1 page in12 - bon état - En tête Le Figaro -
Reference : GF20282
Il n'a aucune nouvelle malgré son télégramme -
Galerie Fert
Mme Nathalie Fert-Charmoy
30 Place du Docteur Bourdongle
26110 Nyons
France
33 04 75 26 13 80
Expédition après réception du réglement par chèque, carte bancaire, virement ou espèces - Frais d'envoi - En général 15 euro pour la France ou l'Europe - 25 euro pour le reste du monde -
BRIEUX Eugène - (Paris 1858 - Nice 1932) - auteur dramatique français
Reference : GF20284
1 page in12 - bon état -
Il prit son ami de venir écouter trois actes nouveaux - "Vous savez quel prix j'attache à votre avis" -
1 page 1/2 in4 - A écrit sur la Comédie française et le théatre -
Il est surpris de ne pas avoir de nouvelles - Il a grand besoin de le voir avant de prendre une décision au sujet de la création d'un hebdomadaire - Il lui soumet un devis - Il y aurait une page entière de "publicité directe ou romancée" -
1 page in12 - adresse au dos - trés bon état malgré trois bouts de scotch ayant servi à fixer la lettre - On joint une lettre de sa femme signée Julia et Henri Cain -
Il vient de subir "une assez douloureuse petite opération" à Paris et a repris le train pour ne pas manquer à sa parole - Il va arrivé "très endolori" - "Excusez moi si je suis en veston" - Sa femme ne lui apportera son "habit" que mardi -
BRIEUX Eugène - (Paris 1858 - Nice 1932) - auteur dramatique français
Reference : GF20283
1/2 page in12 - bon état -
"Voici le conte demandé - Puisse-t-il vous plaire..."
S.n., Paris 16 septembre 1941, 14,5x10,5cm, une feuille recto-verso.
Lettre autographe signée du compositeur Vincent Scotto, adressée depuis son domicile parisien, à son grand ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob (44 lignes à l'encre noire) Vincent Scotto insiste auprès de son ami et collaborateur Carlo Rim, qu'il estime être trop hésitant et indécis, pour qu"il trouve la motivation d'entrer en contact avec l'homme de théâtre Albert Willemetz afin que ce dernier fasse jouer la pièce que les deux marseillais ont créée ensemble de peur que leur projet ne tombe à l'eau : "Le 2 juillet Mon cher Carlo, en réponse à ta lettre je dois te dire que je pars pour Paris dimanche 6. dernier délai et que j'aurais aimé apporter à Willemetz l'autorisation et les conditions pour que notre pièce soit jouée car je sens bien qu'avec toutes ces réticences nous allons encore passer à travers et que c'est une autre pièce qu'on jouera à la place de la nôtre. J'aurais voulu que tu m'écrives une lettre dans ce sens : "Mon cher Willemetz. Il est entendu que nous vous autorisons à jouer notre pièce aux Bouffes Parisiens et à la retoucher selon les besoins de votre théâtre. Vous êtes autorisé également à faire les paroles des chansons selon les interprètes. Je vous céderai pour cela, en admettant que la pièce soit déclarée à 12%. 1% sur mes droits et M. Vinc. Scotto, 2% sur les siens ce qui fera, 3% Willemetz, 4% Scotto, 5% Carlo Rim, mais il reste bien entendu que si la pièce n'est pas jouée d'ici le 1er janvier 42 dans un de vos théâtres nous considérerons ce contrat comme nul et non avenu et nous reprenons chacun notre liberté." Voici mon cher Carlo à peu près ce que j'aurais voulu apporter à Willemetz. Bien entendu si cela ne te plait plus, je suis toujours de tout coeur avec toi mais réfléchis bien car il y a des occasions qui ne se retrouvent plus. Nos amitiés à ta femme. Je t'embrasse. V. Scotto. Au sujet de la chanson j'attends Jo Bouillon mais je te rappelle qu'elles ne sont pas complètement terminées au point de vue paroles. Vincent. Téléphone moi et écris moi : Lycée 18-68, 18-69." - Photos sur www.Edition-originale.com -