‎ADAM (Paul) & PICARD (André).‎
‎Le Cuivre.‎

‎EDIT DU ROY, Pour la Fabrication de Cent cinquante mille Marcs d'Especes de Cuivre, pour les Colonies de l'Amerique.‎

‎Paris, L'imprimèrie Royale, 1721. 3 pages. (23,5x18,5 Cm). Dérelié. Plis. Petits accrocs. Cet édit royal, daté de juin 1721, organise la production de monnaie de cuivre destinée aux colonies françaises en Amérique. Cela indique un besoin croissant de monnaie dans ces territoires, probablement dû à l’augmentation des échanges commerciaux et des transactions locales. La fabrication devait initialement avoir lieu à l’atelier monétaire de Perpignan, mais la production a été arrêtée en raison de la "mauvaise qualité" du cuivre disponible. Pour répondre à ce besoin urgent de monnaie dans les colonies, le roi accepte une proposition de la Compagnie des Indes. Celle-ci propose d’utiliser des flans de cuivre (plaques prêtes à être frappées) qu’elle a fait fabriquer en Suède. À cette époque, la Suède était réputée pour la qualité de son cuivre, largement supérieur à celui disponible en France. Empreintes des especes de cuivre gravées sur la dernière page. Plis et accrocs. ‎

‎Une histoire des métallurgistes du cuivre dans le Pool et la Bouenza avant le XXe siècle.‎

‎<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Parti en quête de l'ancien pays du cuivre qui constitua une richesse essentielle avant le XIXe siècle au Congo, et dont la possession fut convoitée par les Européens (les Portugais notamment) qui en furent du reste toujours écartés, Abraham Constant NDINGA-MBO découvre en réalité et identifie les générations d'hommes qui se succédèrent dans le Niari-Djoué cuprifère depuis l'Antiquité. Il reconstitue patiemment les migrations des maîtres du cuivre successifs, les Teke présents jusqu'au XVIIIe siècle, puis les Kongo.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Abraham Constant NDINGA-MBO établit des chronologies profondes et précises sur la civilisation du cuivre au Congo et présente cette civilisation du cuivre dans ses aspects matériels et socio-culturels.</span> Paris, 2023 L'Harmattan 178 p.,broché. 13,5 x 21,5‎

‎Neuf‎

‎TRAITE THEORIQUE ET PRATIQUE DE METALLURGIE - CUIVRE - PLOMB - ARGENT - OR.‎

‎BAUDRY ET CIE.. 1896. In-8. Relié. Etat passable, Couv. convenable, Mors fendus, Intérieur frais. XVI + 831 + VII pages - nombreuses figures et schémas en noir et blanc dans et hors texte - 1 etiquette collée sur le 1er plat et au dos - mors legerement fendu - 3 tampons sur la page de titre. . . . Classification Dewey : 672-Métallurgie des métaux ferreux‎

‎TRADUIT DE L'ALLEMAND PAR LE Dr L. GAUTIER - 586 FIGURES DANS LE TEXTE - Sommaire: metallurgie du cuivre: extraction du cuivre par voie seche ou ignée, extraction du cuivre par voie humide, extraction du cuivre par voie electrometallurgique.. - metallurgie du plomb: extraction du plomb des minerais, extraction du plomb de la galene, du plomb du carbonate de plomb, sulfate de plomb etc... Classification Dewey : 672-Métallurgie des métaux ferreux‎

‎PETITS POËMES EN PROSE. 22 dessins gravés sur cuivre de Mariette LYDIS ‎

‎Paris Aux Presses de la Cité 1948 grand in 4 1 volume relié plein maroquin rouge, dos lisse, tranches dorées sur témoins, filet à froid et encadrement intérieur de cuir mosaïqué bleu, gardes de suédine rouge, couverture conservée, 171 pages [2], chemise de demi maroquin à bandes assortie, étui bordé (sur le plat supérieur de l'étui est inséré le cuivre original ayant servi à l'illustration de l'ouvrage). Superbe reliure signée de Devauchelle. Ouvrage illustré de 22 dessins gravés sur cuivre de Mariette Lydis. Tirage limité à 197 exemplaires numérotés, celui-ci issu du tirage de tête à 22 exemplaires numérotés sur papier à la forme de lana, comprenant un dessin original (dessin original à pleine page signé de Mariette Lydis: Andrée, première version), un cuivre, une suite sur chine, une suite sur malacca teinté, une suite sur lana tirée en bistre. Bel exemplaire, très finement relié ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎

‎Très bon Reliure Signé par l'auteur Ed. numérotée ‎

‎Voyages métallurgiques, ou recherches et observations sur les mines de cuivre, celles de calamine, & la fabrication du laiton ; les mines d'étain ; les monnoies ; les mines & fabriques d'alun ; celles de soufres & de vitriol ; les mines de sel, & les salines ; les poteries, les pipes, les briques et les tuiles, faites en 1758, 1765, jusques & compris 1769, en Allemagne, en Suède, Angleterre, Norvège, Tirol, Liège, & en Hollande. Suivies d'une notice sur la jurisprudence des mines de Saxe, de celle du Comté de Mansfeld, du Hartz & d'Angleterre. TOME 3 SEUL. ‎

‎ P., Didot jeune, Cellot, Jombert, 1781 ; 1 volume in-4. VIII (titre et table)-568 pp. 14 planches dépliantes in fine. Veau marbré, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges. Un petit manque à la coiffe sup. Un coin frotté. Mouillure angulaire marginale pâle sur quelques feuillets au début et à la fin du volume. Défauts de pliages sur les planches, quelques taches et une déchirure au niveau du pli planche 10. ‎

‎L'ouvrage comporte 3 volumes publiés en 1774, 1780 et 1781. Chacun traite de matières différentes (les mines de fer, la fabrication du fer et de l'acier, des mines de charbon... au premier volume - Les mines d'or, d'argent, de plomb, de cuivre de cobalt et de mercure au tome 2). L'auteur était le fils du directeur des mines de cuivre de Chessy (Rhône). Il entre à l'Ecole des Ponts et chaussées grâce au soutien de l'intendant des finances Trudaine. Il se spécialise en matière de mines et effectue de nombreux voyages sur des sites métallurgiques, en France et dans toute l'Europe, afin de parfaire ses connaissances dans le domaine des techniques minières. Juste avant sa mort en 1769, il réalisa la première expérience française d'utilisation du coke (charbon de terre) à la place du charbon de bois, d'abord à Hayange en Lorraine, puis à Saint-Etienne. C'est à son retour, qu'il meurt prématurément à Clermont-Ferrand le 20 août 1769. Son frère Gabriel l'Aîné, également chimiste et métallurgiste, publiera de façon posthume les mémoires et rapports de son frère. (Grandjean de Fouchy, "Éloge de M. Jars", dans "Histoire de l'Académie royale des sciences" - Année 1769, Imprimerie royale, Paris, 1772, p. 173-179). ‎