Lausanne, Editions Rencontre, 1965, Petit in huit, 190 pp, reliure en simili-cuir noir, médaillon bordé de dentelle dorée sur le premier plat, dos orné de fleurons dorés, du nom de l'auteur et du titre,
Reference : 10317
Coll. "Ces femmes qui ont fait l'Histoire".
Librairie Jousseaume
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Paris, Paul, Huard et Guillemin, Paris, Paul, Huard et Guillemin1891 ; in-8, demi-maroq. olive, dos lisse avec décor doré de filets, pointillés et arabesques, non rogné. (Reliure de l’époque) 3 ff., 320 pp.ÉDITION ORIGINALE rare, qui ne fut tirée qu’à 170 exemplaires sur beau papier chamois. Titre imprimé en rouge.Le baron de Ruble (Toulouse 1834 - 1898) fut un des membres les plus actifs de la Société de l’Histoire de France. Comme historien, il s’est délibérément cantonné dans le XVIe siècle. En 1872 il hérita de la bibliothèque du comte de Ludre, son oncle, une collection de livres rares et précieux qui fit du baron de Ruble un fervent bibliophile. Il rédigea la notice biographique du catalogue de Ludre. Cet ouvrage retrace la naissance, l’enfance, l’éducation, le mariage de Marie Stuart, de 1542 jusqu’à son arrivée à Leith en août 1561. Pièces justificatives : déplacements de Marie Stuart et des enfants de France, officiers domestiques, comptes de la reine d’Écosse, lettres de Catherine de Médicis, de François II, du cardinal de Lorraine... Bel exemplaire.
2 volumes in-8, demi chagrin bleu nuit de l'époque, dos à nerfs ornés de caissons dorés, tranches mouchetées, (4), vi, 488 p. et (4), 491 p., beau portrait frontispice gravé. Paris, Didier, 1852.
Deuxième édition, publié un an après l'originale.Exemplaire de prix aux armes du Lycée de Chaumont.Très bel exemplaire, très frais, très bien relié.
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In-8, broché, couverture imprimé orange, vi, 202 p. Paris, Amyot, 1860.
Ouvrage traduit de l'anglais en 1772.Couverture salie, auréoles.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
P., Le Club du meilleur livre, 1956, in-8° carré, (10)-300 pp, documents originaux traduits et présentés par Marcel Thomas, 21 gravures hors texte, sources, tiré sur bouffant de Bellegarde, reliure pleine basane chagrinée chocolat de l'éditeur ornée du blason des Stuart, gardes illustrées (maquette de Massin), bon état (Coll. Dossiers de l'Histoire)
Fait partie d'une collection unique en son genre de sept titres consacrés à des procès historiques célèbres avec Galilée, les Templiers, Jeanne d'Arc (deux volumes), Savonarole et Vidocq. – "Depuis quatre cents ans, tant d'ouvrages ont été publiés sur Marie Stuart qu'à peine en dresserait-on la liste. Ajouter un nouveau volume à cette imposante bibliothèque pourrait donc, à première vue, sembler assez superflu. Pourtant, s'il est vrai que peu de grandes destinées ont pareillement réussi à inspirer les dramaturges, à exciter l'imagination des foules et à provoquer les discussions passionnées des historiens, la figure de Marie Stuart n'en demeure pas moins enveloppée d'un certain halo de mystère. Pour la plupart des Français, ce nom évoque la romantique personnalité d'une jeune reine que sa beauté, son intelligence, sa sensibilité, et surtout son héroïsme devant la mort, auréolent de toutes les séductions. On se la représente en général comme la victime d'une impitoyable fatalité, contrainte par son veuvage prématuré à regagner une lointaine et inhospitalière patrie avant que la haine de ses ennemis ne lui fasse enfin, au terme d'une longue captivité, gravir les marches d'un échafaud. Aux yeux de bon nombre d'Anglais, en revanche, Marie Stuart apparaît tout autre : ils verraient volontiers en elle une aventurière intrigante et débauchée, n'hésitant pas, par fanatisme, à trahir les intérêts de son propre fils, prête au besoin à recourir au meurtre pour écarter de sa route des adversaires gênants. Notre intention n'est point, on s'en doute, de donner ici un aperçu d'ensemble sur la carrière si mouvementée et si dramatique de Marie Stuart. C'est seulement la catastrophe par laquelle s'acheva sa douloureuse existence dont nous voudrions faire saisir le mécanisme et les dessous secrets. Selon l'interprétation qu'il donnera aux documents présentés ici, le lecteur pourra y trouver des motifs de condamner ou d'absoudre la reine d'Écosse. Peut-être préférera-t-il s'abstenir de porter un jugement définitif, mais il aura au moins eu sous les yeux le dossier complet de l'affaire, non sans qu'y aient été jointes un certain nombre de pièces annexes qui contribuent à la replacer dans son véritable contexte. Ces documents n'ont certes pas été ignorés des historiens de Marie Stuart, mais, rédigés qu'ils étaient, pour la plupart, en anglais, en latin, ou en espagnol, et publiés le plus souvent dans des recueils familiers aux seuls érudits de profession, ils sont restés à peu près inconnus du grand public cultivé de notre pays..." (Avant-propos)
Paris Bataille libraire / Ladvocat 1820 Paris, Ladvocat, 1820. XVI, 184, 102 pp [catalogue]. Reliure de l’époque. Plein maroquin rouge à long grain, dos lisse orné de frises, filets et fleurons, pièce de titre en maroquin vert, encadrement doré sur les plats, filets dorés sur les coupes, toutes tranches dorées. Quelques frottements. REUNION DES DEUX ÉDITIONS FRANÇAISES PARUES EN 1820 DANS UNE TRÈS BELLE RELIURE DE L'ÉPOQUE. Marie-Stuart, tragédie en cinq actes par Frédéric Schiller, traduction de l'allemand et publiée par M. de Latouche, ; précédée de quelques réflexions sur Schiller, Marie-Stuart, et les deux pièces, allemande et française. Paris, Bataille Librairie, 1820. ÉDITION ORIGINALE FRANÇAISE. "Marie-Stuart est le chef-d'oeuvre de Schiller. Selon le sentiment du juge que nous invoquions tout à l'heure [Benjamin Constant], c'est de toutes les tragédies allemandes, le plus pathétique et la mieux conçue" Marie-Stuart, tragédie en cinq actes par M. Pierre Lebrun. Paris, Ladvocat Librairie, 1820. Deuxième édition de l'adaptation non annoncée par Pierre Lebrun de la tragédie de Schiller. Représentée pour la première fois par les comédiens ordinaires du Roi sur le premier Théâtre Français le lundi 6 Mars, le pièce connut un triomphe. "Le public pleura à chaudes larmes au spectacle de cette tragédie interprétée de manière bouleversante par Joséphine Duchesnois dans le rôle-titre et par Talma dans celui de Leicester. Le succès fut tel quil suscita une mode vestimentaire au printemps 1820, les élégantes arboraient un chapeau « à la Marie Stuart » ainsi quune véritable fièvre éditoriale autour de la reine dÉcosse". L'engouement contraignit quelque peu Lebrun à reconnaître sa source d'inspiration, certains confrères s'étant proposé "de soumettre la pièce que M. Le Brun vient de représenter, à un examen comparatif avec la tragédie de Schiller : le soin qu'il à pris lui-même d'avouer qu'il devait tout son succès à notre poète, nous dispense de répéter cette vérité." Cette adaptation est toutefois tronquée de "la plus touchante des scènes", celle de la confession. Très bel exemplaire dans une élégante reliure de l'époque en maroquin à long grain provenant de la bibliothèque de la chanoinesse et traductrice allemande Bernhardine von Wintgen (1789-1855) avec son nom frappé à l'or en français sur premier plat. Traductrice de l'anglais à l'allemand de plusieurs textes religieux, elle tint à Munster un salon littéraire fameux avec la poétesse Annette von Droste-Hülshoff. Bibliographie des traductions françaises, 7765 et 7766 Nicole Cadène. "Marie Stuart dans le théâtre de la Restauration : reine de France ou dÉcosse ? " - in, Figures de lhistoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, Voltaire Foundation, SVEC, pp.199-210, 2007. Couverture rigide
Edition originale