Librairie Hachette et Cie 1874 2 tomes. In-8 14,5 x 22,5 cm. Reliures de l’époque demi-chagrin rouge, dos à 4 nerfs ornés de fleurons dorés, auteur, titre et tomaison dorés, XI + 450 - 464 pp. Coins émoussés et frottés, dos insolés, intérieurs en bon état. La Religion romaine de la fin de la République au IIe siècle.
Reference : 62153
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Reliure bradel demi-cuir marron à coins. Dos à nerfs avec fleurons dorés. Couverture verte conservée.Rousseurs.
Paris Librairie Hachette et Cie 1874 Tome 1: XI + 450 pp. Tome 2: 464 pp. Grand in-8 Relié. Etat d'usage. 2 tomes. Tome 1: Introduction, Caractère général de la religion romaine, La religion romaine la fin de la république; La religion romaine pendant la siècle d'Auguste, Réformes religieuses et morales d'Auguste, L'apothéose impériale, Le siècle d'Auguste, Virgile, La sixième livre de l'Énéide; La religion après Auguste, Ce qui resta des réformes d'Auguste, Les religions étrangères. Tome 2: La philosophie romaine après Auguste, L'enseignement de Sénèque, Sénèque et Saint Paul, La philosophie romaine après Sénèque, La théologie romaine; La société romaine du temps de Antonins, Les classes élevées, Les femmes, Les classes inférieures et les associations populaires, Les esclaves; Conclusion, La religion romaine au IIe siècle, Table analytique.
Payot, 1999, pt in-8°, 341 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée, qqs rares soulignures crayon (et stylo sur 2 pp), bon état (Petite Bibliothèque Payot)
Rome a vécu pendant onze à douze siècles dans le conservatisme obstiné de cérémoniels et sacerdoces de base, mais en intégrant, au cours d'un développement organique, toutes sortes de cultes étrangers, ce qui a multiplié les variations d'un sentiment religieux cependant continu jusqu'au triomphe du christianisme. Histoire psychologiquement suivie, riche des contacts de la conquête et des problèmes de la domination. [...] A suivre celle-ci pendant plus d'un millénaire, se confirme l'idée d'une originalité très assurée, on ne peut retracer la vie de la religion romaine de la même façon que celle de la religion grecque. A la réflexion se déclare le dilemme : S'agit-il d'une vocation unique (providentielle, pensaient les anciens) ou d'un aspect particulier du phénomène d'intégration indo-européenne au monde méditerranéen ? — "Une admirable synthèse, remarquablement informée, où les problèmes sont posés avec netteté et objectivité, où les hypothèses sont formulées avec beaucoup de prudence. Jamais l'ouvrage ne dément son titre, car il est continuellement fidèle au point de vue, si intéressant et peut-être trop rarement adopté, de la religion déterminée par les exigences politiques et psychologiques." (L'Antiquité classique) — "Après avoir exposé comment fut peuplée l'Italie au temps de la préhistoire, l'arrivée entre l'année 2000 et l'année 1500 av. J.-C. des « Italiques » qui étaient des Indo-Européens, et comment un rameau de ces « Italiques » s'établit dans ce qui devait devenir le Latium, M. Jean Bayet montre quelles étaient « les dominantes de la mentalité religieuse » de ces ancêtres des futurs Romains : caractéristiques de leurs croyances et superstitions ; leurs divinités qui, dans la suite, par le contact avec d'autres peuples, Etrusques et surtout Grecs, se transformeront, changeront de physionomie et de nature ; leurs mythes, il décrit les rites, les pratiques cultuelles dont l'origine et le sens sont lointains et archaïques. Au cours des siècles, tout cet ensemble, divinités, mythes, rites, etc. se modifiera, évoluera sous des influences extérieures, surtout celle de la Grèce – l'auteur insiste particulièrement sur cette action hellénique, sur ce phénomène de l'hellénisation de la religion romaine – des changements sociaux, des conceptions philosophiques et morales, etc. Ainsi distingue-t-il « La Religion de Rome républicaine » et « La religion romaine sous l'Empire », et ici il montre l'influence directe d'Auguste, et aussi celle de l'Orient, car Rome accueille les religions et les mythes des pays qu'elle a vaincus : culte d'Isis, du Soleil et de Mithra, etc. Le plus singulier, c'est que cette religion s'accroissant de tant d'apports étrangers, comme le faisait la population même de Rome, n'en a pas moins gardé sa personnalité latine." (Revue des Deux Mondes, 1957)
Payot, 1969, in-8°, 341 pp, deuxième édition, revue et corrigée, biblio, index, broché, état correct (Coll. Bibliothèque historique)
"Une admirable synthèse, remarquablement informée, où les problèmes sont posés avec netteté et objectivité, où les hypothèses sont formulées avec beaucoup de prudence. Jamais l'ouvrage ne dément son titre, car il est continuellement fidèle au point de vue, si intéressant et peut-être trop rarement adopté, de la religion déterminée par les exigences politiques et psychologiques." (L'Antiquité classique) — "Après avoir exposé comment fut peuplée l'Italie au temps de la préhistoire, l'arrivée entre l'année 2000 et l'année 1500 av. J.-C. des « Italiques » qui étaient des Indo-Européens, et comment un rameau de ces « Italiques » s'établit dans ce qui devait devenir le Latium, M. Jean Bayet montre quelles étaient « les dominantes de la mentalité religieuse » de ces ancêtres des futurs Romains : caractéristiques de leurs croyances et superstitions ; leurs divinités qui, dans la suite, par le contact avec d'autres peuples, Etrusques et surtout Grecs, se transformeront, changeront de physionomie et de nature ; leurs mythes, il décrit les rites, les pratiques cultuelles dont l'origine et le sens sont lointains et archaïques. Au cours des siècles, tout cet ensemble, divinités, mythes, rites, etc. se modifiera, évoluera sous des influences extérieures, surtout celle de la Grèce – l'auteur insiste particulièrement sur cette action hellénique, sur ce phénomène de l'hellénisation de la religion romaine – des changements sociaux, des conceptions philosophiques et morales, etc. Ainsi distingue-t-il « La Religion de Rome républicaine » et « La religion romaine sous l'Empire », et ici il montre l'influence directe d'Auguste, et aussi celle de l'Orient, car Rome accueille les religions et les mythes des pays qu'elle a vaincus : culte d'Isis, du Soleil et de Mithra, etc. Le plus singulier, c'est que cette religion s'accroissant de tant d'apports étrangers, comme le faisait la population même de Rome, n'en a pas moins gardé sa personnalité latine." (Revue des Deux Mondes, 1957)
P., Hachette, 1878. 2 volumes in-12 reliures dos cuir, (XIV-404) - 414 pages. Dos lég. frottés, coins du Tome 1 émoussés, qqs rousseurs. Qqs passages soulignés aux crayons de bois rouge au bleu en début du Tome 1.
La Religion Romaine à la fin de la République, pendant le siècle d'Auguste, la Religion après Auguste, la Société Romaine au temps des Antonins.
au bureau du journal. 2007. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 66 pages augmentées de quelques photos en noir et blanc et en couleurs dans texte.. . . . Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise
Sommaire: La religion et la politique; islame et laïcité mariage impossible; Religion romaine et révolution chrétienne; Comment l'Angleterre est devenue protestante ... Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise