NRF, Gallimard 1957 Une des rééditions même date que l’originale. In-12 broché 19,5 cm sur 14. 284 pages Couverture au pelliculage desquamant et légèrement gauchie. Bon état d’occasion.
Reference : 98098
Mémoires d’un deuxième classe dans la seconde guerre de la France Libre à l’Afrique, rédigé avec une plume pleine d’humour. Bon état d’occasion
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Gallimard. 1957. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 284 pages - bandeau d'éditeur conservé - ex libris Jean Bergue sur le 1er contre plat.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Paris, Gallimard, 1957. In-8, broché.
Exemplaire de presse. Prière d'insérer (fatigué). Envoi des auteurs. [8698]
Gallimard, 1957, in-8°, 279 pp, broché, état correct
Souvenirs de Christian Berntsen retranscrits par Robert Soulat, écrivain et critique littéraire, qui succèdera à Marcel Duhamel à la direction de la Série Noire de 1977 à 1991, avant de mourir en 1994. C'est une équipée à travers l'Afrique pour participer à la reconquête de l'Afrique du Nord. "Ce livre relate les tribulations d'un soldat de la France Libre. Jeune lycéen en juin 40, il rejoint l'Angleterre, qu'il quitte en 1941 pour aller combattre en Afrique dans la colonne nouvellement formée sous les ordres de Leclerc. Après deux campagnes émouvantes, il est, bien malgré lui, fait prisonnier. Envoyé en Italie, libéré grâce à un subterfuge, il traverse l'Allemagne occupée, gagne le Danemark, d'où il parvient à passer en Suède. Son séjour y est à la fois désolant et joyeux, et durerait longtemps s'il ne réussissait à revenir en Angleterre, après bien des difficultés, mais juste à temps pour participer à la campagne de Normandie et revoir Paris en libérateur. Ce n'est donc pas un roman. Ce serait plutôt - toutes proportions gardées quant aux grades respectifs et aux problèmes rencontrés - le pendant aux "Mémoires" du général De Gaulle : les mémoires d'un deuxième classe doué de plusieurs idées larges et d'une seule idée fixe : rester dans la guerre, malgré toutes les circonstances qui s'acharnent à vouloir l'en éloigner (et qui font qu'une bonne partie des aventures que l'on nous conte n'ont qu'un rapport éloigné avec la guerre en question). Un deuxième classe, aussi qui est pourvu d'un humour souvent débonnaire, parfois féroce. Un humour de civil déguisé en militaire, puis en évadé, en clochard, en larbin, en infirmier, en amoureux occasionnel et en affamé perpétuel, et qui pressent que ce jeu tour à tour terrible et cocasse qu'on lui fait jouer est un jeu supérieur. Mais il le joue avec désinvolture et songe à garder quelque pudeur sur ce qu'on pourrait appeler, avec une pompe qui n'est pas dans l'ouvrage, son intuition motrice. Il en résulte un livre alerte, presque toujours drôle, et quelquefois émouvant." (4e de couverture)