Editions du Chêne 1996 In-4 relié. 144 pages. Très bon état d’occasion.
Reference : 65093
ISBN : 2851089439
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Flammarion 1959 1959.
Reference : 400054974
[Jean-Baptiste Camille Corot] - Dieterle, Jean and Andrà Schoeller
Reference : 115873
(1948)
Dieterle, Jean and Andrà Schoeller: Corot : Premier Supplement a 'L'Oeuvre De Corot' Par A. Robaut et Moreau-Nelaton Editions Floury. Paris: Arts et MÃtiers Graphiques, 1948. No. 181 of 550 copies of this edition. 100 plates with illustrations in black and white, and short descriptions. Loose with original wrappers, needs re-binding. 38.5 x 28.5cms. Text in French.
Text in French
1846 Le Pont de Mantes (de la collection de Mr Defoer) gravé par Henri GUÉRARD (Paris 1846 – Paris 1897) d’après le tableau de Camille COROT (Paris 1796 – Paris 1875)- Feuille : 190 x 265 mm- Coup de planche : 165 x 230 mm,sur chine collé,bon état.
[Camille COROT] - ROBAUT (Alfred) dessinateur et graveur français, grand admirateur d’Eugène Delacroix et de Camille Corot pour lesquels, il fut à l’origine du premier catalogue des œuvres de ces deux peintres (1830-1909)
Reference : 35C20
Superbe lettre concernant une intéressante intervention de l’admirateur de Corot qui tient à apporter une précision concernant son choix de devenir peintre, et sur certaines dates et désignation erronées de ses tableaux. « Ce n’est pas contre le gré de ses parents que Corot s’est fait peintre. Epargner ainsi la vérité sur un tel fait, c’est faire rougir l’ombre de ce fils respectueux par excellence. S’il est vrai que pendant six ans, à la même époque, le jour où il souhaitait la fête à son père, il lui a demandé à sortir du commerce pour être peintre, il est plus vrai encore qu’il se sentait de force à atteindre indéfiniment la permission qu’on tardait lui accorder et qu’on a fini par lui donner volontiers. Certainement cette décision a été accompagnée plus tard de restrictions très fâcheuses, alors qu’en apparence elle semblât prise de bon cœur, et c’est là ce qui a ébranlé pendant plus de vingt ans le moral de l’artiste, mais enfin le fils exemplaire n’a rien fait qu’il crût absolument agréable à ses parents, et je tenais à protester en son nom. .. ». Il a constaté d’autres « erreurs relevées à la hâte. Le tableau (superbe) du Musée de Douai n’est pas de 1834, mais bien de 1848 – donné en 1849. Le tableau du Luxembourg est placé à tort entre les dates de 1839 et 1849, puisqu’il est de 1851. Enfin, ce n’est pas souvenir d’Arlem mais d’Arleux (patrie de Merlin de Douai)…».