E. Dentu, Librairie de la Société des Gens de Lettres, impr. Vallée, Paris 1864 Illustrations par Edmond Morin. In-12 14 x 19 cm. Reliure de l’époque demi-basane vert émeraude, dos lisse, titre et roulettes dorées, 153 pp., 70 dessins. Coins émoussés et frottés, queques rousseurs. Assez bon exemplaire. Prison de la Garde Nationale, l’Hôtel des Haricots connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place. Cette académie pour rebelles, diparue en 1837, portait les traces de ses illustres visiteurs qui s’y adonnèrent à la pratique du graffiti.
Reference : 57144
Bon état d’occasion
Librairie de l'Avenue
M. Henri Veyrier
Marché aux Puces. 31, rue Lecuyer
93400 Saint-Ouen
France
01 40 11 95 85
Conforme aux usages de la profession. Paiement avec votre carte bancaire par Paypal ou en V.A.D. (Vente à distance sur le site), par virement ou chèque. Les frais de port sont de 9,50 € pour la France pour les colis de moins de 5kg en colissimo (ou 4,50 € en Mondial Relay), 12 € pour les pays de l'Union Européenne (sauf Espagne) en Mondial Relay. Nous consulter pour les autres pays et livres au dessus de 5kg. Notre téléphone : 01 40 11 95 85.
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-chagrin vert poli, dos à nerfs orné, tête dorée, couv. ill. cons. Rousseurs. Dos passé.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-percaline bleue (reliure de l'époque). Petites usures aux mors. Ex-libris G. Cottreau.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, broché. Mouillure sur la première partie de l'ouvrage. Ex-libris Yves Louis Mongrolle.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-percaline violine à la Bradel, couv. ill. cons. Rousseurs. Deux ex-libris .
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
E. Dentu, sans date, 153 p., demi-chagrin, des épidermures sur le cuir, plats frottés, nombreuses rousseurs sur les pages, une mouillure sur les premières pages.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.