‎Bernard VILLARET‎
‎Mexique‎

‎Silva Zurich 1962 Jaquette un peu fânée, sinon bon état. ‎

Reference : 68609


‎ Bon état d’occasion ‎

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‎SAUSSURE (Henri de).‎

Reference : 87308

(1993)

‎Voyage aux Antilles et au Mexique, 1854-1856. Présenté par Louis de Roguin et Claude Weber.‎

‎ Genève, Editions Olizane, 1993, gr. in-8°, 513 pp, une carte, qqs croquis dans le texte, index des noms, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Avec la plume caustique d'un Voltaire et la truculence d'un Toepffer, Henri de Saussure relate à ses proches son exploration des Antilles et du Mexique de 1854 à 1856. Le verbe haut et l'invective facile, il se veut à 24 ans meilleur que Humboldt. Voyageur infatigable et sans égards pour ses compagnons, il est toujours prêt à braver mille dangers pour visiter les curiosités et observer les phénomènes naturels... Henri de Saussure (1829-1905) est le petit-fils du naturaliste et alpiniste Horace-Bénédict et le père du linguiste Ferdinand de Saussure. — "Cet ensemble de lettres adressées par Henri de Saussure à sa mère et à divers membres de sa famille est un précieux témoignage, non pas du Mexique des années 1854-1856, mais de la vision que pouvait en avoir un jeune homme de bonne famille, ambitieux et savant, désireux de connaître le monde et de marcher sur les traces illustres de son modèle : le baron Alexandre de Humboldt. En effet, Henri de Saussure a vingt-cinq ans quand il débarque au Mexique, après quelques escales dans les Antilles, afin d'explorer un pays encore mal connu et dont les richesses naturelles attirent de nombreux Européens. Une lettre de Humboldt, datée du 14 novembre 1854, l'incitait à travailler sur les phénomènes tectoniques et volcaniques qui compliquent et enrichissent la géologie du Mexique. Très vite, pourtant, les lettres qu'il rédige vont se faire l'écho de ses états d'âme plus que de ses découvertes scientifiques. En outre, à cause des nombreuses difficultés rencontrées en chemin, son voyage va se limiter à la région centrale du Mexique. Il n'est donc pas étonnant de le voir réduire l'immense variété des paysages mexicains à leur plus simple expression : « Cette végétation du Mexique [autour d'Orizaba] est mille fois plus belle que celle des Antilles, mais elle est peu générale, parce que le pays est extraordinairement sec », écrit-il le 16 mars 1855 (en pleine saison sèche !). Il ne faut donc pas espérer trouver dans ce recueil les remarques pertinentes et le vaste tableau économique et social développé par Alexandre de Humboldt dans son Essai politique sur le royaume de Nouvelle-Espagne (1808). En revanche, on trouvera une foule d'anecdotes et de descriptions qui sont autant d'instruments pour mieux appréhender la vie quotidienne et les coutumes d'un Mexique qui vient à peine d'acquérir son indépendance et vit dans une époque troublée. Ainsi, plusieurs événements fondamentaux pour l'histoire du pays transparaissent à peine dans les lettres du jeune Henri de Saussure, qui préfère se plaindre des retards et des déconvenues occasionnés par des bouleversements dont il ne semble pas toujours saisir toute la portée, même s'il montre par moment une grande lucidité qu'il semble avoir réservée aux lecteurs du Journal de Genève, à qui il donne la primeur de ses informations politiques (p. 473). En revanche, il décrit avec beaucoup de saveur et de verve les événements auxquels il assiste personnellement, comme le bombardement de Veracruz (février 1856). Les lettres de Saussure s'inscrivent donc dans une tradition qui, dès cette époque, met l'accent sur l'exotisme du Mexique et des Mexicains, au détriment d'une approche plus scientifique. Pourtant, le lecteur actuel est saisi d'un certain malaise devant les propos tenus par ce jeune homme bien né qui, malgré ses prétentions, ne possède pas encore la grandeur de vue et l'esprit d'analyse de son illustre modèle, Alexandre de Humboldt. Trop imbu de lui-même et de sa valeur, convaincu de la supériorité de sa culture sur celle des Mexicains (des papistes il néglige souvent l'essentiel pour ne retenir que l'anecdotique. Il passe son temps à se plaindre des gens (tous des voleurs et des paresseux), du climat (qui le rend malade), des objets (qui sont mal faits), des animaux (qui sont dangereux). Ses analyses économiques restent souvent rudimentaires et si ses remarques sur les biens du clergé ne manquent pas de profondeur, il faut plutôt y lire la critique acerbe d'un protestant qui s'emporte contre la de l'Église catholique. De fait, ses jugements de valeur sont souvent sans appel et se situent à la limite de l'injure ou de la calomnie. Il parle de l'« apathie des Mexicains » (p. 173), de la « vanité mexicaine » (p. 260) et de la « turpitude mexicaine» (p. 477). Les Indiens sont « vicieux » (p. 486), « ils ne veulent pas travailler » (p. 486). Les moines sont tous prévaricateurs et concupiscents (p. 148). Chaque Mexicain est « brigand en » (p. 143). Dans le meilleur des cas, on les reconnaît « doux, inoffensifs et bons enfants », mais il ne faut rien leur demander, car ils sont trop paresseux pour entreprendre quoi que ce soit (pp. 147, 171). Quant aux créoles, ils « n'inventent rien ; ce sont de sottes bêtes et voilà tout » (p. 172). Il faut attendre les ultimes pages de ce long réquisitoire pour que le voyageur se laisse aller à dire son attachement pour une terre et des hommes qu'il a appris à aimer malgré tous leurs défauts. Mais ce lyrisme final semble trop poli, trop convenu, pour être honnête : « Adieu, beau Mexique, adieu, vous, beaux déserts, sans routes et sans gênes, où l'Indien libre comme l'air adore à deux genoux le soleil à son lever [...] » (p. 490). A la décharge d'Henri de Saussure, il faut souligner que ces lettres n'étaient pas destinées à la publication et qu'il s'y livre sans retenue. En dépit de leurs excès et, parfois, leur suffisance (quand il se mêle par exemple de critiquer le travail réalisé par Humboldt), elles sont de lecture agréable et on se laisse prendre au charme d'un style enlevé et d'un récit riche en péripéties. Il reste que les véhiculés dans l'œuvre de Saussure continuent à encombrer l'imaginaire collectif des Européens. Le Mexique contemporain, malgré tous ses efforts, souffre encore d'une image que ce livre, pris au pied de la lettre, ne pourra qu'entretenir, même si Joaquin Galarza, dans sa préface, replace fort justement les lettres d'Henri de Saussure dans leur contexte historique et culturel." (Alain Musset, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1994) ‎

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‎REINACH FOUSSEMAGNE (Comtesse H. de).‎

Reference : 123655

(1925)

‎Charlotte de Belgique, impératrice du Mexique.‎

‎ Plon, 1925, in-8° carré, xviii-408 pp, préface de Pierre de La Gorce, 2 héliogravures, 113 photogravures, 14 fac-similés d'autographes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Ouvrage important, abondamment illustré : l'enfance, Maximilien, le mariage, Miramar, l'Intervention française au Mexique, les débuts du règne, la fin de l'Empire et de l'Empereur. — "Quelle histoire tragique que celle de cette jeune princesse, mariée à un aimable archiduc, fêtée à Vienne et à Milan, passant des jours heureux dans la jolie villa de Miramar baignée par l'Adriatique, accompagnant son époux au Mexique, dont on lui offrit d'être le Souverain ! Elle s'était associée dès la première heure à ses visées ambitieuses. Napoléon III les avait fortement encouragées, sinon provoquées, sans en calculer les dangereuses conséquences. La comtesse de Reinach n'a pas voulu écrire à nouveau l'histoire de l'expédition du Mexique, mais elle a étudié la psychologie de cette pauvre princesse dont le désastre mexicain a détruit la raison. C'est à Rome, au retour d'un voyage a Paris, où elle avait vainement demandé à Napoléon III de maintenir au Mexique le corps expéditionnaire français, que ses premiers troubles cérébraux se manifestèrent. Conduite à Miramar, puis en Belgique, Charlotte eut des périodes de lucidité qui s'espacèrent progressivement. On lui apprit, quand la chose parut possible, le drame de Queretaro. Elle en parut profondément afiligée, mais bientôt elle ne fit plus d'allusions ni à son mari ni au Mexique. Et voici près de soixante ans que la pauvre impératrice porte le deuil de ses rêves et de sa raison. Dans ce livre, fort bien édité, une iconographie très copieuse, des fac-similés d'autographes et la citation de nombreuses lettres adressées à Charlotte ou émanant d'elle ajoutent à l'intérêt et constituent une précieuse contribution à l'histoire." (Revue des Questions historiques, 1926) — "Des compléments souvent utiles à l'ouvrage du comte Corti sur “Maximilien et Charlotte du Mexique” se trouvent encore, avec une illustration abondante, dans un volume de Mme la comtesse de Reinach-Foussemagne, qui pousse jusqu'à ses derniers jours la biographie de l'impératrice Charlotte, et dont la documentation provient surtout de la famille royale de Belgique." (Raymond Guyot, Revue Historique, 1928) ‎

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‎REINACH FOUSSEMAGNE (Comtesse H. de).‎

Reference : 85702

(1925)

‎Charlotte de Belgique, impératrice du Mexique.‎

‎ Plon, 1925, in-8° carré, xviii-408 pp, préface de Pierre de La Gorce, 2 héliogravures, 113 photogravures, 14 fac-similés d'autographes, biblio, index, broché, état correct, envoi a.s.‎


‎Ouvrage important, abondamment illustré : l'enfance, Maximilien, le mariage, Miramar, l'Intervention française au Mexique, les débuts du règne, la fin de l'Empire et de l'Empereur. — "Quelle histoire tragique que celle de cette jeune princesse, mariée à un aimable archiduc, fêtée à Vienne et à Milan, passant des jours heureux dans la jolie villa de Miramar baignée par l'Adriatique, accompagnant son époux au Mexique, dont on lui offrit d'être le Souverain ! Elle s'était associée dès la première heure à ses visées ambitieuses. Napoléon III les avait fortement encouragées, sinon provoquées, sans en calculer les dangereuses conséquences. Le « grand rêveur » écrit M. de la Gorce, avait « trouvé un autre rêveur pour l'écouter ». La comtesse de Reinach n'a pas voulu écrire à nouveau l'histoire de l'expédition du Mexique, mais elle a étudié la psychologie de cette pauvre princesse dont le désastre mexicain a détruit la raison. C'est à Rome, au retour d'un voyage a Paris, où elle avait vainement demandé à Napoléon III de maintenir au Mexique le corps expéditionnaire français, que ses premiers troubles cérébraux se manifestèrent. Conduite à Miramar, puis en Belgique, Charlotte eut des périodes de lucidité qui s'espacèrent progressivement. On lui apprit, quand la chose parut possible, le drame de Queretaro. Elle en parut profondément afiligée, mais bientôt elle ne fit plus d'allusions ni à son mari ni au Mexique. Et voici près de soixante ans que la pauvre impératrice porte le deuil de ses rêves et de sa raison. Dans ce livre, fort bien édité, une iconographie très copieuse, des fac-similés d'autographes et la citation de nombreuses lettres adressées à Charlotte ou émanant d'elle ajoutent à l'intérêt et constituent une précieuse contribution à l'histoire." (Revue des Questions historiques, 1926) — "Des compléments souvent utiles à l'ouvrage du comte Corti sur “Maximilien et Charlotte du Mexique” se trouvent encore, avec une illustration abondante, dans un volume de Mme la comtesse de Reinach-Foussemagne, qui pousse jusqu'à ses derniers jours la biographie de l'impératrice Charlotte, et dont la documentation provient surtout de la famille royale de Belgique." (Raymond Guyot, Revue Historique, 1928) ‎

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‎LEJEUNE (Louis).‎

Reference : 112048

(1892)

‎Au Mexique.‎

‎ P., Léopold Cerf, 1892, in-12, xvi-314 pp, reliure demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état‎


‎Récit d'un voyage fait au Mexique à la fin du XIXe siècle. — "Soit justification, soit rancoeur, les Français ont effacé toute image idyllique du Mexique et développé un sentiment de refus vis-à-vis de « ce pays de sauvages ». Ce sentiment a bien été compris par Lejeune, jeune ingénieur du corps diplomatique français, qui a cru trouver son origine dans les romans et récits de voyages." (Javier Pérez Siller, L'image du Mexique dans les publications françaises, 1867-1905) — Table : L'arrivée ; Environs de Mexico ; Les terres chaudes ; Les plantes industrielles (le tabac, le caoutchouc, le mezcal de Tequila...) ; A la frontière ; Les mines ; L'état politique ; Les Français au Mexique. ‎

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‎SOUSTELLE (Georgette).‎

Reference : 122709

(1958)

‎Tequila : un village nahuatl du Mexique oriental. (Thèse).‎

‎ P., Institut d'Ethnologie, 1958, gr. in-8°, x-268 pp, 14 pl. de photos hors texte, 16 figures, notes, glossaire, biblio, index, broché, bon état‎


‎"... En 1940, bénéficiaire d'une nouvelle bourse pour le Mexique, Georgette Soustelle (1909-1999) décida de s'installer dans un village de la Sierra de Zongolica, dans l'État de Veracruz, où la langue et la culture nahuas étaient restées vivaces. Durant deux ans elle y observa la vie sociale, économique, religieuse des habitants, réunissant ainsi le matériel sur lequel allait reposer sa thèse principale : “Tequila, un village nahuatl du Mexique oriental”. Il faut noter au passage que les descriptions précises des gestes de la tisserande, de la potière, les références nombreuses aux dénominations, aux expressions en nahuatl qu'on y relève, témoignent des qualités d'observation de l'ethnologue, de son souci de pénétrer en profondeur l'esprit, la mentalité des indigènes, de sa sympathie pour eux. Se plaçant dans une perspective diachronique inverse de celle de l'ethnohistorien, Georgette s'est employée à remonter dans le temps en confrontant les traits culturels qu'elle avait observés sur le terrain avec ceux dont les sources anciennes rendaient témoignage. En 1942, Georgette quitte le Mexique pour rejoindre son mari Jacques à Londres, auprès du Général de Gaulle et s'adonner à des activités patriotiques. Peu après la libération de Paris, Georgette reprend son travail au musée de l'Homme en tant que responsable du département d'Amérique..." (Jacqueline Durand-Forest, Journal de la société des américanistes, 1999) ‎

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