1927 br. in-12, 128pp., P. Figuière 1927
Reference : 14226
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Reference : 400003834
Bayard Jeunesse Sans date. Marie-Hélène Gros & Christophe Gruner: Mes premières sensations avec Popi/ Bayard Jeunesse . Marie-Hélène Gros & Christophe Gruner: Mes premières sensations avec Popi/ Bayard Jeunesse
Bon état
1998 1998. Terre Sauvage N°128 Mai 1998: Des sensations de Méditerranée-Rajasthan & tigres . Terre Sauvage N°128 Mai 1998: Des sensations de Méditerranée-Rajasthan & tigres
Très bon état
A Parme Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1792 Book condition, Etat : Moyen relié, demi-veau marron, dos lisse orné, titre et tomaison In-8 1 vol. - 444 pages
nouvelle édition, 1792 Contents, Chapitres : Avis important au lecteur, dessein de cet ouvrage - Traité des sensations : Des sens qui, par eux-mêmes, ne jugent pas des objets extérieurs - Du toucher, ou du seul sens qui juge par lui-même des objets extérieurs - Comment le toucher apprend aux autres sens à juger des objets extérieurs - Des besoins, de l'industrie et des idées d'un seul homme qui jouit de tous les sens - Conclusion - Avant-propos - Dissertation sur la liberté - Réponse à un reproche qui m'a été fait sur le projet exécuté dans le Traité des sensations - Extrait raisonné du Traité des sensations - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Son ouvrage majeur est le Traité des sensations, dans lequel il sémancipe du patronage de Locke et aborde la psychologie de sa propre manière, formulant sa doctrine du sensualisme. Il raconte comment il a été amené à revoir les postulats de Locke : cest la critique de Mlle Ferrand qui lui fit remettre en question la doctrine du philosophe anglais, selon laquelle les sens nous donnent une connaissance intuitive des objets. En effet, lil, par exemple, interprète naturellement la forme, la taille, la distance et la position dun objet. Sa discussion avec cette femme la convaincu quil était nécessaire, pour élucider ce genre de problèmes, détudier chaque sens séparément, dattribuer à chacun ce que nous lui devions, dobserver leur développement et la façon dont ils se complètent les uns les autres. Le résultat, selon lui, démontrerait que toutes les facultés et connaissances humaines ne sont que des sensations transformées à lexclusion de tout autre principe, telle la réflexion. - Condillac imagine dabord une statue de constitution humaine et animée dune âme neuve, où aucune sensation ni perception na jamais pénétré. Il éveille ensuite progressivement les sens de cette statue, en commençant par lodorat, le sens qui contribue le moins à la connaissance humaine. Toute la conscience de la statue se réduit alors aux odeurs singulières quelle éprouve. La perception par cette statue vivante de telle ou telle odeur saccompagne nécessairement de plaisir ou de douleur, selon laxiome lockien de la bipolarité de la conscience. La douleur et le plaisir deviennent ainsi le principe directeur qui va diriger toutes les opérations de son esprit. Après cette simple attention aux sensations naît la mémoire, qui nest que limpression persistante de lexpérience dune odeur : « La mémoire nest donc quune manière de sentir. » De la mémoire découle la comparaison : la statue expérimente lodeur, par exemple, dune rose, tout en se souvenant de celle dun illet, « car comparer nest autre chose que donner en même-temps son attention à deux idées. » Or, « dès quil y a comparaison, il y a jugement. » La comparaison et le jugement deviennent habituels. Ils se développent grâce au tout-puissant principe de lassociation des idées. De la comparaison dexpériences passées et présentes et du plaisir ou de la douleur qui leur est attaché, émerge le désir. Cest le désir qui oriente lusage de nos facultés, qui stimule la mémoire et limagination, et qui déclenche les passions. Les passions, elles aussi, ne sont que des sensations transformées. (source : Wikipedia) "Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, bout d'étiquette en papier ancienne ""..dillac"", la reliure reste solide et compacte, intérieur propre, un tampon de particulier sur la page de faux-titre avec la mention ""Onfray"", sinon propre, papier un peu bruni, notamment les bords de la page de titres, l'ensemble du texte reste assez frais avec des rousseurs éparses, tome second des oeuvres philosophiques de l'abbé de Condillac imprimé à Parme en 1792 (Une ville où Condillac a vécu pendant 9 ans entre 1757 et 1768 pour éduquer l'infant don Ferdinand)"
Chez les Libraires Associés à Paris, M. DCC. LXXVII Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1777 Book condition, Etat : Bon relié, demi-veau marron à 5 faux-nerfs, pièce de titres et de tomaison au dos, caissons ornés In-8 1 vol. - 521 pages
3eme édition des Oeuvres de Condillac, revue et augmentée, 1777 Contents, Chapitres : Dessein de cet ouvrage - 1. Traité des sensations : Des sens qui, par eux-mêmes, ne jugent pas des objets extérieurs - Du toucher, ou du seul sens qui juge par lui-même des objets extérieurs - Comment le toucher apprend aux autres sens à juger des objets extérieurs - Des besoins, de l'industrie et des idées d'un seul homme qui jouit de tous les sens - Conclusion - Avant-propos - Dissertation sur la liberté - Réponse à un reproche qui m'a été fait sur le projet exécuté dans le Traité des sensations - 2. Traité des animaux : Du système de Descartes et de l'hypothèse de M. de Buffon - Système des facultés des animaux - Conclusion - Extrait raisonné du Traité des sensations - Précis des 4 parties - Étienne Bonnot de Condillac, abbé de Mureau, est un philosophe, écrivain, académicien et économiste français, né le 30 septembre 1714 à Grenoble (Dauphiné) et mort le 3 août 1780 à Lailly-en-Val (Orléanais). Premier et seul vrai représentant du courant empiriste en France, Condillac y exerça à ce titre ainsi qu'à l'étranger une influence considérable. Bien que la postérité ne lait pas hissé au même rang que dautres penseurs des Lumières, Étienne Bonnot de Condillac saffirme comme lun des psychologues les plus pénétrants de son siècle. Avec Voltaire, il représente l'un des principaux introducteurs en France des principes du philosophe anglais John Locke, quil développe de façon systématique. Le style de Condillac est limpide, dune clarté logique extrême qui peut verser dans la sécheresse. Son analyse de lesprit humain se fonde entièrement sur lélaboration progressive des sensations, sans jamais faire appel à un principe spirituel, bien quil ait toujours affirmé son orthodoxie religieuse. Condillac est reconnu comme étant le chef de lécole sensualiste et affirme que notre seule source de connaissance est la sensation, doù dérive normalement et par transformation simple la réflexion, le raisonnement, lattention et le jugement. Pour prouver ses assertions, ils se base sur lexemple de lHomme statue, qui éprouve successivement les sensations. - Son ouvrage majeur est le Traité des sensations, dans lequel il sémancipe du patronage de Locke et aborde la psychologie de sa propre manière, formulant sa doctrine du sensualisme. Il raconte comment il a été amené à revoir les postulats de Locke : cest la critique de Mlle Ferrand qui lui fit remettre en question la doctrine du philosophe anglais, selon laquelle les sens nous donnent une connaissance intuitive des objets. En effet, lil, par exemple, interprète naturellement la forme, la taille, la distance et la position dun objet. Sa discussion avec cette femme la convaincu quil était nécessaire, pour élucider ce genre de problèmes, détudier chaque sens séparément, dattribuer à chacun ce que nous lui devions, dobserver leur développement et la façon dont ils se complètent les uns les autres. Le résultat, selon lui, démontrerait que toutes les facultés et connaissances humaines ne sont que des sensations transformées à lexclusion de tout autre principe, telle la réflexion. Le Traité des animaux est un essai philosophique de Condillac paru en 1755. Le sous-titre éclaire les intentions de Condillac : Où, après avoir fait des observations critiques sur le sentiment de René Descartes, et sur celui de M. de Buffon, on entreprend dexpliquer leurs principales facultés. Partant du thème philosophique de la sensibilité et l'intelligence des animaux, très discuté au milieu du XVIIIe siècle, Condillac prolonge la réflexion de Descartes et commente lHistoire naturelle de Buffon (publiée à partir de 1749). C'est aussi un prétexte pour évoquer la nature humaine et son rapport à dieu. (source : Wikipedia) Reliure d'époque un peu défraichie, coins émoussés, épidermures sur les plats, mors usés avec de petites déchirures, dos frotté, la reliure reste solide et compacte, intérieur frais et propre, papier à peine jauni, très peu de rousseurs, étiquette frottée ancienne à l'intérieur du plat supérieur, cela reste un bon exemplaire du tome 3 seul des oeuvres de Condillac, contenant ses deux textes les plus importants.