-Navarre (n° 24). In-12 broché de 351 pages. Contient Théâtre : Une Femme trop honnête. - Boulevard Durand. - Comme les chardons. Très bel exemplaire bien frais.
Gallimard, 1971. In-8 broché sous jaquette illustrée (20,5 x 14 cm), 193 pages.- 290g.- Très bon état.
Paris L'expansion scientifique française (Bibliothèque de pathologie infantile) 1929 284 pages in-12. 1929. broché. 284 pages. In-12 broché (188x120 mm) 284 pages. Avec des figures en noir. Couverture en assez bon état salie avec une petite coupure au 1er plat. A noter le dos de la couverture décollé du dos de l'ouvrage (à recoller). Papier jauni et non coupé. Poids : 280 gr
J. Hetzel 222 pages in8. Sans date. Relié. 222 pages. Percaline décorée Toutes tranches dorées
Etat Correct Percaline en état correct un peu salie avec les coins émoussés. Intérieur avec des rousseurs éparses laissant une lecture très satisfaisante
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)