2003 Paris, Fayard, 2003 13,5 cm x 21,5 cm, 245 pp, souple avec une bande de l'éditeur,
Reference : 24487
état neuf car service de presse,.
Librairie Jousseaume
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[Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Imp. de veuve Weins, Imprimerie de Vanwormhoudt,] - COCHIN, Henry ; BARTHELEMY ; LAMARTINE, Alphonse de
Reference : 63506
(1831)
Avec huit gravures hors texte, troisième édition, 1 vol. petit in-8 reliure postérieure demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, couvertures conservées : Lamartine et la Flandre, Troisième édition, Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Paris, 1912, XXVI-442 pp. [ Suivi de : ] A M. de Lamartine, Candidat à la Députation de Toulon et Dunkerque, Extrait de la 13ème Livraison de Némésis, par Barthélémy, Imp. de veuve Weins, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Nommons M. de Lamartine, Bergues, 5 juillet 1831, 1 f. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Laet ons myn heer De Lamartinenaemen. bergen den 5 julius 1831 [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, 24 juin 1831, Imprimerie de Vanwormhoudt, Dunkerque, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Explication aux Electeurs, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, 2 ff., [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me Arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, Vanwormhoudt, Imprimeur du Roi, Dunkerque, 1 f. dépliant [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 22 octobre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Dunkerque - Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 17 novembre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque, 7 pp.
Remarquable exemplaire recueillant, in-fine, 7 très rares prospectus électoraux, en édition originale, relatifs aux candidatures d'Alphonse de Lamartine aux élections de la ville de Bergues (Nord). Eugénie, la soeur de Lamartine et épouse du Baron Coppens et seigneur d’Hondschoote, l’avait incité à se présenter à la députation. Battu une première fois, il sera élu député de Bergues en janvier 1833. Bon exemplaire (ex-libris Robert Thibaut).
6 brochures in-8 : Pétition aux deux Chambres, Paris, le 10 décembre 1816, A. Bobée, 15 pp. [ On joint : ] Paul-Louis Courier, ancien chef d'Escadron au premier régiment d'Artillerie à cheval, membre de la Légion d'Honneur, à Messieurs les Juges du Tribunal civil à Tours, A. Bobée, s.l.n.d. [ juillet 1818 ], 12 pp. [ On joint : ] Placet aux Ministres, s.n., Paris, le 20 mars 1819, 4 pp. [ On joint : ] Placet à son excellence Monseigneur le Ministre, s.n., Paris, le 30 mars 1819, 4 pp. [ On joint : ] Lettre à Messieurs de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, A. Bobée, s.d. [ 23 mars 1819 ], 19 pp. [ On joint : ] A Messieurs du Conseil de Préfecture à Tours, Paul-Louis Courier, cultivateur, De l'Imprimerie de A. Bobée, A Paris, s.d. [ 14 octobre 1820 ], 12 pp.
Bel ensemble réunissant 6 rares pamphlets originaux de l'immense polémiste et grand écrivain Paul Louis Courier (1772-1825). Bons exemplaires. Carteret, I, 187
PLON. 1970. In-8. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 318 pages - Quelques cul-de-lamps noir et blanc - Quelques rousseurs naturelles - Jaquette en bon état. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 910.45-Aventures maritimes
Table : I. Mythologie, II. Messieurs de Malte, III. Messieurs les Anglais, IV. Ces messieurs de Bretagne, V. De l'honneur, VI. Ainsi ... Classification Dewey : 910.45-Aventures maritimes
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
circa 1750. Manuscrit petit in-4°, veau marbré, filets dorés encadrant les plats, dos orné de filets et fleurons dorés, tranches marbrées (Reliure de l'époque).
Élégant manuscrit à l'écriture très lisible, pratiquement sans aucune rature. Ce recueil contient les ouvrages ci-après écrits par des membres de l'Académie: 1° Zely. 1750. Titre dans un encadrement dessiné. 113 pp. 2º Zima ou le Bonheur 8pp. 3° Recherches historiques sur l’honneur des dames, 12 pp. 4° Parallèle, 3 pp. 5° Lettre à M. Drumgold fondateur de l’Académie (1758), 4pp. 6º Discours sur le sentiment. Par une dame de l'Académie, 4 pp. Ces différentes pièces ont été publiées à des dates postérieures. Zely et Zima font partie d'un ouvrage dont la publication est due à Antoine-Martin Dantu, compagnon imprimeur, plus connu sous le nom de Antoine-Martin Vadé, et intitulé : « Zely ou la difficulté d'être heureux, suivi de Zima et des Amours de Philogène et de Victorine », (Amsterdam et Paris, 1775. In-8°). Les quatre autres pièces se trouvent, avec des suppressions dans les Mémoires historiques et galants de l'Académie de ces Dames et de ces Messieurs. (Amsterdam et Paris, 1776, 2 vol. in-8°), publiés également par Vadé, et ont été réimprimés dans les oeuvres badines du Comte de Caylus (Paris, 1787, 12 vol. in-8°). L'Académie de ces Dames et de ces Messieurs, fondée en 1739 par le comte de Caylus, groupait de jeunes nobles et quelques joyeux auteurs, auxquels se joignaient un certain nombre de dames plus connues par leurs moeurs galantes que par leur talent littéraire. Citons, parmi ses membres, outre son savant fondateur : le comte de Tressan, Duclos, Vadé, Sallé, le comte de Maurepas, Montesquieu, le comte de Tencin, Crébillon fils et la fameuse comtesse de Verrue.