Grasset 2002 In-8 broché 20,6 cm sur 13,0. 280 pages. Bon état d’occasion.
Reference : 127582
ISBN : 2246630215
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Grasset 2002 335 pages in8. 2002. broché. 335 pages. "Ce fut une Apocalypse..." cette première phrase de l'essai d'Alexandre Adler sur les attentats du 11septembre donne le ton. Peut-être n'est-ce pas la fin du monde mais au moins est-il temps de prendre acte que ces événements marquent la fin d'un monde. Ces faits dramatiques nous apprennent que l'hégémonie américaine est terminée et que désormais l'Amérique géant solitaire a besoin de soutiens pour défendre les valeurs de la liberté et de la démocratie. Adler directeur de la rédaction au Courrier international tente de décrypter le jeu complexe des relations entre les pays sur l'échiquier mondial depuis le 11septembre2001. Il a le mérite de chercher derrière l'historicité des faits les enjeux fondamentaux de ce nouvel ordre mondial. C'est d'ailleurs à cet instant que son analyse devient passionnante. En effet que faire? Pour les pays musulmans qui ne suivraient pas le terrorisme apprendre à sortir des années de dictature militaire et de théocratie obscurantiste; pour l'Amérique "première démocratie capable d'exercer un pouvoir impérial" ne pas tomber dans le piège d'une guerre totale qui marquerait "la fin du processus de démocratisation du monde" et éteindrait le feu d'un idéal démocratique hérité des Lumières. Adler étudie point par point toutes ces options dans leur extension planétaire (le conflit israélo-palestinien pakistano-indien la guerre en Tchétchénie) et il pose la carte du nouvel ordre mondial des conflits géostratégiques. On sait la difficulté pour un historien de penser le présent. Se définissant comme "un observateur engagé et perplexe" Alexandre Adler ose proposer dans son essai J'ai vu finir le monde ancien une véritable lecture historique du monde au lendemain des attentats du 11septembre. --Denis Gombert
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Hachette Littératures 2003 18 8x11x2cm. 2003. Broché. 337 pages. "Ce fut une Apocalypse..." cette première phrase de l'essai d'Alexandre Adler sur les attentats du 11septembre donne le ton. Peut-être n'est-ce pas la fin du monde mais au moins est-il temps de prendre acte que ces événements marquent la fin d'un monde. Ces faits dramatiques nous apprennent que l'hégémonie américaine est terminée et que désormais l'Amérique géant solitaire a besoin de soutiens pour défendre les valeurs de la liberté et de la démocratie. Adler directeur de la rédaction au Courrier international tente de décrypter le jeu complexe des relations entre les pays sur l'échiquier mondial depuis le 11septembre2001. Il a le mérite de chercher derrière l'historicité des faits les enjeux fondamentaux de ce nouvel ordre mondial. C'est d'ailleurs à cet instant que son analyse devient passionnante. En effet que faire? Pour les pays musulmans qui ne suivraient pas le terrorisme apprendre à sortir des années de dictature militaire et de théocratie obscurantiste; pour l'Amérique "première démocratie capable d'exercer un pouvoir impérial" ne pas tomber dans le piège d'une guerre totale qui marquerait "la fin du processus de démocratisation du monde" et éteindrait le feu d'un idéal démocratique hérité des Lumières. Adler étudie point par point toutes ces options dans leur extension planétaire (le conflit israélo-palestinien pakistano-indien la guerre en Tchétchénie) et il pose la carte du nouvel ordre mondial des conflits géostratégiques. On sait la difficulté pour un historien de penser le présent. Se définissant comme "un observateur engagé et perplexe" Alexandre Adler ose proposer dans son essai J'ai vu finir le monde ancien une véritable lecture historique du monde au lendemain des attentats du 11septembre. --Denis Gombert Bon Etat
Grasset 2002 in8. 2002. broché. 335 pages. "Ce fut une Apocalypse..." cette première phrase de l'essai d'Alexandre Adler sur les attentats du 11septembre donne le ton. Peut-être n'est-ce pas la fin du monde mais au moins est-il temps de prendre acte que ces événements marquent la fin d'un monde. Ces faits dramatiques nous apprennent que l'hégémonie américaine est terminée et que désormais l'Amérique géant solitaire a besoin de soutiens pour défendre les valeurs de la liberté et de la démocratie. Adler directeur de la rédaction au Courrier international tente de décrypter le jeu complexe des relations entre les pays sur l'échiquier mondial depuis le 11septembre2001. Il a le mérite de chercher derrière l'historicité des faits les enjeux fondamentaux de ce nouvel ordre mondial. C'est d'ailleurs à cet instant que son analyse devient passionnante. En effet que faire? Pour les pays musulmans qui ne suivraient pas le terrorisme apprendre à sortir des années de dictature militaire et de théocratie obscurantiste; pour l'Amérique "première démocratie capable d'exercer un pouvoir impérial" ne pas tomber dans le piège d'une guerre totale qui marquerait "la fin du processus de démocratisation du monde" et éteindrait le feu d'un idéal démocratique hérité des Lumières. Adler étudie point par point toutes ces options dans leur extension planétaire (le conflit israélo-palestinien pakistano-indien la guerre en Tchétchénie) et il pose la carte du nouvel ordre mondial des conflits géostratégiques. On sait la difficulté pour un historien de penser le présent. Se définissant comme "un observateur engagé et perplexe" Alexandre Adler ose proposer dans son essai J'ai vu finir le monde ancien une véritable lecture historique du monde au lendemain des attentats du 11septembre. --Denis Gombert Etat Correct interieur propre
Grasset, 2002, in-8°, 336 pp, broché, couv. illustrée, bon état
"Oui, ce fut bien une Apocalypse, au sens originaire de l'expression, une révélation de notre monde, que ce terrible spectacle du 11 septembre 2001. Mais comme toutes les révélations antérieures, la lumière qui s'en dégagea était bien trop crue, dans un premier temps, pour nous livrer autre chose qu'elle-même... La pénombre qui s'abattit sur Manhattan s'est aujourd'hui dissipée. L'émotion s'est estompée, comme les images d'un Wall Street dominateur soudain réduit en cendres. Mais sommes-nous plus lucides pour autant ? Les mois ont passé, et il faut maintenant essayer de penser ce nouveau monde. J'ai mêlé ici les intuitions et la connaissance. Le temps de l'hypothèse et le temps de l'Histoire. Je veux donner une boussole à ceux qui savent que la planète ne s'arrête pas aux frontières de l'Hexagone, ni aux étroits parapets de la vieille Europe." (A. Adler)