<p>En 1955, Robert Frank traversa les États-Unis. Un cow-boy, un homme tatoué faisant sa sieste sur l’herbe d’un parc, la souffrance d’une femme qui vient d’enterrer un proche, un cireur de chaussures, une route, des femmes qui trinquent ; seules quatre-vingt-quatre de ses images furent publiées, en 1958, dans l’indifférence. Ce livre est depuis devenu un classique de la photographie.Jugé triste, pervers, voire subversif par la presse américaine d’alors, son importance n’a pourtant cessé de croître au fil des années. Les photographes, les critiques et le grand public ont salué en Robert Frank un véritable novateur. Ce livre n’a rien d’un reportage. Il ne raconte pas le périple d’un homme à travers les États-Unis mais rassemble une suite de notes prises sur le vif, par un écorché vif. </p> Paris, 2018 Delpire 180 p., relié toile sous jaquette. 20 x 16,5
Reference : 22074
ISBN : 9791095821199
Neuf
Antinoë
Mme Brigitte Cordelle
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France
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Amyot, Paris s.d (1851), 11,5x18cm, relié.
Edition originale. Reliure en demi chagrin rouge, dos à quatre nerfs comportant de légères traces de frottements, plats de papier marbré, coins supérieurs émoussés, gardes et contreplats de papier à la cuve, ex-libris encollé au verso du premier plat et tampon du même bibliophile en pied de la page de titre. Poëtes et romanciers anglo-américains, les Puritains, poésie de la vengeance, la jeune acadienne... Rares rousseurs affectant essentiellement les premières pages du volume. - Photos sur www.Edition-originale.com -
DELPRADO. 2000. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.1-Aviation
Sommaire :Les as américains de la guerre de 1914-1918, La guerre et l'aventure, Les as américains intégrés dans les escadrilles françaises, Les As américains intégrés au sein des forces britanniques, Les as américains sur Sopwith Camel, Les as américains au sein de l'US Air Service, Les autres As américains Classification Dewey : 629.1-Aviation
Catalogue de l’exposition au Musée des Beaux-arts de Nantes du 19 mai au 18 juillet 2021 et au Musée Fabre à Montpellier du 05 août au 31 octobre 2021.
Reference : 23461
ISBN : 9789461616678
<p>L'exposition « United States of Abstraction. Artistes américains en France, 1946-1964 » est organisée par le Musée d'arts de Nantes, où elle sera présentée au public du 11 février au 23 mai 2021, et le Musée Fabre de Montpellier, où elle sera présentée du 3 juillet au 17 octobre.<br>Le rôle de Paris comme capitale mondiale de l'art occidental depuis le 19e siècle est bien connu, et il est également considéré comme un fait établi que la Ville lumière perd cette prééminence après la Seconde Guerre mondiale au profit de New York. Pourtant, l'on sait également que de très nombreux artistes, peintres, musiciens et écrivains américains, hommes et femmes, ont continué à venir étudier et créer en France. Plusieurs centaines de jeunes artistes, musiciens et écrivains américains, hommes et femmes, ont séjourné à Paris après la Seconde Guerre mondiale et jusque dans les années 1960. Certains comme Joan Mitchell en 1955 se sont installés en France définitivement. Plus de 400 artistes ont en particulier utilisé la bourse du GI Bill, qui permettait à tout ancien combattant de financer ses études, en venant s'inscrire aux écoles d'arts et académies parisiennes entre 1946 et 1953. Certains artistes comme Ellsworth Kelly, arrivé en France en 1948, étudièrent à l'École de Beaux-arts, tandis que d'autres fréquentèrent avec plus ou moins d'assiduité les ateliers de la Grande Chaumière auprès de Fernand Léger ou d'Ossip Zadkine. Ils venaient pour des raisons diverses : l'attrait culturel de Paris, ses musées et ses maîtres, l'attrait de l'Europe, l'aventure de vivre correctement et sans réelle contrainte grâce à la bourse, la recherche d'une plus grande liberté, l'envie d'être ailleurs, d'être à Paris comme sur une île. L'exposition explore cette intense présence et la manière dont elle a contribué à la redéfinition de l'art abstrait en France à un moment où la géographie mondiale de l'art était bouleversée. Elle est organisée en trois chapitres, qui se retrouveront également dans le catalogue.<br>La première section, « Les autres de l'Art autre : les Américains autour de Michel Tapié », examinera les oeuvres réunies par le critique Michel Tapié, que ce soit dans des expositions de groupe (comme Véhémences confrontées à la galerie Nina Dausset en 1951, Les Signifiants de l'informel en 1952 ou Un art autre au Studio Facchetti la même année) ou dans des publications de la première moitié des années 1950. Ces événements constituent une passionnante tentative de rapprocher une série d'oeuvres abstraites en dehors de considérations nationales, mais autour des idées d'expressivité, de peinture gestuelle ou automatique abstraite. Plusieurs peintres américains, Jackson Pollock, Willem De Kooning, Mark Tobey, Claire Falkenstein, Alfonso Ossorio y sont associés et mis en rapport avec Wols, Jean Dubuffet, Georges Mathieu, Jean-Paul Riopelle.<br>Le second chapitre, « Paris , une île pour les artistes américains? », regroupera plusieurs coloristes abstraits, comme Sam Francis, Joan Mitchell, Shirley Jaffe, mais aussi Kimber Smith, Norman Bluhm ou Beauford Delaney, qui trouvèrent en France un lieu de liberté et de créativité, sans pour autant établir de liens forts avec les artistes français du groupe de l'abstraction lyrique, à l'exception du peintre canadien Jean-Paul Riopelle. Ils revendiquent une forme de solitude, et utilisent la capitale française comme un lieu stimulant pour la création mais néanmoins étrangement apatride. Leurs oeuvres ont en commun des formes flottantes, de grande échelle, aux coloris intenses.<br>Le dernier chapitre, « Nouvelles voies de l'abstraction géométrique : ombre, hasard, mouvement », étudiera comment les artistes Ellsworth Kelly, John Youngerman, Robert Breer et Ralph Coburn, en relation avec certains de leurs aînés comme Jean Arp ou Alexander Calder et avec certains de leurs contemporains (François Morellet), ont profondément renouvelé l'abstraction géométrique dans le Paris de l'après-guerre.</p> Gent, 2021 Snoeck 288 p., broché. 23 x 29
Neuf
Paris : Bastien, An III. (1795) 7 volumes in-8 ; AVEC , PAUW recherches philosophiques sur les Américains , An III , 3 volumes in-8 , XIV-421pp, 475pp,482pp. AVEC : PAUW : Recherches philosophiques sur les Égyptiens et les Chinois. Paris : Bastien, An III, 2 volumes in-8, carte dépliante (déchurure sans manque), XVIff,472pp , 466pp; AVEC : PAUW : Recherches philosophiques sur les Grecs. Paris : Bastien, An III, 2 volumes in-8 , XVI-400pp,366pp . Reliure d’époque en basane marbrée, dos lisse orné avec titre et tomaison , quelques manques de cuir , petit travail de ver sur 10ff ,Tome 1.
Ensemble complet des oeuvres philosophiques de Pauw. Le troisième volume des “Américains” comprend la “Dissertation sur l'Amérique et les Américains contre les Recherches philosophiques de M. de P… par Dom Pernety” suivi de la “Défense” des Recherches par Pauw ou l’auteur évoque l’infériorité des américains , il contient un chapitre sur les hermaphrodites de la Floride , le rite de la circoncision , etc.. Cornelius Franciscus de PAUW, philosophe et géographe hollandais et diplomate à la Cour de Frédéric Le Grand de Prusse, est l'auteur de plusieurs ouvrages à notoriété forte et brève en Europe durant les années 1770-1790. S'opposant aux opinions de nombreux philosophes des Lumières , après avoir traité les américains de "peuples sauvages et abrutis" , les égyptien et chinois de "nations condamnées à une éternelle médiocrité" , il encense les grecs mais pas tous , seulement les athénien , plutôt polémiste que philosophe , il atteint la célébrité plus par sa rhétorique que par ses arguments.P2-2E
Belin, 2014, in-8 br., (14 x 20,5), 510 p., traduit de l'américain par Patrick Hersant, 16 planches ill. h.-t., bon état.
"L’histoire des ""autres"" Américains implantés dans la Ville Lumière restait à écrire. Elle se déroule en parallèle de celle, mieux connue, de leurs compatriotes venus chercher en France une inspiration créatrice, mais s’en démarque sur un point essentiel : si de nombreux Américains ont fait le voyage en quête de civilisation européenne, la plupart sont venus promouvoir la leur. Lors même que les peintres et les écrivains de la fameuse ""génération perdue"" expriment leur malaise face à la modernité — et à la place qu’y occupe l’Amérique — certains de leurs compatriotes ont traversé l’Atlantique dans un tout autre but : vendre la modernité américaine, ou du moins s’y efforcer. Industriels venus s’implanter en France, héritières apportant richesses en contrepartie de titres de noblesse, jeunes gens en fugue ou escrocs en tous genres, des Américains à Paris dans la première moitié du XXème siècle apportaient une vision d’Amérique souvent contrastée. ""Expats"" avant la lettre, cette migration d’élite interroge la notion même d’immigration ainsi que celle ""d’Américanisation"" et du transnationalisme. La conférence proposera une analyse érudite mais aussi irrévérencieuse de la façon dont les Américains de la Rive droite ont forgé leur communauté, des relations qu’ils ont entretenues avec les Français, qu’il s’agisse d’amour, de divorce, de charité ou d’affaires. En les suivant pas à pas, elle montrera à quel point le ""siècle américain"" a été contesté dès sa naissance.Voir le sommaire sur photos jointes".