‎STEEMAN ( Stanislas-André ) ‎
‎Un dans trois‎

‎Qui m'emporte Le voyage du Père L'hercule sur la place (trois ouvrages compilés) + La guinguette + Les grands mlaheurs --- 6 romans dans trois volumes‎

‎France Loisirs 1990 811 pages in8. 1990. Cartonné jaquette. 811 pages. 3 romans suivi d'une biographie en un seul volume Qui m'emporte Le voyage du Père L'hercule sur la place + La guinguette + Les grands mlaheurs --- 6 romans dans trois volumes‎

‎Bon Etat à très bon état intérieur frais avec leurs jaquettes‎

‎Les bons romans journal illustré par Philippoteaux Foulquier Worms etc... volumes 27 à 32 (compilés dans trois volumes: 27-28 + 29-30 + 31-32)‎

‎Michel lévy frères 1870 in4. 1870. Relié. illustré par Philippoteaux Beaucé Foulquier Godefroy Durand Villevielle Eustache Lorsay Desandré De Neuville Worms Fischer etc... --- textes en colonnes abondantes illustrations en noir et blanc --- volumes 27 à 32 (compilés dans trois livres: 27-28 + 29-30 + 31-32 416 p pour un volume) du numéro 1353 au numéro 1664 soit 312 numéro --- illustrations en noir et blanc‎

‎Etat Correct circa 19870 couverture défraîchies bords frottés coins fortement émoussés intérieur tachée de rousseurs par endroits globalement propre qq faiblesses de brochure ponctuelles‎

‎Aux carrefours de l'histoire du numéro 36 au numéro 46 (compilés dans trois volumes)‎

‎N.M.P.P 1960 env. 700 pages par volumes pages in8. 1960. Cartonné jaquette. env. 700 pages par volumes pages. numéros compilés dans trois volumes: n°36 à 39: Tome I n°40 à 42: Tome II n°43 à 46: Tome III agrémentés d'illustrations pleine page en couleurs; texte en colonnes‎

‎Etat Correct jaquette défraîchies bords frottés; dos salis sur les tomes I et II: intérieur uniformément jauni propre‎

‎Un dans trois‎

‎Librairie des champs-Élysées in12. Sans date. Broché.‎

‎Bon état sous papier de soie 2 tâches d'encre dans le coin droit du premier plat intérieur propre jauni‎

‎LOUYS (Pierre), établie par Jean-Paul GOUJON L ' OEUVRE EROTIQUE Paris, Editions SORTILEGES, 1994 . Edition établie et présentée par Jean-Paul GOUJON. Un fort volume in - 8 de XXXI 1083 pp. , portrait en frontispice, reliure toilée (quelque peu défraîchie, légère odeur d'humidité) Pierre Félix Louis dit Pierre Louÿs , né à Gand ( Belgique ) le 10 décembre 1870 et mort à Paris le 6 juin 1925 , est un poète et romancier français. Il est également connu sous les noms de plume de Pierre CHRYSIS , Peter Lewys et Chibrac Influences du Parnasse hellénisant et du symbolisme, avec un profond goût de la sensualité, du bucolique (dans sa première partie) et de l'érotisme élégant. Les évocations naturelles et précieuses y côtoient ainsi des scènes érotiques. Ses poèmes inspirèrent certains musiciens, dont Claude Debussy qui en tira trois compositions, avec la collaboration amicale de Louÿs. Tout au long de sa vie, Pierre Louÿs a écrit un très grand nombre de curiosa , doublant, notamment et systématiquement, ses ouvres publiées d'une version érotique. Ses textes, souvent ironiques, reprennent sous une forme coquine des ouvres sérieuses comme les quatrains de Pybrac ou le Manuel de civilité pour les petites filles à l'usage des maisons d'éducation . Il a également raconté ses difficiles relations avec les trois filles Heredia et leur mère dans Trois filles de leur mère , publié sous le manteau après son décès, puis officiellement dans le catalogue de Jean-Jacques Pauvert . Pierre Louÿs est aussi un bibliophile, qui possédait une bibliothèque de plus de 20 000 volumes (dont des unica ) et une connaissance très fine de la littérature ancienne. Extrait du Tombeau d'une jeune courtisane ( Les Chansons de Bilitis ) « Ici gît le corps délicat de Lydé, petite colombe, la plus joyeuse de toutes les courtisanes, qui plus que toute autre aima les orgies, les cheveux flottants, les danses molles et les tuniques d'hyacinthe. Plus que toute autre, elle aima les glottismes savoureux, les caresses sur la joue, les jeux que la lampe voit seule et l'amour qui brise les membres. Et maintenant, elle est une petite ombre. Mais avant de la mettre au tombeau, on l'a merveilleusement coiffée et on l'a couchée dans les roses ; la pierre même qui la recouvre est tout imprégnée d'essences et de parfums. Terre sacrée, nourrice de tout, accueille doucement la pauvre morte, endors-la dans tes bras, ô Mère ! et fais pousser autour de la stèle, non les orties et les ronces, mais les tendres violettes blanches. »‎