CORTI 2001 Broché. Très bon état d’occasion.
Reference : 25289
ISBN : 2714307531
Très bon état d’occasion
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État : Très bon état - Année : 1988 - Format : in 8° - Pages : 350pp - Editeur : Lettres du Monde - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Tranches très légèrement salies. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-claude-martinez/7949-les-cent-premiers-jours-de-jean-marie-le-pen-a-l-elysee?lrb
Un ˮromanˮ de politique fiction fort intéressant qui, en 1988, raconte les débuts de Jean-Marie Le Pen alors qu'il est élu président de la république avec 53,9% des voix. Crise politique, crise sociale, crise internationale avec prise d'otage, mais les bonnes décisions sont prises et l'opinion est retournée et commence alors ˮl'été de tous les rêvesˮ. Pour les curieux. A lire avec les mémoires de Jean-Marie Le Pen
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Paris, Tabary, 1844 gr in-8, 87-[8] pp., avec un grand fac-similé dépliant "in fine", demi-veau turquoise, dos lisse orné de filets dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs, mais bon exemplaire.
Les monographies sur le pauvre petit roi Jean Ier n'abondent pas, et pour cause : un règne posthume de cinq jours sous la régence de Philippe de Poitiers ne remplit pas l'imagination. Mais voilà, il y eut bien après la mort officielle de Jean, l'affaire Giannino où l'on vit un marchand siennois du nom de Giannino Baglioni prétendre, pendant la captivité de Jean II, être le petit Roi échangé après sa naissance avec le fils d'un Siennois émigré. Druon a excellemment exploité cette histoire dans ses Rois maudits, mais il ne l'a pas inventée : ce fut le tyran de Rome, Cola di Rienzo, qui forgea cet échange prétendu pour renforcer son pouvoir. Le problème est que l'intéressé attendit 1356, donc deux ans après l'assassinat de son protecteur, pour revendiquer le trône : il se rendit à la Cour de Hongrie, où le roi Louis Ier (1326-1382), neveu de la reine Clémence, le reconnut comme le fils de Louis X. Fort de cet appui, Giannino se rendit à Avignon en 1360, mais le pape Innocent VI refusa de le recevoir, et il fut finalement arrêté et emprisonné ; il mourut à Naples en 1363.Envoi au duc de Luynes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Dijon, chez l'auteur, 1892 in-8, 248 pp., demi-toile grise de l'époque, pièce de titre cerise, couverture conservée.
Tirage limité à 300 exemplaires numérotés à la presse. Un des 260 sur papier vélin (99/300).La magnifique et victorieuse défense de Saint-Jean en octobre-novembre 1636, pendant la Guerre de Trente ans, demeure une fierté bourguignonne.L'abbé Jules Thomas (1843-1928) était prêtre du Diocèse de Dijon, puis chanoine honoraire ; il exerça comme curé -doyen de Notre Dame de Dijon. Reliés à la suite : I. LADEY (Jean-Baptiste-Victor) : Relation historique du siège de Saint-Jean-de-Lone en l'année 1636 (extrait de la Revue des deux Bourgognes, année 1837). Dijon, Imprimerie Darantière, 1886, 66 pp. - II. Le Siège de Saint-Jean-de-Losne en 1636. Dijon, Imprimerie Jobard, s.d [1886]., 23 pp. - III. RATHEAUX (Auguste) : La Galas en 1886. Souvenir des fêtes de Saint-Jean-de-Losne, 2, 3 et 4 novembre. Dijon, Imprimerie Jacquot, Floret, 1886, 65 pp., avec 2 photogravures hors texte. La victoire du siège imposé par l'autrichien Matthias Gallas est commémorée tous les cinquante ans, et porte son nom. La dernière "Fête de la Gallas" eut lieu en 1986. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Tabary, 1844 in-8, 87-[9] pp., dérelié, sans couverture. Il manque le fac-similé. Ex-libris Georges Fessard.
Les monographies sur le pauvre petit roi Jean Ier n'abondent pas, et pour cause : un règne posthume de cinq jours sous la régence de Philippe de Poitiers. Mais voilà, il y eut bien après la mort officielle de Jean, l'affaire Giannino où l'on vit un marchand siennois du nom de Giannino Baglioni prétendre, pendant la captivité de Jean II, être le petit Roi échangé après sa naissance avec le fils d'un Siennois émigré. Maurice Druon a excellemment exploité cette histoire dans ses Rois maudits, mais il ne l'a pas inventée : ce fut le tyran de Rome, Cola di Rienzo, qui forgea cet échange prétendu pour renforcer son pouvoir. Le problème est que l'intéressé attendit 1356, donc deux ans après l'assassinat de son protecteur, pour revendiquer le trône : il se rendit à la Cour de Hongrie, où le roi Louis Ier (1326-1382), neveu de la reine Clémence, le reconnut comme le fils de Louis X. Fort de cet appui, Giannino se rendit à Avignon en 1360, mais le pape Innocent VI refusa de le recevoir, et il fut finalement arrêté et emprisonné ; il mourut à Naples en 1363. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1830 Paris. Barba et divers éditeurs. 1830. 1 volume in-8, demi-basane rouge, dos lisse orné, pièce de titre de maroquin brun et havane, tranches dorées. (4) ff. ; XXXVI pp. ; (pagination commence à 5) 115 pp. ; (3) pp.
Illustré d’1 portrait frontispice.Ouvrage satirique prenant pour cible Charles X autant que les congrégations et leur mode d’enseignement.Manque le faux-titre de « la députation ratée » ( p.77-78).Rousseurs. Reliure légèrement frottée.