1 page in4 - bon état - page un peu froissée - il s'agit d'un texte humoristico-érotique sans doute pour une revue et dont le titre générique aurait été "Fantaisies" -
Reference : 33881
Une "gale de chroniqueur" félicitait une délicieuse actrice pour un gain de trois cent mille francs d'un coup au baccara - Elle rétorqua: "Au baccara, certainement, il tire des neuf comme s'ils en pleuvait - Mais ce sont vraiment les seuls coups qu'il tire comme il faut" -
Galerie Fert
Mme Nathalie Fert-Charmoy
30 Place du Docteur Bourdongle
26110 Nyons
France
33 04 75 26 13 80
Expédition après réception du réglement par chèque, carte bancaire, virement ou espèces - Frais d'envoi - En général 15 euro pour la France ou l'Europe - 25 euro pour le reste du monde -
mai 1953, 21x27 cm, une feuille.
Manuscrit autographe d'André Breton intitulé "Un peu jaguar...", rédigé pour le n°7 de mai 1953 de la revueMédium.12 lignes rédigées à l'encre noire d'une écriture soignée sur un feuillet blanc. Deux pliures transversales sans gravité. Il s'agit de la version finale du texte ; une version intermédiaire de cet article est visible sur le site des Archives Breton. Intéressante chronique concernant le peintre suédoisMax Walter Svanberg : "De Malmö (Suède) notre très admiré amiMax Walter Svanberg nous écrit pour protester contre la manière dont ont été récemment présentées ses toiles à Paris..." "C'est en 1953 que Breton et ses amis découvrent l'uvre de Svanberg. En 1954 il illustre entièrement le numéro 3 de la revue surréalisteMédiumet en 1955 Breton préface sa première exposition particulière à Paris à la galerie " À l'étoile scellée". " (Archives Breton) - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
66 pages in8 - Reliure d'époque, dos papier, plats en basane - Bon état intérieur -
La pièce est parue en 1818 chez Prosper Noubel à Agen - Jean-Baptiste Desmolin, avocat gersois, député de 1795 à 1799, conseiller à la Cour impériale d'Agen sous l'Empire, mort à Agen en 1843 (?) - Ce manuscrit comprend des corrections d'époque sur des languettes soigneusement collées sur les passages à modifier - Au dos, une inscription à l'encre partiellement effacée: "Louis...Drame..."-
Romeu CORREIA - [Almada 1917 - 1996] - Ecrivain et dramatuge portugais
Reference : 33600
288 pages in4 montées et reliées en 1 volume - Reliure pleine toile bleue à la bradel - Quelques ratures -Trés bon état -
Manuscrit autographe original de cette pièce qui fut représentée à Lisbonne par la Compagnie du Théatre National dirigée par Amélia Rey Colaco - L'ouvrage a été édité en 1970 -
Marcel PREVOST - [Paris 1862 - Vianne 1941] - Romancier et académicien français
Reference : 34556
Manuscrit autographe composé de 46 pages in4 sur papier jaunes - râtures et corrections -
Longue et interessante conférence sur les femmes et le théatre, les plaisirs qu'elles y cherchent, les rôles qu'elles y jouent, "sur la psychologie de la spectatrice et sur celle de l'actrice" -
VAUXCELLES (Louis) critique d’art français, un des plus influents du dernier siècle (1870-1945)
Reference : 123C24
Très beau texte pour la préface du catalogue de l’exposition à la Galerie Charpentier où sont réunis ses 3 amis : Charles Blanc, Edouard Mac-Avoy et Yves Brayer. « Ne peut-on donc pas faire de bonne peinture boulevard des Batignolles murmura Renoir quand Gauguin partit aux îles », argumenta le critique dès les premières lignes. « Ce préambule n’a point pour objet d’excuser, de justifier mes trois amis Charles Blanc, Edouard Mac-Avoy et Yves Brayer d’avoir été, à leur tour planter leur chevalet au pays de Véronèse. Au contraire, ils eurent raison… ». Puis après avoir rappelé Venise et les peintres qui s’y sont attachés, il ajouta, « Mon propos, en ces lignes liminaires et cursives, n’est pas de vous faire décrire les œuvres que Charles Blanc, Mac-Avoy et Yves Brayer montrent à la cimaise Charpentier ; elles parleront, d’elles mêmes, avec une éloquence assez persuasive pour qu’il ne soit pas efficient de les analyser. C’est de l’esprit de mes artistes, de ce que je crois savoir d’eux, que je souhaite entretenir le lecteur… Blanc étant l’aïeul, de peu d’ailleurs, commençons par lui. Je ne connais pas d’être à la fois plus courageux et plus inquiet que Charles Blanc. Courageux parce qu’il joue sa carrière à chaque toile nouvelle. A-t-il obtenu en quelque salon un succès retentissant, ne croyez pas qu’il va se reposer sur les lauriers cueillis, se répéter, exploiter une formule. Non, son dynamisme l’entraîne, un besoin de grandeur le soulève….Mac Avoy, à l’Automne aux Tuileries, une composition méditée, une pièce de résistance qu’il accompagnait parfois de paysages, ceux de Villeneuve-lès-Avignon, entre autres, d’un charme prenant aux grammes gris-vert d’une rare distinction. Par ailleurs, il s’attesta physionomiste au regard aigu, et sa Louise Hervieu, il y a deux ans, fit sensation. Des artistes qui ont retracé le pauvre et cher visage de notre illustre amie, nul n’avait traduit si intensément ce qu’il enclot de souffrance, de compassion et d’amour. Je tiens Edouard Mac Avoy pour un des portraitistes authentiques d’aujourd’hui, un des plus aptes, de par les antennes de sa sensible intelligence à déchiffrer les secrets qui décèlent - ou dissimulent une figure. ».