2003 Centre Joë Bousquet broché, non paginé. Très bon état.
Reference : 16149
ISBN : 2951981325
Librairie Tant qu'il y aura des livres
M. Jean Yves Margotton
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France
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Stock, 2004, gr. in-8°, 500 pp, 32 pl. de photos en noir et en couleurs hors texte, 11 cartes dans le texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
« Rien ne poussera plus sur cette terre » écrit le simple soldat Clerfeuille en évoquant le Chemin des Dames et les ravages de l'artillerie, pourtant deux semaines avant le déclenchement de la fameuse offensive du 16 avril 1917. Après deux ans et demi de guerre, et malgré la défiance de plusieurs généraux, le gouvernement soutient le plan du commandant en chef Nivelle : prendre le plateau du Chemin des Dames, percer le front et l'emporter. Près d'un million d'hommes sont rassemblés pour cette immense opération qui eut des conséquences fondamentales sur le déroulement de la guerre et même au-delà en façonnant le mythe Pétain (celui qui redresse les erreurs de Nivelle). Car, dès les premières heures, la bataille se transforme en un épouvantable calvaire pour les soldats, confrontés à des positions allemandes en contre-haut, bien organisées dans un dédale de galeries et cavernes, insuffisamment détruites par l'artillerie : 135 000 hommes sont hors de combat en dix jours… Les assauts dans la boue et la neige, face à des pentes imprenables, transforment l'espoir en boucherie. L'échec de l'offensive ouvre rapidement la voie à de nombreux débats et discussions et rend la mémoire de l'événement particulièrement trouble. D'emblée très gênante, la bataille ne parvient pas à être nommée. Selon les objectifs elle est bataille de l'Aisne, du Chemin des Dames, offensive Nivelle… On nie d'abord l'échec évident du projet ; on écarte ou minimise l'événement dans l'écriture de la guerre, de nos jours encore, d'autant plus qu'il fut à l'origine des mutineries - ici revisitées - qui secouèrent l'armée française peu après. Pour saisir toute la portée de l'événement, jusqu'à aujourd'hui, il fallait un travail d'équipe : 17 historiens, entre l'archive et le terrain, ont mené une enquête qui est un essai d'histoire totale : tous les aspects de l'expérience combattante sont passés au crible de l'analyse la plus à jour : bombardements, corps à corps, combats aérien ; les bouleversements sur le site même sont étudiés à travers la reconstruction et la constitution du site en lieu de mémoire. Sans doute fallait-il aussi la fiction et l'image pour dire ce que fut le « Chemin des Dames » : Didier Daeninckx et Arlette Farge ont prêté leur plume pour y contribuer.
Arthaud, 2004, gr. in-8°, 326 pp, 2 cartes hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Aller à Compostelle : en reprenant le Chemin Primitif – ou voie du nord –, chemin de chrétienté depuis plus d'un millénaire, voie romaine tracée encore mille ans plus tôt, mais aussi chemin ancestral vieux d'au moins cinq mille ans... Tous les peuples du passé: Celtes, Ibères, Goths et bien d'autres l'ont emprunté pour se rendre à Finisterra, en Galice, point extrême de l'Occident, « bout du bout » du monde, lieu mythique où le soleil meurt... De Soulac-sur-mer jusqu'à Hendaye, Philippe Lemonnier va retrouver une voie littorale oubliée. En Espagne, loin de prendre le Camino Francés, voie majeure depuis le Moyen Âge, il parcourt le Camino Primitivo, longeant d'abord plein ouest les côtes basque et cantabrique jusqu'à Ribadesella, puis obliquant sud-sud-ouest à travers la montagne asturienne pour arriver en Galice et, de nouveau plein ouest, rallier Finisterra par Saint-Jacques-de-Compostelle. Au terme d'un périple de 1300 kilomètres, à pied et seul, Philippe Lemonnier aura cheminé un mois et demi au fil des légendes, récits colportés, renouvelés, remodelés au cours des siècles et au goût des cultures. Il aura ainsi retrouvé l'esprit du voyage qui animait les pèlerins du Moyen Age.
[France - Chartres - Galerie de Chartes. Ventes aux Enchères Publiques] - France - Chartres - Galerie de Chartes ; LELIEVRE, Jean
Reference : 56800
(1988)
8 vol. in-8 oblong brochés, France - Chartres - Galerie de Chartes. Ventes aux Enchères Publiques. [ Lot de 8 catalogues : Jouets anciens - Modèles Réduits - Chemin de fer - Voitures - Bateaux ] 11-12-13 novembre 1988 : Chemins de fer, automobiles 1/43e, Jouets anciens ;12 et 12 novembre 1989 : Jouets, avions, chemin de fer ; 29 et 30 avril 1989 : Jouets anciens, chemin de fer ; 28, 29 et 30 avril 1990 : Jouets anciens et chemin de fer ; 17 novembre 1990 : Jouets anciens, chemin de fer ; 9 et 10 mars 1991 : Automobiles, Chemin de fer ; 20 et 21 avril 1991 : Jouets anciens, chemin de fer ; 9, 10, 11 novembre 1991
Bon ensemble
Paris, s.n., novembre 1882 ; in-folio, broché ; 59 pp., couverture grise imprimée, 75 plans côtés, texte manuscrit lithographié.
EDITION ORIGINALE, ce document concerne 56 ponts en passage supérieur ou inférieur : RN 10 ; allée forêt de Marly ; ruelle de Marivaux ; chemin du Bouvet ; RN 190 ; rue Neuve Hennemont ; Sartrouville ; Ermont ; chemin du Trouet ; voie champs-Guérin ; étang de Montmorency ; chemin des Econdeaux ; RN 1 ; RD 7 ; RN 14 ; chemin des Parouzets ; sur le Roussillon ; RN 2 ; Crould ; gare de Bourges ; canal de l'Ourcq, rue Saint-Denis ; route de Chempont ; Arricourt ; Limours ; gare Massy-Palaiseau ; chemin des Boeufs ; Bièvre ; Porchefontaine ; etc. Couverture un peu défraichie, bon exemplaire. Rare.
Phone number : 06 60 22 21 35
Paris, , 1887-1889. In-plano (45 x 62 cm) de 1 page de texte et 46 tirages albuminés (19,6 x 25,2 cm à 27,5 x 37,9 cm), demi-chagrin brun à coins (reliure de l'époque).
Bel album montrant les travaux entrepris sur le tracé du chemin de fer de Petite Ceinture dans le 12e arrondissement de Paris.Vues des chantiers parisiens notamment des ponts rue Claude-Decaen, Picpus, Rottembourg, avenue de Saint-Mandé, viaduc de la rue de la Voûte-du-Cours, d'Avron, chemin de fer de Vincennes, station de Bel-Air, gare de Charonne.Album comprenant 46 tirages albuminés avec légendes et timbre sec du photographe. Quelques rousseurs dans les marges.Albert Broise était avec Albert Fernique photographe officiel de l'Exposition universelle de 1878. Les deux hommes travaillaient pour l'administration parisienne en photographiant les principaux chantiers de la capitale, à la manière des frères Alinari à Florence.