SPL, Société de production littéraire 1978 Edition de luxe. In-8 cartonnage éditeur toile beige 23 cm sur 15. 367 pages. Très bon état d’occasion.
Reference : 12698
Georges Gautier, ancien secrétaire général du Gouvernement Général de l’Indochine : 9 mars 1945, Hanoi au soleil de sang - Lafin de l’Indochine Française. Très bon état d’occasion
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1981, Société de Production Littéraire, in-folio cartonné de 358 pages, jaquette illustrée, La Guerre d'Indochine 1945-1954, Préface du Général Salan, richement illustré | Etat : assez bon état, jaquette abîmée (plusieurs accrocs), quelques frottements sur les coins et coiffes de l'ouvrage (Ref.: G7336)
SPL
Editions Heimdal Revue In-4 (19,8 x 28,5 cm), revue dos carré collé, 96 pages ; dos bruni, par ailleurs bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Direction départementale de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre de la Mayenne Dos carré collé 2006 In-8 (16 x 24,2 cm), dos carré collé, 168 pages ; très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Presses de la Cité, 1994, in-8°, 269 pp, 16 pl. de photos hors texte, cartes, annexes, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Troupes de choc)
14000 gendarmes ont servi pendant la guerre d'Indochine (un peu moins nombreux que la Légion étrangère, mais beaucoup plus que n'importe quelle autre formation, Paras y compris). Les gendarmes ont tenu des milliers de postes isolés, sans liaisons et bien souvent sans armements lourds, près de 700 d'entre eux y ont laissé leur vie. — "Erwan Bergot, ancien officier parachutiste de la Légion, rescapé de Diên Bien Phu, passé à l'écriture, a déjà produit une liste impressionnante de volumes où il raconte ses militaires, mais aussi celles des autres et pas seulement en Indochine. Sa plume semble intarissable. Mais s'il évoque, il juge également en technicien. Cet ouvrage est intéressant dans la mesure où il apporte des informations souvent reléguées dans l'ombre. Dans une première partie, c'est encore la guerre japonaise qui est au centre du sujet. En 1945, il y avait dans l'Indochine française une poignée de gendarmes isolés, commandant des gardes autochtones et naturellement surveillés de près par les Nippons. Après la surprise du coup de force du 9 mars, certains ont tout tenté pour continuer la lutte et atteindre l'ennemi. Beaucoup sont morts. Les prisonniers ont vécu un véritable calvaire. Là aussi, les survivants furent mal compris par les autorités et les troupes venues pour rétablir la présence française. D'où une amertume bien compréhensible. Les deuxième et troisième parties sont consacrées à l'action des trois légions de marche de la Garde républicaine, constituées dès 1947 pour renforcer un corps expéditionnaire qui faisait flèche de tout bois. Ces unités, formées de volontaires, mais aussi de requis désignés un peu au hasard, ne disposèrent pendant longtemps que d'un équipement et d'un armement hétéroclites, récupérés sur toutes les armées et tous les stocks du monde libre. Les gendarmes, par définition, vivent mêlés à la population dont ils apprennent l'intimité. Mais peut-être était-ce une vue de l'esprit que d'appliquer ce principe dans un pays si différent pour eux et dont la civilisation leur était totalement étrangère. Pourtant beaucoup de gradés et de gardes, isolés seuls ou à quelques-uns, jetés en enfants perdus sur une terre inconnue et sans préparation spéciale, ont réussi à se faire admettre, respecter et même aimer par des populations coincées entre les exigences de l'ordre postcolonial et celles plus cruelles du Viêt Minh. L'auteur relate les épisodes les plus évocateurs de ce travail ingrat, les fatigues, les douleurs, les sacrifices suprêmes, sans oublier ceux que la Garde encadrait, volontaires vietnamiens, surtout catholiques, khmers et laotiens, minorités nung et thai, qui dans la majorité des cas ont lutté et sont morts fidèles à leurs cadres. Il était bon de rappeler ces souffrances et ces sacrifices, qui malgré les apparences ne furent pas vains. Une série d'annexes rassemble les textes officiels sur ce que fut le rôle de la en Indochine de 1945 à 1955, sans omettre la liste des morts." (Pierre L. Lamant, Revue française d'histoire d'Outre-Mer, 1988)
Albin Michel, 1985, gr. in-8°, 469 pp, 35 photos sur 16 pl. hors texte, une carte, annexes, chronologie, index, broché, couv. illustrée, bon état
Haut-Commissaire de France (c'est à la dire à la fois Gouverneur général et Commandant en chef) en Indochine d'août 1945 à mars 1947, Thierry d'Argenlieu, ayant rejoint de Gaulle à Londres le 29 juin 1940, n'a pas laissé de Mémoires. Ce sont ses fils qui ont classé, selectionné et présenté dans cet ouvrage ses archives personnelles (chronique et journal rédigés au jour le jour, correspondance avec de Gaulle et les gouvernements français, entretiens avec Hô Chi Minh, etc...). — "Ce témoignage (...) prend place parmi les plus significatifs de l'histoire contemporaine de l'Indochine (et) a le grand mérite de faire assez bien comprendre pourquoi a éclaté la Guerre d'Indochine" (Philippe Devillers, "Le Monde diplomatique", octobre 1986).